Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. L'hippopotame au large ventre Habite aux jungles de Java.
    l'Hippopotame, Poésies. (jungle)
  2. Ces extraits divers sont le résultat des lectures de Mme Dorval ; mais leur choix indique une fantaisie et une humour que rien ne peut rendre.
    Portraits contemporains, Mme Dorval (humour)
  3. D'abord superbe et triomphante, Elle vint en grand apparat, Traînant avec des airs d'infante Un flot de velours nacarat.
    Émaux et camées, le Poëme de la femme (nacarat)
  4. Dans tous les mélodrames, on réserve une scène à effet pour ces deux acteurs à forte poitrine ; c'est un beau tournoi de paroles ; l'un fait sonner toutes les r, l'autre toutes les s.
    Hist. de l'art dramatique, t. I, p. 24 (tournoi)
  5. Après ma mort, une avalanche De son linceul me couvrira, Et sur mon corps la neige blanche, Tombeau d'argent, s'élèvera.
    le Chasseur. (neige)
  6. Le volume entr'ouvert distraitement, il le savait, et il gardait dans sa mémoire une photographie ineffaçable d'une ville ou d'un site traversés au galop.
    Portraits contemp. L. de Cormenin. (distraitement)
  7. Quoi de plus charmant qu'un groupe de femmes de beauté différente et contrastée, assises sur un pouf au milieu d'un salon dans des flots de guipures et de dentelles qui écument à leurs pieds comme la mer aux pieds de Vénus ?
    Moniteur univ. 3 juin 1867 (pouf [3])
  8. C'était un esthéticien de première force, un très grand poëte, d'un art très raffiné et très compliqué.
    Portr. contemp. Ch. Baudelaire. (esthéticien)
  9. Des fanaux disséminés en nombre suffisant, non pour éclairer, mais pour rendre l'obscurité visible.
    le Bien public, 12 mai 1872 (visible)
  10. Le tonnerre gronde formidablement.
    Feuilleton du Moniteur univ. 27 avr. 1868 (formidablement)
  11. Son œil d'aigle, son front argenté vers les tempes, Rappelaient les fiertés des plus mâles estampes.
    P. Corneille. (tempe [1])
  12. Les ours de Sibérie et les ours des cartons Dans cet autre Spitzberg avaient pris leurs cantons.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (ours)
  13. Une femme aux traits réguliers, aux cheveux d'un noir d'enfer, comme dit Alfred de Musset.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (noir, oire)
  14. Le vif-argent aux fleurs fantasques, Dont les vitraux sont ramagés.
    Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ramagé, ée)
  15. En pénétrant dans ce cabinet, fausse cachette masquant la véritable, les sondeurs devaient se croire arrivés à leur but.
    Journ. offic. 14 août 1871 (sondeur)
  16. Il ne manque pas d'esprits agréablement sceptiques qui, lorsqu'un belluaire fait de périlleux exercices, vantent paradoxalement la mansuétude des lions.
    dans Courrier de Vaugelas, 1er févr. 1876, p. 148 (belluaire)
  17. Pas de suaire en toile fine, Mais drapez-moi dans les plis blancs De ma robe de mousseline, De ma robe à treize volants.
    Émaux et camées, Coquetterie posthume (volant [2])
  18. La femme de nos jours, absente des tableaux, revit dans les historiques lithographies de notre artiste, avec son maniérisme coquet, sa grâce spirituelle, son élégance chiffonnée, sa beauté problématique.
    Portraits contemp. Gavarni. (maniérisme)
  19. Quand l'actrice, comme une statue qui se piète sur son socle, a redressé sa haute taille…
    Journ. offic. Feuilleton, 25 juill. 1870 (piéter)
  20. Ce qui faisait la force de Bouchardy, c'était son sérieux profond, sa conviction inébranlable ; il croyait que c'était arrivé, pour nous servir de la formule moderne.
    Journ. offic. feuilleton, 6 et 7 juin 1870 (arrivé, ée)