Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
Curiosités de toutes sortes, plâtres, moulages, esquisses, copies, passe-partout remplis de gravures.
Moniteur universel, 1er et 2 juin 1868 (passe-partout)Des grimaces plus simiesques qu'humaines.
Cap. Fracasse, VII (simiesque)M. le duc de Massa n'est plus un amateur, c'est un artiste, un maestro.
Feuilleton du Monit. univ. 6 avril 1868 (maestro)Le quai de la Mergellina, où les lazzaroni demi-nus se cuisent et donnent à leur peau une patine de bronze.
Avatar, I (patine)Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)Le vif-argent aux fleurs fantasques, Dont les vitraux sont ramagés.
Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ramagé, ée)Cette peinture si génialement anglaise.
les Beaux-arts en Europe, t. I, II, 13 (génialement)Le boa se déroule et siffle, Le tigre fait son hurlement, Le buffle en colère renifle ; Lui dort ou paît tranquillement.
Poésies, l'Hippopotame (renifler)Puis nous allions déjeuner à l'île Saint-Georges avec des rougets de l'Adriatique, des fruits de mer, du raisin et un pot de vin de Chypre.
Monit. univ. 22 juin 1868 (fruit [1])Sept ou huit de ces chiens d'Orient, maigres, saigneux, efflanqués.
Journ. officiel, Feuill. 19 mai 1870 (saigneux, euse)Un tableautin, chef-d'œuvre d'esprit et de couleur.
Journ. offic. 1er mai 1870, p. 754, 5<sup>e</sup> col. (tableautin)En pénétrant dans ce cabinet, fausse cachette masquant la véritable, les sondeurs devaient se croire arrivés à leur but.
Journ. offic. 14 août 1871 (sondeur)Vous n'êtes, ne fûtes et ne serez jamais que ce que les étudiants allemands appellent un philistin, et les artistes français un bourgeois.
dans Revue des Deux-Mondes, t. XIX, p. 889, 1847 (philistin)La femme de nos jours, absente des tableaux, revit dans les historiques lithographies de notre artiste, avec son maniérisme coquet, sa grâce spirituelle, son élégance chiffonnée, sa beauté problématique.
Portraits contemp. Gavarni. (maniérisme)…doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))Quoi de plus charmant qu'un groupe de femmes de beauté différente et contrastée, assises sur un pouf au milieu d'un salon dans des flots de guipures et de dentelles qui écument à leurs pieds comme la mer aux pieds de Vénus ?
Moniteur univ. 3 juin 1867 (pouf [3])Tamburini, coiffé de son chapeau à la Henri IV, n'est pas médiocrement bouffon ; il a un air troubadour à faire éclater de rire : on dirait une pendule vivante.
Hist. de l'art dramatique, t. I, p. 186 (troubadour)Quatre vases d'une sveltesse hardie.
Journ. offic. 6 juin 1871 (sveltesse)Ces précieux manuscrits à miniatures où s'épuisait la patience des imagiers.
Portraits contemp. Ingres. (imagier)Des brins de chaume, des broussailles hérissent çà et là la couche neigeuse où sautillent des corbeaux qui virgulent de leur noirceur la blancheur du sol.
Feuilleton du Monit. univ. 25 mai 1868 (virguler)