Achille JUBINAL, auteur cité dans le Littré
JUBINAL (1810-1875)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme JUBINAL a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Nouveau recueil de contes, dits, fabliaux et autres pièces inédites des XIIIe, XIVe et XVe siècles, pour faire suite aux collections de Legrand d'Aussy, Barbazan et Méon, mis au jour pour la première fois d'après les manuscrits de la bibliothèque du roi | 1839 | 43 citations |
Quelques citations de Achille JUBINAL
Voici un tirage aléatoire parmi ses 43 citations dans le Littré.
Se je languis et au main et au soir, C'est qu'à li [elle] plait qu'ainsi j'use ma vie, Complainte douteuse.
t. II, p. 255 (user)I se met pour g quant li siet ; Au lieu de consonant s'assiet, Senefiance de l'ABC.
t. II, p. 278 (j)Après vous conterai de l'i ; N'i a meillor lettre de li ; Plus est au mont [monde] li delis cors [le plaisir court], Que de l'i n'est petis li cors, Senefiance de l'ABC.
t. II, p. 278 (i)Et si plus que souhait avoie De tous biens d'humain paradis, Lay d'amours.
t. II, p. 191 (souhait)Et la corneille a en ses cris Le k qui est en lettre mis.
Senefiance de l'A, B, C, t. II, p. 280 (corneille [1])Et je ne sui pas trop cousteux ; Je ne manjue fein ne aveine.
Denier et Brebis, t. II, p. 168 (coûteux)Et li miens cuers [cœur] prent son resort En celle vertu qui tout vaint, Lay d'amours.
t. II, p. 198 (ressort [2])Là je choisi [vis] un papegaut [perroquet], Qui prioit amoreusement Et dousement De sentement Une mauvis par douz assaut, Lay d'amours.
t. II, p. 190 (sentiment)Cils qui avoit le cuer orgueilleus et mastin, Jeu de dez.
t. II, p. 230 (mâtin)On ne doit pas selon l'escaille Juger li quels noyaus vaut mieux, la Mort.
II, 274 (écaille)Et un vieus baüs Ocist quatre dus [ducs], Son cors defendant.
Fatrasies, t. II, p. 216 (défendre)Tant ai dedans mon cuer de joie, Qu'il est touz en deduit ravis.
t. II, p. 191 (ravir)Uns flamans d'Auxerre Vessoit por miex poire [péter].
Fatrasies, t. II, p. 209 (vesser)N'ai pas creü la voix, si n'ai pas fait savoir, Fabliaux.
t. I, p. 129 (savoir [2])F nous rendi joie au monde ; Par quoi nous fuissiemes [serions] tuit monde [purs], Se nostre creance fust ferme, Qui chascun jour devient enferme, Senefiance de l'ABC.
t. II, p. 277 (f)Damné fussions, se c ne fust ; Li c senefie le fust De la croix, car le c le forme, Senefiance de l'ABC.
II, 277 (c)O est roons comme li mons [le monde] ; O est maniere d'arester, D'estanchier et de coi ester, Etde mal faire cesser rueve [demande] ; Lceste lettre bien le prueve, Senefiance de l'A B C.
t. II, p. 282 (o [1])Au senateur meïsme moult souvent il jouoit, Et li uns et li autres forment s'y eschauffoit, Jeu de dez.
t. II, 232 (échauffer)Qui voit le peril ains qu'il nuise, C'est cil qui mieux prend garde en lui.
t. II, p. 273 (nuire)Je fais soier [scier], je fais sarcler.
Denier et brebis, t. II, p. 270 (sarcler)