Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Les babies britanniques ont des teints de crème et de fraise.
    les Beaux-arts en Europe, t. I, p. 44 (baby [1])
  2. L'Odéon qui ne peut ni vivre ni mourir, N'est jamais plus fermé que lorsqu'il vient d'ouvrir.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (odéon ou odéum)
  3. Après ma mort une avalanche De son linceul me couvrira.
    le Chasseur. (linceul)
  4. Le reflet c'est la lumière renvoyée frappant dans la demi-teinte un corps solide, et il ne faut pas que le jour ait l'air de passer à travers la toile.
    Feuilleton, Moniteur universel, 9 mai 1868 (reflet)
  5. Chacun [hommes de lettres prenant un pseudonyme] arrangeait un peu son nom, pour lui donner plus de tournure.
    dans le Bien public, 10 mars 1872 (tournure)
  6. Nous nous prenons à regretter ces cahiers de feuillé qu'on nous faisait copier dans notre enfance et qui détaillaient avec précision des branches de marronnier, de chêne, de hêtre, etc.
    Feuilleton du Monit. univ. 27 juin 1868 (feuillé, ée)
  7. Sept ou huit de ces chiens d'Orient, maigres, saigneux, efflanqués.
    Journ. officiel, Feuill. 19 mai 1870 (saigneux, euse)
  8. Son œil d'aigle, son front argenté vers les tempes, Rappelaient les fiertés des plus mâles estampes.
    P. Corneille. (tempe [1])
  9. Les ours de Sibérie et les ours des cartons Dans cet autre Spitzberg avaient pris leurs cantons.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (ours)
  10. Cheret, le peintre des bois ombreux, des clairières ensoleillées.
    Portr. contemporains, Paris, 1874 (ensoleillé, ée)
  11. Il avançait quelque axiome sataniquement monstrueux.
    Élude sur Baudelaire. (sataniquement)
  12. Ce qui faisait la force de Bouchardy, c'était son sérieux profond, sa conviction inébranlable ; il croyait que c'était arrivé, pour nous servir de la formule moderne.
    Journ. offic. feuilleton, 6 et 7 juin 1870 (arrivé, ée)
  13. Dans d'autres endroits, l'eau grise stagnait sur le sable gris.
    Journ. offic. 19 mars 1870, Feuilleton. (stagner)
  14. Un corridor dallé en quadrillage blanc et noir.
    Cap. Fracasse, I (quadrillage)
  15. Deux ou trois jeunes femmes, mises avec cette élégance un peu extravagante qui est le goût du jour, vestes soutachées d'or, robes à traînes ou bizarrement relevées.
    Feuilleton du Monit. univ. 3 juin 1867 (soutacher)
  16. Le ton de la robe [d'un chien], le hérissé du poil,
    cité dans le Dict. de POITEVIN (hérissé, ée)
  17. Quand nous le rencontrions ainsi absorbé [Gérard de Nerval], nous avions garde de l'aborder brusquement, de peur de le faire tomber du haut de son rêve comme un somnambule qu'on réveillerait en sursaut,…
    le Bien public, 21 avril 1872 (garde [1])
  18. De leurs fleurs férocement bariolées et tigrées… s'exhalent des parfums âcres, pénétrants, vertigineux.
    Portraits contemp. Baudelaire. (férocement)
  19. Après ma mort, une avalanche De son linceul me couvrira, Et sur mon corps la neige blanche, Tombeau d'argent, s'élèvera.
    le Chasseur. (neige)
  20. Il ne les hausse pas jusqu'à la truculence en appuyant un croc de sanglier sur une lèvre calleuse, comme en ont les vieilles des Tentations de saint Antoine de Téniers.
    Portraits contemp. Henri Monnier (truculence)