Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Murçay, comtesse de CAYLUS, auteur cité dans le Littré

Mme DE CAYLUS (1671-1729)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Mme DE CAYLUS a été choisie.

103 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Souvenirs 1770 100 citations

Quelques citations de Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Murçay, comtesse de CAYLUS

Voici un tirage aléatoire parmi ses 103 citations dans le Littré.

  1. La résistance de ces jeunes personnes fut infiniment glorieuse au calvinisme.
    Souvenirs, p. 32, dans POUGENS (glorieux, euse)
  2. Le roi [Louis XIV], instruit par sa propre expérience et corrigé par les années, n'oublia rien de ce qui pouvait mettre les filles d'honneur de Mme la Dauphine sur un bon pied.
    Souvenirs, p. 142, dans POUGENS (fille)
  3. Son caractère [de Mme de Montespan], plus ambitieux que tendre, lui avait fait souvent regarder avec indifférence les infidélités du roi.
    Souvenirs, p. 40 dans POUGENS (infidélité)
  4. Les mauvaises affaires que M. d'Aubigné s'était faites l'obligèrent à la fin de prendre un établissement à l'Amérique.
    Souvenirs, p. 11, dans POUGENS (faire [1])
  5. Elle [Mme de Thianges] n'avait que de la blancheur, d'assez beaux yeux, et un nez tombant dans une bouche fort vermeille, qui fit dire à M. de Vendôme qu'elle ressemblait à un perroquet qui mange une cerise.
    Mémoires, édit. de 1805, p. 103 (nez)
  6. Le roi prit de l'amour pour Mme de Montespan dans le temps qu'il vivait avec Mlle de la Vallière en maîtresse déclarée.
    Souvenirs. (prendre)
  7. Un homme revêtu des plus grandes dignités de l'État.
    Souvenirs, p. 123 (revêtu, ue)
  8. Disposant les esprits à recevoir les impressions désavantageuses qui me firent quitter la cour pour quelque temps.
    Souvenirs, p. 233, dans POUGENS (impression)
  9. L'esprit qui ne nous apprend pas à vaincre notre humeur devient inutile.
    Souvenirs, p. 87, dans POUGENS (humeur [1])
  10. Le plus grand éclat de Mme la princesse de Conti n'a duré que jusqu'à sa petite vérole, qu'elle eut à dix-sept ou dix-huit ans.
    Souvenirs, p. 159, dans POUGENS (vérole)
  11. On sait que, pour entrer à Saint-Cyr [maison d'éducation pour les jeunes demoiselles, fondée par Mme de Maintenon], il faut faire également preuve de noblesse et de pauvreté.
    Souvenirs, p. 197 (entrer)
  12. Il avait eu plusieurs affaires galantes, et avait fait voir plus de coquetterie que d'amour.
    Souvenirs, p. 252 (galant, ante)
  13. Je trouvai le lendemain la messe du roi si belle, que je consentis à me faire catholique, à condition que je l'entendrais tous les jours, et qu'on me garantirait du fouet.
    Souvenirs, p. 33, dans POUGENS (messe)
  14. Elle [Mme de Jarnac] avait, disait-on, un beau teint pour éclairer sa laideur.
    Souvenirs, p. 146, dans POUGENS (teint [2])
  15. Plus M. Fagon vit Mme de Maintenon de près, plus il admira sa vertu et goûta son esprit.
    Souven. p. 76, dans POUGENS (goûter [1])
  16. Elle aurait souvent voulu qu'on la crût moins solide, pour la laisser se divertir.
    Souvenirs, p. 24, dans POUGENS (solide)
  17. Mlle Choin fut chassée de la cour, et se retira à Paris, où elle entretint toujours les bontés que Monseigneur [le fils de Louis XIV] avait pour elle.
    Souvenirs, p. 219, dans POUGENS (entretenir)
  18. Je suis convaincu que cette intrigue s'est passée en regards et en quelques lettres tout au plus.
    Souvenirs, p. 279, dans POUGENS (regard)
  19. Ne pouvant faire usage d'une beauté passée, elle se tourna du côté de l'intrigue, à quoi son esprit était naturellement porté.
    Souvenirs, p. 144, dans POUGENS (intrigue)
  20. Son esprit uniquement porté aux affaires rendait sa conversation froide et plate.
    Souvenirs, p. 86, dans POUGENS (plat, ate [1])