Casimir DELAVIGNE, auteur cité dans le Littré
DELAVIGNE (1793-1843)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DELAVIGNE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Le paria | 199 citations | |
| Les vêpres siciliennes | 1819 | 149 citations |
Quelques citations de Casimir DELAVIGNE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 546 citations dans le Littré.
Dans mon cœur attendri quel sentiment s'éveille ?
Paria, III, 4 (éveiller)Les tourments mérités d'une lente agonie.
Vêpres sicil. IV, 4 (agonie)Jeté, farouche encore, à travers ces entraves, Je frémis sous leur poids, léger pour des esclaves.
Paria, I, 2 (entraves)Pour détrôner l'abus, proscrironsnous l'usage ?
Épître à Lamartine. (proscrire)Et tant d'écrits savants entassés dans nos murs Ont chargé mon esprit de leurs dogmes obscurs.
Paria, II, 2 (dogme)Qu'elle est jolie ! Mes yeux cherchent en vain les fleurs fraîches écloses.
Morceaux choisis, par FEUGÈRE, p. 337 (frais, fraîche [1])Puis passant près des lieux où du haut des murailles Son bras armé pour nous semait les funérailles.
Paria, V, 6 (semer)Un sang nouveau bouillonne dans mes veines ; Des douleurs et des ans j'ai dépouillé les chaînes.
Paria, V, 3 (chaîne)Ce combat comme à nous peut leur être fatal, Égaux sont les périls, le courage est égal.
Vêpres sicil. II, 6 (égal, ale)Je sens ma voix s'éteindre et mes genoux trembler.
le Paria, III, 2 (éteindre)Quand répétera-t-on ? - Vos affaires vont mal ; La pièce est aux arrêts chez le censeur royal.
Comédiens, II, 3 (répéter)La terre sur son sein les porte avec colère [les parias].
Paria, I, 1 (sein)C'est trop d'incertitude, il faut mourir en brave.
Vêp. sicil. IV, 4 (brave)Le peuple prosterné sous ces voûtes antiques Avait du roi-prophète entonné les cantiques.
Vêpr. sicil. v, 2 (entonner [2])La loi fût-elle injuste, il la faut respecter.
Paria, IV, 5 (loi [1])Heureux progrès des ans ! Que son port est plus fier, ses traits plus imposants !
Paria, III, 4 (progrès)Contre ces forcenés les lois sont sans vigueur.
Vêpres sicil. II, 6 (forcené, ée)Sous l'abri d'un grand nom sûr de l'impunité, à d'horribles excès leur orgueil s'est porté.
V, Sicil. II, 2 (abri)Quand, muet d'épouvante et tremblant de colère, Il [Néron] apprit que ces flots, instrument du forfait, Se soulevant d'horreur, lui rejetaient sa mère.
Messéniennes, III, 4, la Sibylle. (rejeter)En vain pour s'étayer du nom de mes aïeux, Par l'éclat des emplois Charles flattait mes yeux.
Vêp. sicil. I, 1 (éclat)