Anne-Claude-Philippe de Pestels de Lévis de Tubières-Grimoard, comte de CAYLUS, auteur cité dans le Littré
Comte DE CAYLUS (1692-1765)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Comte DE CAYLUS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Histoire de Guillaume, cocher | 1740 | 9 citations |
| Les Écosseuses, ou Les oeufs de Pasques | 1745 | 6 citations |
Quelques citations de Anne-Claude-Philippe de Pestels de Lévis de Tubières-Grimoard, comte de CAYLUS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 70 citations dans le Littré.
On a vraiment bien raison de dire : plantez là des filles ; il y viendra des garçons.
Féeries, Prince Muguet, Œuv. t. VIII, p. 318, dans POUGENS. (venir)N'est-ce pas tromper que d'entretenir quelqu'un dans son erreur ?
Acad. de ces dames, Œuv. t. XII, p. 223, dans POUGENS. (tromper)Il me disait souvent les tenants et aboutissants des maîtresses de son maître.
Hist. de M. Guill. Œuv. t. x, p. 26 (tenant, ante)La comtesse se contenta de me regarder fort noir.
Mém. des colporteurs, Œuv. t. X, p. 240, dans POUGENS. (noir, oire)Une organisation délicate, une grande sensibilité, une imagination heureuse, des passions vives donnent au sexe une disposition universelle à tous les talents et à toutes les vertus.
Acad. de ces dames et de ces messieurs, Œuv. t. XII, p. 40, dans POUGENS. (sexe)Puisque je monte vos bonnets, vous pouvez bien faire mes robes.
Hist. de M. Guillaume, Œuv. t. X, p. 21, dans POUGENS. (monter)La surprise est toujours le premier mouvement des sots.
Œuvr. t. IX, p. 262, dans POUGENS (surprise)Après avoir bu deux coups d'une main et autant de l'autre, je vais chercher à roupiller un somme dans le jardin à la belle étoile.
Hist. de M. Guillaume, Œuv. t. X, p. 50 (roupiller)Il ne fut pas plus tôt assis qu'une petite guenon vint se poser tout auprès de lui, en lui faisant des mines et des grimaces les plus jolies du monde.
Œuvr. t. VIII, p. 228, dans POUGENS (mine [1])J'avais une grande disposition à traîner la savate, et à courir les rues comme tant d'autres.
Mém. des colporteurs, Œuvr. t. X, p. 235, dans POUGENS. (savate)La volubilité de la langue dispose la voix à la vivacité des roulements.
Œuvr. t. XII, p. 150 (volubilité)Le chien n'a pas voulu gober l'hameçon ; ce gueux-la me chie du poivre.
Écosseuses, Œuv. t. X, p. 551, dans POUGENS (poivre)Quand elles [les maîtresses] meurent, alors le désir meurt avec l'objet, l'on rentre dans son bon sens, et l'on est quitte de mourir.
Acad. de ces dames et de ces messieurs, Œuv. t. XII, p. 72, dans POUGENS. (quitte)Il craignait les témoins, et non pas les remords.
Cont. orient. Œuv. t. VII, p. 308, dans POUGENS (témoin)Vous n'êtes pas un bon cheval de trompette, puisque vous avez peur du bruit.
Œuv. t. IX, p. 263, dans POUGENS (trompette [2])Les grands mettent dans leur sérail une femme, comme nous mettons un oiseau rare dans une volière.
Acad. de ces dames, Œuv. t. XII, p. 31, dans POUGENS. (sérail)L'on oblige par l'intention, par un sourire, par des conseils, par des démarches, par des sollicitations, par la condescendance, par la conformité des sentiments, par des bienfaits, par des largesses, par la délicatesse d'ignorer que l'on oblige.
Acad. de ces dames et de ces messieurs, Œuv. t. XII, p. 243, dans POUGENS (obliger)Regarde-la bien, tu peux t'en torcher le bec.
Loup galeux, Œuv. t. IX, p. 310 (torcher [1])C'était dans un village de la Manche dont le nom ne me revient pas.
Œuv. t. XII, p. 99, dans POUGENS (revenir)Le roi, tout accoutumé qu'il était à représenter, eut peine à tenir son sérieux.
Féeries, Œuv. t. VIII, p. 238, dans POUGENS (tenir)