Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Ces figures plafonnent bien, sans offrir de ces raccourcis désagréables qui rapprochent l'orteil de la narine.
    Monit. univ. 2 mai 1868 (plafonner)
  2. Tamburini, coiffé de son chapeau à la Henri IV, n'est pas médiocrement bouffon ; il a un air troubadour à faire éclater de rire : on dirait une pendule vivante.
    Hist. de l'art dramatique, t. I, p. 186 (troubadour)
  3. Hernani se répétait, et, au tumulte qui se faisait déjà autour de la pièce, on pouvait prévoir que l'affaire serait chaude.
    le Bien public, 3 mars 1872 (répéter)
  4. Ce sont des bossus, des culs-de-jatte assis dans leur sébile.
    Feuilleton du Journal officiel, 25 juin 1869 (sébile)
  5. Les malades prennent des apparences spectrales et des airs de morts.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3083 (spectral, ale)
  6. Les babies britanniques ont des teints de crème et de fraise.
    les Beaux-arts en Europe, t. I, p. 44 (baby [1])
  7. Le vif-argent aux fleurs fantasques, Dont les vitraux sont ramagés.
    Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ramagé, ée)
  8. Le reflet c'est la lumière renvoyée frappant dans la demi-teinte un corps solide, et il ne faut pas que le jour ait l'air de passer à travers la toile.
    Feuilleton, Moniteur universel, 9 mai 1868 (reflet)
  9. Nous engageons aussi M. Émile Breton à ne pas abuser des traits noirs dans l'accentuation des contours ; cela ressemble à ces traits de force que le maître donne après coup aux dessins cotonneux des petits pensionnaires.
    Journ. officiel, 27 juin 1869 (trait [1])
  10. Cette peinture si génialement anglaise.
    les Beaux-arts en Europe, t. I, II, 13 (génialement)
  11. Il [Léon Gozlan] était de sa nature ce qu'on appelle dans le jargon moderne un paroxyste, c'est-à-dire un tempérament poussant tout au paroxysme et à l'outrance.
    Moniteur univ. 17 sept. 1866 (paroxyste)
  12. Après sa mort, les tableaux et les objets d'art amassés avec tant de soins, d'amour et de passion devront s'éparpiller au feu des enchères.
    Journ. offic. 2 mai 1870, feuilleton. (enchère)
  13. Maître puissant par qui tout génie est formé, Public, sublime auteur qu'on n'a jamais nommé !
    Prol. de réouverture de l'Odéon (sublime)
  14. Jetant le voile qui te pèse, Réalité que l'art rêva, Comme la princesse Borghèse Tu poserais pour Canova.
    Émaux et camées, à une robe rose (poser)
  15. Des fanaux disséminés en nombre suffisant, non pour éclairer, mais pour rendre l'obscurité visible.
    le Bien public, 12 mai 1872 (visible)
  16. D'un côté, la modernité la plus extrême ; de l'autre, l'amour austère de l'antique.
    Moniteur univ. 8 juill. 1867 (modernité)
  17. Un tableautin, chef-d'œuvre d'esprit et de couleur.
    Journ. offic. 1er mai 1870, p. 754, 5<sup>e</sup> col. (tableautin)
  18. Ce type, si neuf et si actuel de la jeune fille tintamarresque.
    Portraits contemporains, Jules de Goncourt (tintamarresque)
  19. Un vaste salon aux boiseries tarabiscotées, aux glaces à trumeaux.
    Portraits contemp. Marilhat. (tarabiscoté, ée)
  20. Le boa se déroule et siffle, Le tigre fait son hurlement, Le buffle en colère renifle ; Lui dort ou paît tranquillement.
    Poésies, l'Hippopotame (renifler)