Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Vous aviez sans doute ordonné à vos peintres de vous ménager le plaisir de la surprise.
Lett. à la duch. de Savoie, 1696, t. II, p. 215, dans POUGENS. (ménager [1])Je voudrais que vous fussiez moins affligée d'une dépense que d'une irrégularité.
Lett. à Mme de la Viefville, 20 juin 1708 (irrégularité)Le roi attend de vos nouvelles pour se décider sur votre grandesse.
Lett. au D. de Noailles, 27 fév. 1711 (grandesse)Vous n'avez jamais vu un tel vacarme dans le salon de Marly qu'il y en a eu sur l'évacuation des troupes d'Espagne.
Lett. au d. de Noailles, 30 juin 1709 (évacuation)On le dit fort honnête homme, fort estimé, et suivi dans ses sermons qu'on prétend être très bien.
Lett. au card. de Noailles, 22 oct. 1708 (suivi, ie)Vous savez qu'il tomba malade dès Amboise.
Lett. à l'abbé Gobelin, 27 oct. 1675 (dès)Je sais qu'une favorite ou nièce d'abbesse est la plus mauvaise de toutes les éducations.
Lett. à Mme de la Viefville, 3 avril 1707 (nièce)Je suis inaccessible ; j'ai toujours dans ma chambre ou le roi ou Mme la duchesse de Bourgogne.
Lett. au card. de Noailles, 9 sept. 1698 (inaccessible)J'ai dit aussi que je croyais qu'il faudrait, quand il sera tout à fait résolu, en dire un petit mot au roi ; je voudrais que ce mot passât par vous.
Lett. au card. de Noailles, 27 janvier 1699 (mot)Il faut patienter sur la grande affaire, et espérer que Dieu la tournera pour sa gloire.
Lett. au card. de Noailles, 6 oct. 1699 (tourner)Je vous ai soupçonnée de finesse ; je suis bien aise de m'être trompée.
Lett. à Mme de la Viefville, 23 fév. 1705 (finesse)Qu'elles vivent comme des anges ! qu'elles ne songent qu'à mourir à elles-mêmes !
Lett. à Mme de Fontaines, t. III, p. 140, dans POUGENS. (mourir)La police féminine y triomphe.
Lett. à d'Aubigné, 14 mai 1682 (féminin, ine)Je ne me soucie point de lire Télémaque.
Lett. à Mme de Caylus, 10 avril 1717 (soucier)M. le Prince vint se mettre en tiers, et se rendit maître de la conversation.
Lett. à Mme de Brinon, 17 mars 1692 (tiers, erce)Il vaut mieux passer pour sérieuse que pour ridicule, et pour taciturne que pour imbécile.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 164, dans POUGENS (taciturne)Notre princesse a eu, en tout ceci, une conduite si obligeante pour vous, qu'elle doit vous raccommoder pour longtemps.
Lett. au duc de Noail. 5 août 1710 (raccommoder)Un effet de la plus raffinée politique du prince d'Orange.
Lett. au card. de Noailles, 21 mai 1701 (raffiné, ée)M. de Saint-Hilaire a fait une très belle fin.
Lett. d'Aubigné, 10 oct. 1685 (fin [1])Un paralytique auquel je ne fais aucun bien, et qui n'entend parler de moi que depuis hier, de moi dont la fortune a commencé par un paralytique.
Lett. au card. de Noailles, 12 déc. 1701 (paralytique)