Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Maître puissant par qui tout génie est formé, Public, sublime auteur qu'on n'a jamais nommé !
    Prol. de réouverture de l'Odéon (sublime)
  2. …doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
    le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))
  3. Son œil d'aigle, son front argenté vers les tempes, Rappelaient les fiertés des plus mâles estampes.
    P. Corneille. (tempe [1])
  4. Ornés de clochettes qui tintinnabulaient sans cesse.
    Étude sur Baudelaire. (tintinnabuler)
  5. Les belluaires ont levé les grilles des antres souterrains.
    dans Courrier de Vaugelas, 1er févr. 1876, p. 148 (belluaire)
  6. Les malades prennent des apparences spectrales et des airs de morts.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3083 (spectral, ale)
  7. La mort dissimulait sa face, Aux trous profonds, au nez camard, Dont la hideur railleuse efface Les chimères du cauchemar.
    Émaux et camés, bûchers et tombeaux. p. 222 (hideur)
  8. Les pages conduisant les levrettes et les King's-Charles.
    les Beaux-arts en Europe, t. II, p. 33 (king's-charles)
  9. Et l'on eût dit à voir ce masque souverain [le visage de Corneille] Une médaille antique à frapper en airain.
    le Soulier de Corneille. (souverain, aine,)
  10. L'illustrateur, qu'on nous pardonne ce néologisme qui n'en est presque plus un, ne doit voir qu'avec les yeux d'un autre.
    Portraits contemporains, Tony Johannot (illustrateur)
  11. Ce type, si neuf et si actuel de la jeune fille tintamarresque.
    Portraits contemporains, Jules de Goncourt (tintamarresque)
  12. Chaque artiste résigné à la maigre sportule du siége.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3082 (sportule)
  13. Pas de suaire en toile fine, Mais drapez-moi dans les plis blancs De ma robe de mousseline, De ma robe à treize volants.
    Émaux et camées, Coquetterie posthume (volant [2])
  14. Quelques détails indiqués plus précisément ne nuiraient pas ; à force d'être large, on devient vague.
    Feuilleton du Journ. offic. du 26 juin 1869 (vague [2])
  15. Deux longues mèches se détachaient capricieusement des crêpelures.
    le Capitaine Fracasse, II (crépelure)
  16. La moitié du corps est baignée d'une ombre illuminée de reflets un peu trop transparents peut-être et qui, en certains endroits, font ce qu'on appelle lanterne.
    Moniteur universel, 9 mai 1868 (lanterne)
  17. Il ne les hausse pas jusqu'à la truculence en appuyant un croc de sanglier sur une lèvre calleuse, comme en ont les vieilles des Tentations de saint Antoine de Téniers.
    Portraits contemp. Henri Monnier (truculence)
  18. Vous n'êtes, ne fûtes et ne serez jamais que ce que les étudiants allemands appellent un philistin, et les artistes français un bourgeois.
    dans Revue des Deux-Mondes, t. XIX, p. 889, 1847 (philistin)
  19. Nous avons vu en songe se pencher du haut des terrasses blanches ces belles filles aux tresses d'or crespelées.
    dans SAINTE-BEUVE, Nouv. lundis, t. VI (Th. Gautier, I) (crépelu, ue)
  20. Il [Léon Gozlan] était de sa nature ce qu'on appelle dans le jargon moderne un paroxyste, c'est-à-dire un tempérament poussant tout au paroxysme et à l'outrance.
    Moniteur univ. 17 sept. 1866 (paroxyste)