Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Murçay, comtesse de CAYLUS, auteur cité dans le Littré
Mme DE CAYLUS (1671-1729)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Mme DE CAYLUS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Souvenirs | 1770 | 100 citations |
Quelques citations de Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Murçay, comtesse de CAYLUS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 103 citations dans le Littré.
Elle [Mme de Jarnac] avait, disait-on, un beau teint pour éclairer sa laideur.
Souvenirs, p. 146, dans POUGENS (teint [2])Il faut avouer que le roi, dans les premiers temps, eut plus d'éloignement que d'inclination pour Mme de Maintenon.
Souvenirs, p. 78, dans POUGENS (éloignement)À dire la vérité, quoique la fille de M. le duc d'Orléans dût passer devant une fille de branche cadette.
Souv. p. 266, dans POUGENS (passer)Les mauvaises affaires que M. d'Aubigné s'était faites l'obligèrent à la fin de prendre un établissement à l'Amérique.
Souvenirs, p. 11, dans POUGENS (faire [1])Le roi… pour empêcher Mme de Montespan d'être exposée à ses caprices [de M. de Montespan], la fit surintendante de la maison de la reine.
Souven. p. 174, dans POUGENS (surintendante)Mlle Choin fut chassée de la cour, et se retira à Paris, où elle entretint toujours les bontés que Monseigneur [le fils de Louis XIV] avait pour elle.
Souvenirs, p. 219, dans POUGENS (entretenir)Mme de Montespan, à qui les moindres ridicules n'échappaient pas, et qui savait si bien les faire sentir aux autres par ce tour unique à la maison de Mortemart.
Souvenirs, p. 42, dans POUGENS (tour [2])Elle [Mme de Montespan] voulut regagner par l'intrigue ce qu'elle avait perdu par son humeur.
Souvenirs, p. 113, dans POUGENS (regagner)Son esprit uniquement porté aux affaires rendait sa conversation froide et plate.
Souvenirs, p. 86, dans POUGENS (plat, ate [1])Il n'y avait de réel que l'esprit, dont en effet il avait beaucoup, c'est-à-dire une conception aisée, une grande pénétration, beaucoup de discernement, de la mémoire et de l'éloquence.
Souv. p. 243, dans POUGENS (esprit)Elle [Mme de Maintenon] ne comprenait pas, disait-elle alors, qu'on pût appeler cette vie une vallée de larmes.
Souvenirs, p. 17, dans POUGENS (vallée)[Jouer la tragédie d'Esther] lui fit appréhender [à Mme de Maintenon] que cet amusement ne leur insinuât [aux demoiselles de Saint-Cyr] des sentiments opposés à ceux qu'elle voulait leur inspirer.
Souvenirs, p. 204, dans POUGENS (insinuer)Il était triste de quitter son pays, et de renoncer à une vie pleine d'agréments.
Souvenirs, p. 22, dans POUGENS (triste)Il est aisé de s'emparer de l'esprit de M. de Richelieu.
Souvenirs, p. 133, dans POUGENS (emparer (s'))Il a passé sa jeunesse à être le fléau de toutes les familles.
Souvenirs, p. 105, dans POUGENS (fléau)Le roi [Louis XIV], instruit par sa propre expérience et corrigé par les années, n'oublia rien de ce qui pouvait mettre les filles d'honneur de Mme la Dauphine sur un bon pied.
Souvenirs, p. 142, dans POUGENS (fille)Je perdis un de mes frères, qui fut tué à la tête ou régiment de la reine, dragons.
Souvenirs, p. 239, dans POUGENS (tête)Je trouvai le lendemain la messe du roi si belle, que je consentis à me faire catholique, à condition que je l'entendrais tous les jours, et qu'on me garantirait du fouet.
Souvenirs, p. 33, dans POUGENS (messe)Je suis restée jacobite, malgré les changements qui sont arrivés en ce pays-ci.
Souven. p. 223, dans POUGENS (jacobite)Ce qui l'obligea [Racine] de faire pour moi le prologue de la pièce [Esther].
Souvenirs, p. 209, dans POUGENS (prologue)