Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
À la fin, le courage le plus robuste se lasse de varier toujours le même thème.
Feuilleton du Monit. univ. 4 juin 1868 (varier)Nous nous réembarquons immédiatement pour Napoli de Romanie.
Portraits contemp. Marilhat. (réembarquer)Quelques détails indiqués plus précisément ne nuiraient pas ; à force d'être large, on devient vague.
Feuilleton du Journ. offic. du 26 juin 1869 (vague [2])Un vaste salon aux boiseries tarabiscotées, aux glaces à trumeaux.
Portraits contemp. Marilhat. (tarabiscoté, ée)Les ours de Sibérie et les ours des cartons Dans cet autre Spitzberg avaient pris leurs cantons.
Prologue d'ouverture pour l'Odéon (ours)Ce qui faisait la force de Bouchardy, c'était son sérieux profond, sa conviction inébranlable ; il croyait que c'était arrivé, pour nous servir de la formule moderne.
Journ. offic. feuilleton, 6 et 7 juin 1870 (arrivé, ée)Touret de nez, petit masque noir.
Capit. Fracasse, IX (touret)L'Odéon qui ne peut ni vivre ni mourir, N'est jamais plus fermé que lorsqu'il vient d'ouvrir.
Prologue d'ouverture pour l'Odéon (odéon ou odéum)Ce sont des bossus, des culs-de-jatte assis dans leur sébile.
Feuilleton du Journal officiel, 25 juin 1869 (sébile)Le jeune peintre [Fortuny]… n'a pas voulu se hasarder dans ce grand tumulte de peintures [l'exposition], non par orgueil et, comme on dit, pour faire petite chapelle, mais par vraie modestie et susceptibilité nerveuse d'artiste.
Journ. offic. feuilleton, 19 mai 1870 (chapelle)Plus loin, dans l'azurement bleuâtre du lointain, on découvrait le coteau de Ménilmontant.
Portraits contemporains, p. 190 (1874) (azurement)Lui qui avait été élevé dans la patrioterie et la religion de la bayonnette souveraine.
La jeune France, 1833, p. 145 (patrioterie)…doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))Tous les grands panneaux de la voûte n'existent plus.
Journ. offic. 6 août 1871 (tout, toute)La moitié du corps est baignée d'une ombre illuminée de reflets un peu trop transparents peut-être et qui, en certains endroits, font ce qu'on appelle lanterne.
Moniteur universel, 9 mai 1868 (lanterne)Après ma mort une avalanche De son linceul me couvrira.
le Chasseur. (linceul)D'un côté, la modernité la plus extrême ; de l'autre, l'amour austère de l'antique.
Moniteur univ. 8 juill. 1867 (modernité)Après sa mort, les tableaux et les objets d'art amassés avec tant de soins, d'amour et de passion devront s'éparpiller au feu des enchères.
Journ. offic. 2 mai 1870, feuilleton. (enchère)Ornés de clochettes qui tintinnabulaient sans cesse.
Étude sur Baudelaire. (tintinnabuler)Des grimaces plus simiesques qu'humaines.
Cap. Fracasse, VII (simiesque)