Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Je sors d'une quinte si violente, que Mlle d'Aumale et Mlle de la Tour étaient en pleurs.
Lett. à Mme de Caylus, 28 nov. 1716 (sortir [1])Je vis bien que le roi n'était pas persuadé, mais je crus qu'il n'y avait qu'à en demeurer là.
Lettr. au card. de Noailles, 25 mai 1695 (demeurer)N'allez pas lui faire croire que vous m'excitez, et que vous voulez me faire entrer dans ces sentiments.
Lett. au duc de Noailles, t. V, p. 248, dans POUGENS. (exciter)La duchesse de Bourgogne est dans une tristesse qui passe la mienne, c'est sa pente naturelle.
Lettre au duc de Noailles, 9 juin 1709 (passer)Il n'avait mangé du bien de sa femme que douze mille francs.
Lett. au d. de Noailles, 11 juin 1703 (manger [1])Je trouve fort triste de vivre et de mourir sans son archevêque.
Lett. au card. de Noailles, 24 oct. 1700 (son [1])Ma santé est très vacillante ; mais ma foi ne l'est pas, et je suis toujours très ferme papiste.
Lett. à Mme de Glapion, 26 sept. t. III, p. 193, dans POUGENS (vacillant, ante)La plus savante théologie ne peut vous parler de la Trinité autrement que votre catéchisme.
Lettre à Mme de Glapion, t. III, p. 151, dans POUGENS. (trinité)Dites à Mme d'Aubigny que, si la lettre est purement d'elle, il faut qu'elle se soit prodigieusement formé l'esprit.
Lett. à M. d'Aubigné, 18 janv. 1683 (purement)Réjouissez-vous : pensez à votre salut ; il n'est rien de plus doux que le plaisir et la piété.
Lett. à d'Aubigné, 16 oct. (sans date). (réjouir)J'aurais donné une demi-douzaine de nos demoiselles pour elle.
Lett. à Mme de Caylus, 15 déc. 1715 (douzaine)Dieu ne nous fait sentir notre faiblesse, que pour nous redonner de nouvelles forces.
Lett. à Mme de Ventadour, 18 mars 1700 (redonner)M. de Louvois veut qu'on aille en Allemagne, et qu'on ravage sans pitié le Palatinat.
Lett. à Mme de St-Géran, 4 nov. 1688 (ravager)Il est plus aisé d'arranger tout sur le papier que d'exécuter.
Lett. au Card. de Noailles, 6 oct. 1699 (papier)C'est peu d'être philosophe, il faut être chrétien.
Lett. à M. d'Aubigné, 11 juill. 1684 (peu)Mme de Goulherre est ici errante dans tous les chemins, perchée sur tous les degrés, rampante au long de toutes les murailles.
Lett. à Mme de Villette, 10 déc. 1707 (perché, chée)Il mène deux gentilshommes de la manche, quelques valets de chambre, trois ou quatre officiers pour lui donner à manger à la française.
Lettre au card. de Noailles, 17 nov. 1700 (gentilhomme)Plus je vis, et plus je me désabuse des soins et des projets à venir.
Lett. à d'Aubigné, 7 sept. 1783 (désabuser)Le baptême de M. le duc de Chartres recule ; et je ne puis partir qu'il ne soit fait.
Lett. à l'abbé Gobelin, 3 sept. 1675 (reculer [1])C'est miracle que ce que nous voyons entre les Espagnols et les Français ; Dieu tourne les cœurs comme il lui plaît.
Lett. au D. de Noailles, 5 mars 1701 (miracle)