Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
Un corridor dallé en quadrillage blanc et noir.
Cap. Fracasse, I (quadrillage)Des graines apportées par le vent se développaient avec cette robustesse vivace, particulière aux mauvaises herbes.
Capitaine Fracasse, I (robustesse)Dans d'autres endroits, l'eau grise stagnait sur le sable gris.
Journ. offic. 19 mars 1870, Feuilleton. (stagner)Maître puissant par qui tout génie est formé, Public, sublime auteur qu'on n'a jamais nommé !
Prol. de réouverture de l'Odéon (sublime)Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)Des brins de chaume, des broussailles hérissent çà et là la couche neigeuse où sautillent des corbeaux qui virgulent de leur noirceur la blancheur du sol.
Feuilleton du Monit. univ. 25 mai 1868 (virguler)Il ne serait pas difficile à un œil visionnaire, comme celui de Hoffmann, de trouver là le décor d'un conte fantastique.
le Bien public, 12 mai 1872 (visionnaire)M. le duc de Massa n'est plus un amateur, c'est un artiste, un maestro.
Feuilleton du Monit. univ. 6 avril 1868 (maestro)Le ton de la robe [d'un chien], le hérissé du poil,
cité dans le Dict. de POITEVIN (hérissé, ée)Celui qui est rasé, comme on dit en argot de l'endroit, quitte discrètement sa place, les mains dans ses goussets vides.
Feuilleton du Moniteur universel, 3 juin 1867 (rasé, ée)Quand l'actrice, comme une statue qui se piète sur son socle, a redressé sa haute taille…
Journ. offic. Feuilleton, 25 juill. 1870 (piéter)Strige, harpie, magicienne, empouse (sic).
Portraits contemp. (Honoré de Balzac) (empuse)Les arbres du parc… forment un fond dont la chaleur sourde fait merveilleusement valoir les figures repiquées de réveillons pétillants d'esprit et d'une finesse singulière de ton.
Journ. offic. 2 mai 1870, Feuilleton (repiqué, ée)Nous nous réembarquons immédiatement pour Napoli de Romanie.
Portraits contemp. Marilhat. (réembarquer)Les maniérismes à la mode éloignent presque toujours les artistes des sujets actuels, qu'ils n'acceptent que comme à regret, et le plus souvent pour les travestir.
ib. Horace Vernet. (maniérisme)Le grand cadavre, gisant à l'autre bout de la chambre, assassiné par des rufians coupe-jarrets, produit une impression des plus dramatiques.
Portraits contemporains, Delaroche (rufien)Il ne les hausse pas jusqu'à la truculence en appuyant un croc de sanglier sur une lèvre calleuse, comme en ont les vieilles des Tentations de saint Antoine de Téniers.
Portraits contemp. Henri Monnier (truculence)Après ma mort, une avalanche De son linceul me couvrira, Et sur mon corps la neige blanche, Tombeau d'argent, s'élèvera.
le Chasseur. (neige)La femme de nos jours, absente des tableaux, revit dans les historiques lithographies de notre artiste, avec son maniérisme coquet, sa grâce spirituelle, son élégance chiffonnée, sa beauté problématique.
Portraits contemp. Gavarni. (maniérisme)Le vif-argent aux fleurs fantasques, Dont les vitraux sont ramagés.
Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ramagé, ée)