Vincent CARLOIX, auteur cité dans le Littré

CARLOIX (15..-15..)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CARLOIX a été choisie.

Secrétaire de François de Scepeaux

1004 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Mémoires de la vie de François de Scepeaux, sire de Vieilleville et comte de Duretal, maréchal de France 1001 citations

Quelques citations de Vincent CARLOIX

Voici un tirage aléatoire parmi ses 1004 citations dans le Littré.

  1. Il y avoit cinquante arquebuziers à cheval qui servoient à faire les descouvertes, et escarmoucher çà et là.
    VII, 17 (découverte)
  2. … Et plus tost qu'il y manque, il en erigera ung [état de marechal de France] qui sera supernumeraire.
  3. Le maistre des ceremonies planta sa banniere au premier ranc de la maistresse main, que l'on dict communement de l'evangile.
    III, 2 (maître)
  4. Ce tourillon avoit plus tost façon d'une fuye que d'une forteresse.
    VII, 12 (fuie)
  5. Il est stomacqué merveilleusement, que vous ayez faict tuer domp Alphonse de sang-froid.
  6. Je luy eusse deferé et remis ma charge entre les mains.
    X, 16 (déférer)
  7. Ce maistre eschevin, qui ne mist jamais le nez qu'en ung poisle pour boire carroux…
    IV, 14 (carrousse)
  8. Les legionnaires apportent certifficat de leur service, que l'on appelle attestation de Serviny.
    VII, 3 (attestation)
  9. Et prenant tous le chemin de Thionville, duquel il sçavoient les routes et brizées il y avoit long-temps.
    VI, 25 (brisées)
  10. Et parce que l'abbé, dernier possesseur, estoit religieux, et tenoit l'abbaye en titre, tout son bien estoit acquis au roy que l'on appelle robbe-morte.
    II, 10 (robe)
  11. Incessamment il s'opposoit aux entremises et negociations ou des treves ou de la paix.
  12. Voyant que le Roy, de sa propre ame [de son propre mouvement], luy faisoit ce present.
    II, 16 (âme)
  13. La subreptice et cauteleuse façon dont on y avoit procedé.
    VIII, 6 (subreptice)
  14. Et tout en l'instant la paix fus conclucte et arrestée par sa dicte majesté.
    IX, 51 (conclure)
  15. Tous et toutes disnerent avecques luy, tant que deux bons plats et opulamment servis se peurent estendre.
    III, 13 (opulemment)
  16. Une douzaine d'arcs de fin bresil, accompaignez de douze trousses ou carquois.
    III, 30 (trousse)
  17. Et estoit contraint le roy, s'il vouloit particularizer quelque bienfait [le donner à son gré à un particulier], de mentir à ceux-cy, et dire qu'il y avoit deja pourveu.
  18. Une douzaine de saulmons du Rhin, et en paste à leur mode, tous entiers.
    IV, 24 (pâte)
  19. La garde, voyant Dom Alphonse, faict largue, et laisse entrer tout ce qui se presenta.
    V, 12 (largue)
  20. Et y a tantost deux cens ans qu'il [M. d'Espinay] possedoit dès ce temps-là toutes les terres et seigneuries qui sont aujourd'hui en leur maison, comme il se peult lire autour de sa sepulture ; qui fait bien juger qu'ils sont plantez de immemorable ancienneté.