Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Dans d'autres endroits, l'eau grise stagnait sur le sable gris.
    Journ. offic. 19 mars 1870, Feuilleton. (stagner)
  2. Le quai de la Mergellina, où les lazzaroni demi-nus se cuisent et donnent à leur peau une patine de bronze.
    Avatar, I (patine)
  3. Il ne les hausse pas jusqu'à la truculence en appuyant un croc de sanglier sur une lèvre calleuse, comme en ont les vieilles des Tentations de saint Antoine de Téniers.
    Portraits contemp. Henri Monnier (truculence)
  4. L'eau s'enfle, comme une poitrine Aux soupirs de la passion ; Le vent, dans sa conque marine, Murmure une incantation.
    Émaux et camées, caerulei oculi (incantation)
  5. Sept ou huit de ces chiens d'Orient, maigres, saigneux, efflanqués.
    Journ. officiel, Feuill. 19 mai 1870 (saigneux, euse)
  6. Les malades prennent des apparences spectrales et des airs de morts.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3083 (spectral, ale)
  7. L'hermine, vierge de souillure, Qui, pour abriter les frissons, Ouate de sa blanche fourrure Les épaules et les blasons.
    Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ouater)
  8. Une pièce d'azurite enchâssée dans sa prunelle [de la statue de Minerve] rappelle l'épithète de glaucopis qu'Homère ne manque jamais d'appliquer à Pallas-Athéné, et prête à son regard une lueur étrange.
    Portraits contemp. (Simart) (azurite)
  9. Gustave M…, un peintre qui redébutait au milieu de sa carrière, après avoir donné presque incognito des preuves de grand talent.
    l'Illustration, 2 mars 1872 (redébuter)
  10. Il [Léon Gozlan] était de sa nature ce qu'on appelle dans le jargon moderne un paroxyste, c'est-à-dire un tempérament poussant tout au paroxysme et à l'outrance.
    Moniteur univ. 17 sept. 1866 (paroxyste)
  11. Et l'on eût dit à voir ce masque souverain [le visage de Corneille] Une médaille antique à frapper en airain.
    le Soulier de Corneille. (souverain, aine,)
  12. Il y a dans tout groupe une individualité pivotale, autour de laquelle les autres s'implantent et gravitent comme un système de planètes autour de leur astre.
    le Bien public, 10 mars 1872 (pivotal, ale)
  13. Le grand cadavre, gisant à l'autre bout de la chambre, assassiné par des rufians coupe-jarrets, produit une impression des plus dramatiques.
    Portraits contemporains, Delaroche (rufien)
  14. Des brins de chaume, des broussailles hérissent çà et là la couche neigeuse où sautillent des corbeaux qui virgulent de leur noirceur la blancheur du sol.
    Feuilleton du Monit. univ. 25 mai 1868 (virguler)
  15. Une femme aux traits réguliers, aux cheveux d'un noir d'enfer, comme dit Alfred de Musset.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (noir, oire)
  16. La moitié du corps est baignée d'une ombre illuminée de reflets un peu trop transparents peut-être et qui, en certains endroits, font ce qu'on appelle lanterne.
    Moniteur universel, 9 mai 1868 (lanterne)
  17. Deux ou trois jeunes femmes, mises avec cette élégance un peu extravagante qui est le goût du jour, vestes soutachées d'or, robes à traînes ou bizarrement relevées.
    Feuilleton du Monit. univ. 3 juin 1867 (soutacher)
  18. Un autre dessin déploie le panorama de Paris vu en abîme du plateau de la butte Montmartre.
    Journ. offic. 30 août 1871, p. 3083, 2<sup>e</sup> col. (abîme)
  19. D'abord superbe et triomphante, Elle vint en grand apparat, Traînant avec des airs d'infante Un flot de velours nacarat.
    Émaux et camées, le Poëme de la femme (nacarat)
  20. Hernani se répétait, et, au tumulte qui se faisait déjà autour de la pièce, on pouvait prévoir que l'affaire serait chaude.
    le Bien public, 3 mars 1872 (répéter)