Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Travaillez sur votre humeur : si vous pouvez la rendre moins bilieuse et moins sombre, ce sera un grand point de gagné.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 128, dans POUGENS (point [1])Que je vous gronde ; vous doutez de mes sentiments, parce que vous n'en voyez pas de marques.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 233, dans POUGENS (que [2])Enfin sa maison fut plus d'une heure à passer et à être admirée.
Lett. à Mme de Villarceaux, 27 août 1660 (maison)C'est la piété qui rectifie les passions.
Lettre à Mme du Peron, 25 oct. 1686 (piété [1])Me retirer à dix heures, et faire la prière avec mes domestiques.
Lett. à l'abbé Gobelin, 16 mars 1675 (retirer)Plus on approfondit tout ce qui a rapport à ce pantalon suisse, plus on trouve de preuves de son incroyable vanité.
Lett. au D. de Noailles, 19 juin 1710 (pantalon)Je ne finirais pas si je vous disais les projets désordonnés dans lesquels elle veut me faire entrer.
Lettre à Mme de Caylus, 25 déc. 1717 (désordonné, ée)Peut-être ferez-vous un jour quelque action d'éclat qui vous lavera de tout soupçon.
Lett. au card. de Noailles, 13 oct. 1698 (laver)Dites à Mme de Ventadour combien je l'honore.
Lett. à Mme de St-Géran, 27 août 1704 (honorer)Quand les filles se sont débandé la tête deux heures par jour, elles ne sont pas pressées de chercher d'autres délassements.
Lett. à Mme de la Viefville, 23 février 1706 (débander [1])M. de Luxembourg ne sait pas fuir : il gagne des batailles par habitude.
Lett. à Mme de St-Géran, 14 avr. 1694 (habitude)Notre bon curé [de Versailles] que vous aimez tant, se meurt : il ne passera pas midi.
Lett. à Mme de Brinon, 1686, t. II, p. 185, dans POUGENS. (passer)Qu'elle fasse tous les jours la prière en public ; comptez qu'on doit cet exemple à ses domestiques.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (prière)Je parlai l'autre jour un quart d'heure à mon frère ; il y a plus de trois ans que cela ne m'était arrivé.
Lett. à Mme de Brinon, 14 oct. 1693 (quart [2])Voilà, mon cher comte, ce qui s'est passé ; je n'y ajouterai pas les dits et les redits des dames sur l'ecclésiastique qui a servi au salut de mon frère.
Lett. à M. de Noailles, 11 juin 1703 (dit [2])La vraie piété, la solide piété, la droite piété vous donnera tout.
ib. 20 juin 1708 (piété [1])M. Fagon est déclaré premier médecin de Mme la Dauphine.
Lett. à M. d'Aubigné, 1er janv. 1681 (médecin)M. Colbert, qui ne pense qu'à ses finances, et presque jamais à la religion.
Lett. à Mme de St-Géran, 24 août 1681 (penser [1])En vérité, il est bien difficile de comprendre comment cette fusée pourra se démêler.
Lett. au duc de Noailles, 2 sept. 1707 (fusée)Si le roi d'Espagne maigrit et part [meurt] de cette manière-là, il sera difficile de ne pas soupçonner Alberoni.
Lett. à Mme de Caylus, 11 sept. 1716 (maigrir)