Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Quoi de plus charmant qu'un groupe de femmes de beauté différente et contrastée, assises sur un pouf au milieu d'un salon dans des flots de guipures et de dentelles qui écument à leurs pieds comme la mer aux pieds de Vénus ?
    Moniteur univ. 3 juin 1867 (pouf [3])
  2. Des brins de chaume, des broussailles hérissent çà et là la couche neigeuse où sautillent des corbeaux qui virgulent de leur noirceur la blancheur du sol.
    Feuilleton du Monit. univ. 25 mai 1868 (virguler)
  3. Il y a les gens mûrs, chauves, ventripotents, apoplectiques.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (ventripotent, ente)
  4. C'était un esthéticien de première force, un très grand poëte, d'un art très raffiné et très compliqué.
    Portr. contemp. Ch. Baudelaire. (esthéticien)
  5. Nous engageons aussi M. Émile Breton à ne pas abuser des traits noirs dans l'accentuation des contours ; cela ressemble à ces traits de force que le maître donne après coup aux dessins cotonneux des petits pensionnaires.
    Journ. officiel, 27 juin 1869 (trait [1])
  6. Il avançait quelque axiome sataniquement monstrueux.
    Élude sur Baudelaire. (sataniquement)
  7. L'eau s'enfle, comme une poitrine Aux soupirs de la passion ; Le vent, dans sa conque marine, Murmure une incantation.
    Émaux et camées, caerulei oculi (incantation)
  8. Les malades prennent des apparences spectrales et des airs de morts.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3083 (spectral, ale)
  9. Nous nous prenons à regretter ces cahiers de feuillé qu'on nous faisait copier dans notre enfance et qui détaillaient avec précision des branches de marronnier, de chêne, de hêtre, etc.
    Feuilleton du Monit. univ. 27 juin 1868 (feuillé, ée)
  10. Pas de suaire en toile fine, Mais drapez-moi dans les plis blancs De ma robe de mousseline, De ma robe à treize volants.
    Émaux et camées, Coquetterie posthume (volant [2])
  11. Les flammes jaillissant au dehors ont crevé les fenêtres et tracé de larges zébrures noires le long des murailles.
    Journ. offic. 5 août 1871 (zébrure)
  12. Ce sont des bossus, des culs-de-jatte assis dans leur sébile.
    Feuilleton du Journal officiel, 25 juin 1869 (sébile)
  13. …doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
    le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))
  14. Nous nous réembarquons immédiatement pour Napoli de Romanie.
    Portraits contemp. Marilhat. (réembarquer)
  15. Hernani se répétait, et, au tumulte qui se faisait déjà autour de la pièce, on pouvait prévoir que l'affaire serait chaude.
    le Bien public, 3 mars 1872 (répéter)
  16. Vous n'êtes, ne fûtes et ne serez jamais que ce que les étudiants allemands appellent un philistin, et les artistes français un bourgeois.
    dans Revue des Deux-Mondes, t. XIX, p. 889, 1847 (philistin)
  17. Une femme aux traits réguliers, aux cheveux d'un noir d'enfer, comme dit Alfred de Musset.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (noir, oire)
  18. Cette peinture si génialement anglaise.
    les Beaux-arts en Europe, t. I, II, 13 (génialement)
  19. Les avalanches et les éboulis de la montagne qui s'étendent jusque-là.
    Feuilleton du Monit. univ. 7 sept. 1868 (éboulis)
  20. Lui qui avait été élevé dans la patrioterie et la religion de la bayonnette souveraine.
    La jeune France, 1833, p. 145 (patrioterie)