François René CHATEAUBRIAND, auteur cité dans le Littré
CHATEAUBRIAND (1768-1848)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CHATEAUBRIAND a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Atala, ou Les amours de deux sauvages dans le désert | 1801 | 61 citations |
Itinéraires de Paris à Jérusalem | 1811 | 287 citations |
Le génie du christianisme, ou Les beautés de la religion chrétienne | 1802 | 787 citations |
Les aventures du dernier Abencérage | 1826 | 2 citations |
Les martyrs, ou Le triomphe de la religion chrétienne | 1809 | 166 citations |
Les Natchez | 1816 | 132 citations |
Les quatre Stuarts | 50 citations | |
Mémoires d'outre-tombe | 1850 | 101 citations |
René | 1802 | 47 citations |
Voyage en Amérique | 1827 | 137 citations |
Quelques citations de François René CHATEAUBRIAND
Voici un tirage aléatoire parmi ses 1953 citations dans le Littré.
Les membres de la Convention n'ont offert que des talents tronqués et des lambeaux d'éloquence.
Génie, III, IV, 1 (lambeau)L'Arabe m'a fait voir les tombes de nos soldats, sous les sycomores du Caire.
Itin. part. 1 (sycomore)Ainsi, la religion n'était occupée qu'à renouer les fils sociaux que la barbarie rompait sans cesse.
Génie, IV, VI, 8 (renouer)La nièce de Chactas empennait des flèches avec des plumes de faucon.
Natch. II, 105 (empenner)La composition du Moïse [de St-Amand] est languissante, le vers lâche et prosaïque.
Génie, II, I, 4 (lâche)Si Lusignan ne rappelait à sa fille que les banquets et les joies de l'Olympe, cela serait d'un faible intérêt pour elle.
Génie, II, II, 5 (banquet)Il [Massinissa] avait allumé les torches nuptiales [mariage avec Sophonisbe] devant les dieux domestiques de Syphax.
Itinér. part. 7 (torche [1])Nous entrâmes au port de Sunium : c'est une crique abritée par le rocher.
Itin. 252 (crique)Quelques pins rougeâtres sur la nudité d'un morne, c'est tout ce qui s'offre aux regards.
Génie, III, V, 5 (morne [2])On le fait s'asseoir dans une belle chaise d'ivoire.
Génie, II, VI, 3 (asseoir)La trinité est l'archétype de l'univers, ou, si l'on veut, sa divine charpente.
Génie, I, 1 (charpente)Les oiseaux s'avancent en dandinant vers le fûté quadrupède [renard].
Amér. 18 (dandiner)À ce jeu [des osselets], les sauvages pleigent leurs femmes, leurs enfants, leur liberté.
Amér. jeux (pleiger)Tandis que le courant du milieu entraîne vers la mer les cadavres des pins et des chênes.
Atala, prologue. (cadavre)L'on sent qu'il n'y a qu'un chrétien qui ait pu soupirer les angéliques amours de Paul et de Virginie.
Génie, II, III, 7 (soupirer)Ces hommes, en apparence frivoles, qui détruisent tout en riant.
Génie, I, I, 1 (rire)On conçoit qu'un animal abandonne le pays qu'il habite, en quête de nourriture et d'abri.
Génie, I, V, 9 (quête [1])Une petite porte surbaissée conduit de la chambre principale à une chambre de moindre étendue.
Itin. part. 1 (surbaissé, ée)Plus les peuples avancent en civilisation, plus cet état du vague des passions augmente.
Génie, II, III, 9 (vague [2])Si les historiens de l'antiquité sont en général supérieurs aux nôtres, cette vérité souffre toutefois de grandes exceptions.
Génie, III, III, 5 (souffrir)