Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit PINDARE LEBRUN, auteur cité dans le Littré
P. LEBRUN (1729-1807)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme P. LEBRUN a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit PINDARE LEBRUN
Voici un tirage aléatoire parmi ses 122 citations dans le Littré.
Rêver que je suis libre et que je suis heureuse.
Marie Stuart, III, 1 (rêver)C'est le plus petit des ruisseaux, Qui soudain fait luire ses eaux Sur le velours d'une prairie.
Poés. t. II, 34 (velours)…Régner ! n'est pas Sybarite qui l'ose, Ni blessé seulement par des feuilles de rose.
Épît. le Roi de Grèce. (sybarite)La lice à mes loisirs offrait ses passe-temps.
le Cid d'Andal. II, 3 (passe-temps)Elle hésite, elle n'ose, elle unit dans son âme L'audacieux despote et la timide femme.
Marie Stuart, II, 2 (timide)Le fruit de l'adultère Profane insolemment le trône d'Angleterre.
Marie St. III, 4 (profaner)Du peuple agenouillé le saint recueillement.
le Cid d'And. II, 3 (recueillement)…Convient-il qu'au fond d'une prison Je contemple le deuil de ma propre maison ?
Marie St. II, 4 (prison)L'aspect du souverain porte grâce au coupable.
Marie, II, 2 (souverain, aine,)L'Athénien tremblant, Debout, la main au cœur et la tête courbée, Adorait le coursier du tartare insolent.
Voy. de Grèce, III (tartare [2])Un désir inquiet tourmentait ma jeunesse.
Pallas, II, 3 (tourmenter)Ô mon Dieu ! s'il est vrai que, dans ta grâce immense, Le repentir ait place auprès de l'innocence.
Marie St. V, 5 (repentir [2])Il n'est pour les mortels que deux biens sans danger : L'un est le nécessaire, et l'autre la sagesse.
Poésies, Bonh. de l'étude. (sagesse)Si la valse s'emporte au galop favori, Plus aimé du valseur qu'agréable au mari.
Épître, le Roi de Grèce. (valseur, euse)C'est un si grand malheur de pleurer la patrie !
Cid d'Andal. II, 2 (patrie)Le jour voyait la reine [Pénélope] entretenir l'ouvrage Dont la fin promettait celle de son veuvage ; Et la secrète nuit détruisait à son tour Ce que devait en vain recommencer le jour.
Ulysse, II, 2 (veuvage)Si le ciel était juste, indigne souveraine, Vous seriez à mes pieds, et je suis votre reine.
Mar. Stuart, III, 4 (pied)Ramenés par Marie au temps de nos ancêtres, Verrons-nous revenir la puissance des prêtres ?
Marie St. IV, 7 (prêtre)… du soleil levant Je regardais venir la lumière enchantée ; J'observais sur la mer sa teinte veloutée.
Poés. t. II, 7 (velouté, ée [1])Une femme est debout, de beauté ravissante, Pieds nus ; et sous ses doigts un indigent fuseau File, d'une quenouille empruntée au roseau, Du coton floconneux la neige éblouissante.
Voy. de Grèce, II, 6 (quenouille)