Antoine LE ROUX DE LINCY, auteur cité dans le Littré
LEROUX DE LINCY (1806-1869)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LEROUX DE LINCY a été choisie.Né le 22 août 1806, mort le 13 mai 1869 : bibliothécaire à la Bibliothèque de l'Arsenal, secrétaire de la Société des bibliophiles français et archiviste paléographe
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Le livre des proverbes français | 1859 | 568 citations |
Quelques citations de Antoine LE ROUX DE LINCY
Voici un tirage aléatoire parmi ses 856 citations dans le Littré.
Dieu donne le froid selon la robbe.
ib. p. 16 (dieu)Defiezvous des gens qui ne voyent le jour que par une fenestre de drap [les moines].
Prov. t. I, p. 24 (drap)Haine de prince signifie mort d'homme.
Prov. t. II, p. 91 (prince)En aoust les gelines sont sourdes [cela signifie que la ménagère appelle en vain ses poules quand elles trouvent à manger partout, et fig. que les gens sont sourds aux conseils jusqu'à ce qu'ils soient sans ressources].
Prov. t. II, p. 91 (sourd, sourde)De wide main wide priere.
Prov. t. I, p. 41 (prière)Mieulx vaut un present que deux attend.
Prov. t. II, p. 350 (présent [2])Bon charton tourne en petit lieu.
Prov. t. II, p. 161 (charreton ou charton)Chien affamé, de bastonnade n'est intimidé.
Proverbes, t. I, p. 165 (chien, chienne)Chien couart voir le loup ne veut.
ib. (chien, chienne)Mieulx vault juger entre ennemis qu'entre ses amis.
Prov. t. II, p. 348 (juger)Un recipé [récépissé] est une obligation.
Prov. t. II, p. 147 (récipé)Un glaive, comme l'on dist, ou couteau Fait tenir l'autre en son fourreau.
Prov. t. II, p. 431 (glaive)Ne vient-il pas tout simplement de la manière dont les gens de la campagne assemblent les oignons avec des liens de paille, en plaçant les plus gros les premiers, et ensuite les autres ?
Prov. t. II, p. 58 (oignon)À l'escorcher la queue est pire.
Prov. t. I, p. 175 (écorcher)Deux femmes font un plaid, trois un grand caquet, quatre un plein marché.
ib. (femme)Cœur pensif ne sait où il va.
Prov. t. II, p. 275 (cœur)Le monde est rond ; qui ne sait nager va au fond.
ib. (monde [1])Jour ouvrier gaigne-denier, jour de feste despensier.
Prov. t. I, p. 104 (jour)Humer et souffler, courir et corner, n'est pas chose à tolerer.
Prov. t. II, p. 305 (courir)Ce que ne veut Martin veut son asne.
Prov. t. II, p. 52 (martin [1])