Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Tamburini, coiffé de son chapeau à la Henri IV, n'est pas médiocrement bouffon ; il a un air troubadour à faire éclater de rire : on dirait une pendule vivante.
    Hist. de l'art dramatique, t. I, p. 186 (troubadour)
  2. Son œil d'aigle, son front argenté vers les tempes, Rappelaient les fiertés des plus mâles estampes.
    P. Corneille. (tempe [1])
  3. Quand l'actrice, comme une statue qui se piète sur son socle, a redressé sa haute taille…
    Journ. offic. Feuilleton, 25 juill. 1870 (piéter)
  4. Strige, harpie, magicienne, empouse (sic).
    Portraits contemp. (Honoré de Balzac) (empuse)
  5. Je suis enfant de la montagne, Comme l'isard, comme l'aiglon.
    Poésies, le Chasseur. (isard)
  6. Se pourlécher les babines.
    Cap. Fracasse, I (pourlécher)
  7. C'est un beau tournoi de paroles [une scène de mélodrame entre deux acteurs] ; l'un fait sonner toutes les r, l'autre toutes les s ; il arrive un moment où le débit s'échauffe au point qu'on n'entend plus qu'un ronflement d'un côté et qu'un sifflement de l'autre.
    Hist. de l'art dramatique, t. I, p. 24 (ronflement)
  8. Le quai de la Mergellina, où les lazzaroni demi-nus se cuisent et donnent à leur peau une patine de bronze.
    Avatar, I (patine)
  9. Nous nous prenons à regretter ces cahiers de feuillé qu'on nous faisait copier dans notre enfance et qui détaillaient avec précision des branches de marronnier, de chêne, de hêtre, etc.
    Feuilleton du Monit. univ. 27 juin 1868 (feuillé, ée)
  10. Il y a les gens mûrs, chauves, ventripotents, apoplectiques.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (ventripotent, ente)
  11. Des fanaux disséminés en nombre suffisant, non pour éclairer, mais pour rendre l'obscurité visible.
    le Bien public, 12 mai 1872 (visible)
  12. Sur la table de pose, se dresse un mannequin drapé, simulant les attitudes de la vie.
    Monit. univ. 1er et 2 juin. 1868 (pose [1])
  13. Ce qui faisait la force de Bouchardy, c'était son sérieux profond, sa conviction inébranlable ; il croyait que c'était arrivé, pour nous servir de la formule moderne.
    Journ. offic. feuilleton, 6 et 7 juin 1870 (arrivé, ée)
  14. D'un côté, la modernité la plus extrême ; de l'autre, l'amour austère de l'antique.
    Moniteur univ. 8 juill. 1867 (modernité)
  15. Ces figures plafonnent bien, sans offrir de ces raccourcis désagréables qui rapprochent l'orteil de la narine.
    Monit. univ. 2 mai 1868 (plafonner)
  16. Celui qui est rasé, comme on dit en argot de l'endroit, quitte discrètement sa place, les mains dans ses goussets vides.
    Feuilleton du Moniteur universel, 3 juin 1867 (rasé, ée)
  17. L'hermine, vierge de souillure, Qui, pour abriter les frissons, Ouate de sa blanche fourrure Les épaules et les blasons.
    Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ouater)
  18. L'Odéon qui ne peut ni vivre ni mourir, N'est jamais plus fermé que lorsqu'il vient d'ouvrir.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (odéon ou odéum)
  19. Des brins de chaume, des broussailles hérissent çà et là la couche neigeuse où sautillent des corbeaux qui virgulent de leur noirceur la blancheur du sol.
    Feuilleton du Monit. univ. 25 mai 1868 (virguler)
  20. Maître puissant par qui tout génie est formé, Public, sublime auteur qu'on n'a jamais nommé !
    Prol. de réouverture de l'Odéon (sublime)