Thomas CORNEILLE, auteur cité dans le Littré

Th. CORNEILLE (1625-1709)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Th. CORNEILLE a été choisie.

frère du Grand Corneille

464 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Ariane 1672 87 citations
Dom Bertran de Cigarral 1650 44 citations
Le comte d'Essex 1678 22 citations
Le galant doublé 1669 25 citations

Quelques citations de Thomas CORNEILLE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 464 citations dans le Littré.

  1. Vous voilà cependant fortement embourbé.
    Don Bertr. de Cigaral, V, 12 (embourbé, ée)
  2. Il est vrai, je cherchais le son de sa parole, Et sur monsieur Grosset je me remets la voix.
    l'Inconnu, v, 7 (parole)
  3. Leurs coiffures toujours sont pour moi des supplies ; Jamais elles [les femmes] n'ont fait, j'en suis au désespoir.
    l'Inconnu, v, 4 (faire [1])
  4. Qu'on lui dise un mot tendre, elle est soudain éprise, Croit tout, prend feu sur tout, et c'est là son destin.
    Baron d'Albikrak, I, 3 (feu [1])
  5. Remène-moi, barbare, aux lieux où tu m'as prise.
    Ariane, III, 4 (remener)
  6. Hélas ! je suis perdu. -Pourquoi ? ton pis aller n'est que d'être pendu.
    Feint astrol. IV, 12 (pis [1])
  7. [S'il] ne confond d'abord par ses doux embarras Tous les raisonnements d'aimer ou n'aimer pas.
    Ariane, I, 3 (embarras)
  8. Malaisé, si jamais il fut des malaisés : Il a mangé son fait.
    D. César d'Avalos, II, 1 (malaisé, ée)
  9. Le monde de Madrid est plus futé qu'ici.
    D. Bertrand de Cigaral, IV, 2 (futé, ée)
  10. … Je ne veux pas le prendre Sur le ton fier et sérieux.
    Circé, I, 2 (prendre)
  11. …Tu me vois avec ma courte honte.
    D. Bertr. de Cigarral, IV, 2 (honte)
  12. Il était avec elle, Monsieur, quand au collet on l'est venu gripper.
    le Galant doublé, IV, 8 (gripper)
  13. Il faut, pour vivre amis, mettre tout sous le pied.
    D. Cés. d'Avalos, IV, 3 (pied)
  14. …Si vous n'êtes point louche, Du moins vous avez l'œil honnêtement farouche, Et vous m'envisagez d'un certain lorgnement à vous faire traiter peu fraternellement.
    le Geôlier de soi-même, V, 6 (lorgnement)
  15. Lise : Elle n'a que vingt ans. - Le marquis : Bien lui prend ; la jeunesse est mon goût…
    Comt. d'Orgueil, I, 2 (prendre)
  16. Friponne, sais-tu bien lorsque tu me regardes… - Quoi ! je te tiens au cœur. - Ma foi, tu le pétardes.
    le Charme de la voix, IV, 4 (pétarder)
  17. Un campagnard fort riche et de bonne famille Est si sot que d'Anselme il épouse la fille ; Le voilà bien logé !
    Comtesse d'Orgueil, IV, 6 (logé, ée)
  18. Cette noble inclination, qui s'explique si souvent pour tant de monde par les effets les plus avantageux.
    Maximin, Épître. (expliquer)
  19. Mais de ton faux amour les feintes concertées, Les noires trahisons, les ai-je méritées ?
    Ariane, III, 4 (feinte [1])
  20. Je suis fort périlleux.
    le Geôlier de soi-même, III, 6 (périlleux, euse)