Alain CHARTIER, auteur cité dans le Littré

CHARTIER (1385-1433)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CHARTIER a été choisie.

215 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Le livre des quatre dames 1424 28 citations
Quadrilogue invectif 1422 34 citations

Quelques citations de Alain CHARTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 215 citations dans le Littré.

  1. Comme peut estre creance d'homme si legiere, que telles baguenaudes soient prinses pour doctrine, ou telles superstitions pour vraye religion ?
    l'Espérance, p. 253 (baguenaude)
  2. Inchoatif.
  3. Elle [sobriété] est propice et de peu assouvie, Aide de sens, et de santé la guette, Garde de corps et concierge de vie.
    Bréviaire des nobles (concierge)
  4. Si estoit la voix du peuple comme les mouetes, qui par leur cry denoncent le flot de la mer.
    Quadriloge invectif, p. 431 (mouette [1])
  5. Dieu la confonde, Et au parfond de la terre la fonde : Car el porte son enfer en ce monde.
    le Débat des deux fortunes. (enfer)
  6. Si j'ai du mal, c'est ma folie ; Ce ne luy fait ne froit ne chault.
    le Débat du reveille-matin. (froid, oide [1])
  7. Dieu scet les choses necessairement, par soy mesmes qui est necessaire, telles qu'elles seront et adviengnent contingentement par leur nature, qui de soy est variable, telles qu'elles sont.
    l'Espérance, p. 379, dans LACURNE (contingemment)
  8. Qui que s'en loue ou s'en vueille blasmer, Y a trop plus du doulx que de l'amer.
    Le débat des deux fortunes (qui)
  9. Quant amours ot oÿ mon cas, Et vi qu'à bonne fin tendi, Il remit sa flesche au carcas.
    Excusation. (carquois)
  10. Comme deux raims en une tige.
    p. 627 (rame [1])
  11. Fault il donc faire tous unis [traiter également] Les humbles servans et les faulx, Et que les bons soient punis Pour les pechez des desloyaux ?
    Œuvres, p. 521 (unir)
  12. Et apperceurent un fonsset, qui estoit en la riviere ; et passoient ceux de la bastille de Brie oultre par dessus ledit fonsset.
    Hist. de Charles VII, p. 115 (fonce ou foncet)
  13. Celuy an emparerent [fortifièrent] les Anglois la ville de Sainct Jame de Beuron, laquelle chose ils ne devoient faire.
    Hist. de Ch. VII (emparer (s'))
  14. Ceste fantaisie nouvelle Me faisoit songer en veillant, Qui est chose desnaturelle.
    Œuvr. p. 724 (songer)
  15. Quant amours ot oÿ mon cas, Et vit qu'à bonne fin tendi, Il remit sa flesche au carcas.
    Excusat. de maître Alain. (fin [1])
  16. Chascun se pare Et veut aller à la tentare, Et semblent bouhoureaux en mare.
    Poésies, p. 665 (bourret et bourrot [2])
  17. Nourrissent et soustiennent une nuée d'autres larronciaux pour rober sur le peuple.
    Quadrilogue invectif. (larronneau)
  18. Brodeurs, ouvriers, et bons entretailleurs, Et jouelliers, orfevres, esmailleurs.
    Le debat des deux fortunes. (émailleur)
  19. L'estendart du roy qui estoit de satin vermeil cramoisy.
    Hist. de Charles VII, p. 182, dans LACURNE (étendard)
  20. Mais ton ayde insuperable, Ta science veritable Le puevent de tout deffendre.
    Esper. ou consol. (véritable)