Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Il s'est répandu depuis quelques jours qu'elle [la future Dauphine] est très laide ; voilà tout ce que j'en sais.
Lett. à M. d'Aubigné, 8 déc. 1681 (répandre)Mettre des bourgeoises là où le roi ne veut que des demoiselles, c'est tromper les intentions du roi.
Lett. à M. de Villette, 5 oct. 1684 (demoiselle)Je suis née pour mourir des maux d'autrui.
Lett. à Mme de Caylus, 30 août 1716 (né, née)Ni la maison, ni moi n'avons un sou.
Lett. à Mme de Caylus, 1er avr. 1718 (sou)J'ai remis votre lettre au roi, il vous estime autant qu'il peut estimer un hérétique.
Lett. à M. de Villette, 10 juillet 1684 (estimer)Je suis consolée d'une partie de Trianon rompue, puisque vous n'y auriez pas été.
Lett. à Mme de Caylus, t. VI, p. 87, dans POUGENS (rompu, ue)Tout ce qui passe par vous en devient meilleur.
Lett. au card. de Noaill. 12 sept. 1698 (passer)Adieu, mon cher frère ; je crois que nous passerons une assez jolie vieillesse, s'il peut y en avoir de jolie.
Lett. à d'Aubigné, 16 oct. 1674 (vieillesse)Je m'observe sans cesse pour retenir mon impatience, et pour empêcher qu'on ne s'aperçoive que je la retiens.
Lett. à Mme de Glapion, 31 juillet 1712 (retenir)L'affaire de M. de Surville n'est pas facile à raccommoder ; mais il ne faut pas se rebuter.
Lett. à Mme de Villette, 20 mars 1707 (raccommoder)Il me revient que vous dites tout à l'abbé Têtu.
Lett. à l'abbé Gobelin, 27 juin 1676 (revenir)Je m'attends à trouver tout le monde renversé sur les affaires d'Espagne, et disant que tout est perdu.
Lett. au duc de Noaill. 7 mars 1711 (renversé, ée)Elle [Mme de Montespan] avait des cochons et des chèvres dans des lambris peints et dorés.
Lett. à Mme de Caylus, 24 janv. 1718 (lambris)Les voilà avec la guimpe et le voile, et aussi religieuses à l'extérieur qu'elles le sont dans l'âme.
Lett. à Mme de Villette, 13 août 1708 (guimpe)Un Flamand a donné le dessin d'une machine pour Marly, qui sera une des merveilles du monde.
Lett. à l'abbé Gobelin, 2 juin 1682 (machine)Mlle de Marcay se fait et danse des mieux.
Lett. à d'Aubigné, 25 juin 1684 (faire [1])Les prudes sont la société la plus convenable aux jeunes personnes.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 167, dans POUGENS (prude)Je ne connais personne qui ait autant de besoin que vous, monseigneur, d'une mort continuelle à tout intérêt et à toute passion.
Lett. au cardinal de Noailles, 30 avril 1697 (mort [3])Sans cette précaution, vous pourriez bien vous trouver enveloppé dans sa disgrâce.
Lett. au duc de Noailles, 4 août 1714 (enveloppé, ée)Il faut que je fasse une pause, je reprendrai tantôt ma lettre, qui sera longue.
Lett. à Mme de Caylus, 29 sept. 1715 (pause)