Jean, PRINCE DE JOINVILLE, auteur cité dans le Littré
JOINVILLE (1224-1317)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme JOINVILLE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Le livre des saintes paroles et des bonnes actions de saint Louis | 1309 | 1267 citations |
Quelques citations de Jean, PRINCE DE JOINVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 1291 citations dans le Littré.
Du prael [pré] mouvoit une alée qui aloit au flum.
244 (mouvoir)Autant peut dire nostre seigneur de nous, comme il dit des filz Israel…
216 (autant)Et il respondirent que il leur sembloit que nous n'avions talent d'estre delivrez, et que il s'en iroient et nous enverroient ceulz qui joueroient à nous des espées, aussi comme il avoient fait aus autres.
242 (jouer)Bone justice et roide, et qui n'espargnast plus le riche home que le poure.
297 (roide ou raide)Et n'osoient les hommes toucher aux femmes en nulle maniere, pour la loy que leur premier roy leur avoit donnée.
264 (toucher [1])Et le conte de Champaingne vendi au roy parmi [pour] quarante mil livres les fiez ci après nommés.
204 (fief)Ne ne soufferront nos droiz que il soient soustrait, ne osté, ne amenuisié.
294 (amenuiser)Et disoit que il [un cordelier] ne trouvoit ne es creans ne es mescreans, que onques reaume se perdist, mez que par defaute de droit.
199 (royaume)Celi jour porte l'en croix aus processions en moult de liex, et en France les appele l'en les croiz noires.
201 (lieu [1])Or avint ainsi que je trouvai un gamboison d'estoupes à un Sarrasin, je tournai le fendu [le côté ouvert] devers moy, et fis escu du gamboison, qui m'ot grant mestier.
228 (fendre)Et sembloit que foudre cheist des ciex au bruit que les nacaires, les tabours et les cors sarrazinois menoient…
215 (tambour)Il fist la meson Dieu de Pontoise… l'abbaie des cordelieres de Saint Clou, que sa seur madame Isabiau fonda par son otroi.
293 (octroi)Et un chevalier de son conseil dit que je ne fesoie pas bien quant je aportoie tiex [telles] nouvelles au roy, là où il y avoit bien sept mil livrées d'outrage [d'exagération].
261 (livrée [2])Ferant et batant de maces et d'espées.
227 (battre)Les chevaus estoient lassez, et le jour estoit eschaufé.
227 (lasser)Ainçois manjoit patientment ce que ses queus li appareilloient devant li.
193 (patiemment)Et il me respondi que à nul feur il ne feroit le mariage, jusques à tant que la pez fust faite, pour ce que l'en ne deist que il mariast ses enfans ou [au] desheritement de ses barons.
289 (déshéritement)Le mestre s'agenoilla et tendit le chief de son mantel au roy, et abandonna au roy quanque il avoient à prenre pour s'amende, tele comme il la voudroit deviser [régler].
268 (chef)Par desus toutes ces choses, le roy donnoit chascun jour si grans et si larges aumosnes aus poures de religion… à femmes decheues… que à peine pourroit l'en raconter le nombre.
298 (femme)Quant le roi vit ce, il se mist ou peril avec les autres ; car pour un homme que le roy avoit, quant il fu passé devers les Anglois, les Anglois en avoient mil.
206 (devers [1])