Denis DIDEROT, auteur cité dans le Littré

DIDEROT (1713-1784)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DIDEROT a été choisie.

2146 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur les mœurs et les écrits de Sénèque 1782 438 citations
Le neveu de Rameau 1762 25 citations
Le père de famille 1758 59 citations
Lettres à Sophie Voland 95 citations
Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient 1749 35 citations
Lettre sur les sourds et muets à l'usage de ceux qui entendent et qui parlent 1751 45 citations
Opinions des anciens philosophes 371 citations
Pensées philosophiques 1746 42 citations
Pensées sur la peinture 1795 94 citations
Salons de peinture 1759-1781 430 citations

Quelques citations de Denis DIDEROT

Voici un tirage aléatoire parmi ses 2146 citations dans le Littré.

  1. Toute la morale se rapporte à Dieu ; la vie de l'homme est de l'imiter.
    Opin. des anc. phil. (Pythagorisme). (rapporter)
  2. Au milieu des flatteries, le consul désigné, Cérialis Anicius, dit un mot délié que Néron entendit sans doute et dont il ne s'offensa point.
    Ess. s. Claude et Néron. (délié, ée [1])
  3. Croire avec Hutcheson, Smith et d'autres, que nous ayons un sens moral propre à discerner le bon et le beau, c'est une vision dont la poésie peut s'accommoder, mais que la philosophie rejette.
    Salon de 1767, Œuv. t. XIV, p. 41, dans POUGENS (sens [1])
  4. Vien dessine bien, peint bien ; mais il ne pense ni ne sent ; Doyen serait son écolier dans l'art, mais il serait son maître en poésie.
    ib. t. IX, p. 55, édit. 1821 (poésie)
  5. Sautez tout de suite aux vingt dernières pages de Clarisse.
    Élog. de Richardson. (sauter)
  6. D'une platitude de couleur à faire plaisir.
    Salon de 1765, Œuv. t. XIII, p. 67, dans POUGENS (plaisir)
  7. On ne s'élève point à cette importante fonction sans endommager sa fortune.
    Ess. sur Claude. (endommager)
  8. Admettre plusieurs intelligences supérieures toutes essentiellement bonnes, c'est être polythéiste.
    Ess. s. la vertu. (polythéiste)
  9. Il [Sénèque] était maigre et décharné.
    Règne de Claude et Néron, I, § 4 (décharné, ée)
  10. Il [Diogène] faisait pleuvoir le sel et l'ironie sur les vicieux.
    Opinion des anc. philos. (cyniques). (pleuvoir)
  11. Voilà le prestige du rhythme et de l'harmonie.
    Salon de 1767, Œuv. t. XV, p. 76 (prestige)
  12. Ceux qui parcourent ses ouvrages [de Bacon] le trouveront versé dans toute la littérature ancienne et moderne, et familier avec les auteurs grecs, latins, hébreux, italiens, français, allemands, arabes.
    Opin. des anc. phil. (scolastiques). (familier, ière)
  13. Ma sœur est vive, agissante, gaie, décidée, prompte à s'offenser, lente à revenir.
    Lett. à Mlle Voland, 31 juill. 1759 (revenir)
  14. Plusieurs de ses disciples se défirent au sortir de son école.
    Opin. des anc. phil. Secte cyrén. (défaire)
  15. Julien quitta ce philosophe sensé pour se livrer aux deux plus violents théurgistes que la secte éclectique eût encore produits, Maxime d'Éphèse et Chrysanthius.
    Opin. des anc. philos. (Éclectisme). (théurgiste ou théurgite)
  16. Quelque chose dans les êtres animés qui reflétât du sentiment sur les êtres inanimés.
    Salon de 1765, Œuv. t. XIII, p. 258, dans POUGENS (refléter)
  17. Le temps de l'usage du remède s'appelle une saison ; la durée d'une saison est de vingt-sept jours.
    Mém. Voy. Bourbonne (saison)
  18. Il s'échappe seul à pied, toutes les nuits, par toute sorte de temps, à toute heure.
    Père de famille, I, 5 (temps)
  19. Le moment de palpitation qui suit un grand plaisir est encore un moment fort doux.
    Mém. t. I, p. 342, dans POUGENS (palpitation)
  20. J'ai lu, j'ai écrit, j'ai rêvé, j'ai nigaudé en famille, c'est un plaisir que j'ai trouvé fort doux.
    Mém. t. II, p. 299, dans POUGENS (nigauder)