Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
Nous nous réembarquons immédiatement pour Napoli de Romanie.
Portraits contemp. Marilhat. (réembarquer)Nous avons vu en songe se pencher du haut des terrasses blanches ces belles filles aux tresses d'or crespelées.
dans SAINTE-BEUVE, Nouv. lundis, t. VI (Th. Gautier, I) (crépelu, ue)Il fait grand, chose importante pour l'Opéra, et l'on sent qu'il pourrait remplir aisément ce vaste cadre.
Feuilleton, Monit. universel, 30 nov. 1868. Faire grand est très peu français. (grand, ande)Il faut au peintre qui se consacre à la reproduction fidèle des faits contemporains un courage tout particulier, une prédisposition géniale ; car il n'a pas de précédents ni de modèles autres que ceux qui sont offerts par la réalité.
Portraits contemporains, Paris, 1874, Horace Vernet (génial, ale)Le tonnerre gronde formidablement.
Feuilleton du Moniteur univ. 27 avr. 1868 (formidablement)Nous engageons aussi M. Émile Breton à ne pas abuser des traits noirs dans l'accentuation des contours ; cela ressemble à ces traits de force que le maître donne après coup aux dessins cotonneux des petits pensionnaires.
Journ. officiel, 27 juin 1869 (trait [1])La mort dissimulait sa face, Aux trous profonds, au nez camard, Dont la hideur railleuse efface Les chimères du cauchemar.
Émaux et camés, bûchers et tombeaux. p. 222 (hideur)Plus loin, dans l'azurement bleuâtre du lointain, on découvrait le coteau de Ménilmontant.
Portraits contemporains, p. 190 (1874) (azurement)À la fin, le courage le plus robuste se lasse de varier toujours le même thème.
Feuilleton du Monit. univ. 4 juin 1868 (varier)Il [l'hiver] chante d'une voix peu sûre Des airs vieillots et chevrotants ; Son pied glacé bat la mesure Et la semelle en même temps.
Émaux et camées, Fantaisie d'hiver (semelle)Des graines apportées par le vent se développaient avec cette robustesse vivace, particulière aux mauvaises herbes.
Capitaine Fracasse, I (robustesse)Son œil d'aigle, son front argenté vers les tempes, Rappelaient les fiertés des plus mâles estampes.
P. Corneille. (tempe [1])L'illustrateur, qu'on nous pardonne ce néologisme qui n'en est presque plus un, ne doit voir qu'avec les yeux d'un autre.
Portraits contemporains, Tony Johannot (illustrateur)Le vif-argent aux fleurs fantasques, Dont les vitraux sont ramagés.
Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ramagé, ée)Strige, harpie, magicienne, empouse (sic).
Portraits contemp. (Honoré de Balzac) (empuse)Après sa mort, les tableaux et les objets d'art amassés avec tant de soins, d'amour et de passion devront s'éparpiller au feu des enchères.
Journ. offic. 2 mai 1870, feuilleton. (enchère)Un vieux monsieur à qui ses lunettes, brillantées par une lumière frisante, donnent l'aspect d'un hibou.
Journ. offic. 19 mai 1870, feuilleton. (frisant, te)Quelques détails indiqués plus précisément ne nuiraient pas ; à force d'être large, on devient vague.
Feuilleton du Journ. offic. du 26 juin 1869 (vague [2])…doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)