Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
Les avalanches et les éboulis de la montagne qui s'étendent jusque-là.
Feuilleton du Monit. univ. 7 sept. 1868 (éboulis)Le ton de la robe [d'un chien], le hérissé du poil,
cité dans le Dict. de POITEVIN (hérissé, ée)Un vieux monsieur à qui ses lunettes, brillantées par une lumière frisante, donnent l'aspect d'un hibou.
Journ. offic. 19 mai 1870, feuilleton. (frisant, te)Placés à l'y du carrefour, nous hésitions entre les deux routes.
le Bien public, 10 mars 1872 (y [1])Il [Léon Gozlan] était de sa nature ce qu'on appelle dans le jargon moderne un paroxyste, c'est-à-dire un tempérament poussant tout au paroxysme et à l'outrance.
Moniteur univ. 17 sept. 1866 (paroxyste)Posez-moi, sans jaune immortelle, Sans coussin de larmes brodé, Sur mon oreiller de dentelle De ma chevelure inondé.
Émaux et camées, Coquetterie posthume (inondé, ée)Touret de nez, petit masque noir.
Capit. Fracasse, IX (touret)Cette peinture si génialement anglaise.
les Beaux-arts en Europe, t. I, II, 13 (génialement)Plus loin, dans l'azurement bleuâtre du lointain, on découvrait le coteau de Ménilmontant.
Portraits contemporains, p. 190 (1874) (azurement)Il faut au peintre qui se consacre à la reproduction fidèle des faits contemporains un courage tout particulier, une prédisposition géniale ; car il n'a pas de précédents ni de modèles autres que ceux qui sont offerts par la réalité.
Portraits contemporains, Paris, 1874, Horace Vernet (génial, ale)Chaque artiste résigné à la maigre sportule du siége.
Journ. offic. 30 août 1871, p. 3082 (sportule)C'était un esthéticien de première force, un très grand poëte, d'un art très raffiné et très compliqué.
Portr. contemp. Ch. Baudelaire. (esthéticien)C'est un beau tournoi de paroles [une scène de mélodrame entre deux acteurs] ; l'un fait sonner toutes les r, l'autre toutes les s ; il arrive un moment où le débit s'échauffe au point qu'on n'entend plus qu'un ronflement d'un côté et qu'un sifflement de l'autre.
Hist. de l'art dramatique, t. I, p. 24 (ronflement)À la fin, le courage le plus robuste se lasse de varier toujours le même thème.
Feuilleton du Monit. univ. 4 juin 1868 (varier)Deux longues mèches se détachaient capricieusement des crêpelures.
le Capitaine Fracasse, II (crépelure)Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)Strige, harpie, magicienne, empouse (sic).
Portraits contemp. (Honoré de Balzac) (empuse)Des graines apportées par le vent se développaient avec cette robustesse vivace, particulière aux mauvaises herbes.
Capitaine Fracasse, I (robustesse)D'un linceul de point d'Angleterre Que l'on recouvre sa beauté.
Émaux et camées, Le poëme de la femme (point [1])Des fanaux disséminés en nombre suffisant, non pour éclairer, mais pour rendre l'obscurité visible.
le Bien public, 12 mai 1872 (visible)