Philippe Néricault DESTOUCHES, auteur cité dans le Littré
DESTOUCHES (1680-1754)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DESTOUCHES a été choisie.dramaturge
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Le glorieux | 1732 | 44 citations |
| Le philosophe marié | 1727 | 55 citations |
Quelques citations de Philippe Néricault DESTOUCHES
Voici un tirage aléatoire parmi ses 220 citations dans le Littré.
Viens, et, sans te gourmer avec moi de la sorte, Laisse en entrant chez nous ta grandeur à la porte.
Glor. II, 15 (gourmer)Oui, oui, défaites-vous de cette tracassière.
Irrésolu, v, 9 (tracassier, ière)Une femme prudente est la source des biens.
Diss. v, sc. dern. (prudent, ente)Il faut t'armer de fer, avoir un cœur de roc.
Dissip. V, 11 (roc [1])Ah ! le beau médecin de neige avec ses remèdes.
Tambour noct. I, 6 (neige)Hom ! celle-ci n'a pas tant de goût pour la danse.
Irrésolu, III, 6 (hom)Je m'en vais du soufflet me payer par mes mains.
Glor. II, 11 (main)Vous avez si souvent loué le célibat, Vous avez tant raillé, déploré la folie De tout homme d'esprit qui pour jamais se lie.
Phil. marié, III, 2 (railler)Le comte : Quant à moi, j'aime la politesse. - Lisimon : Moi je ne l'aime point, car c'est une traîtresse Qui fait dire souvent ce qu'on ne pense pas.
Glor. II, 15 (traître, esse)C'est le faible commun des gens de qualité, Leurs titres bien souvent font tout leur patrimoine.
Glor. v, 5 (faible)Ah ! monsieur, sur mon compte on tient bien des propos.
Hom. sing. I, 4 (tenir)Ah ! c'est l'original De mes airs de grandeur qui vient tête levée ; Mon éclat emprunté cesse à son arrivée.
Glor. II, 9 (tête)Je ne vis de mes jours plus maligne femelle.
Irrésolu, IV, 4 (malin, maligne)Vivent les provinces pour les manières ; on se pique à Paris d'un petit air aisé, qui est la grossièreté même.
Fausse Agnès, I, 7 (vivre [1])Je crois qu'elle m'aura deux grands mois tout au moins.
Homme sing. IV, 2 (grand, ande)Cinq ou six rasades aplanissent bien des difficultés.
Fausse Agnès, II, 9 (rasade)Je refuserais pour mon gendre le plus riche parti de France, qui ne pourrait pas prouver que ses ancêtres ont marché aux premières croisades.
Fausse Agn. I, 1 (marcher [1])Moi, je suis assez neuf sur ces démarches-là.
Glorieux, IV, 9 (neuf, euve [2])Vous moquez-vous de moi ? vous lever au dessert ? Et, pour me planter là, sortir l'un après l'autre.
Phil. marié, IV, 3 (lever [1])Quoiqu'il soit, m'a-t-on dit, un franc original.
Glor. III, 3 (original, ale [1])