Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Elle répondit qu'elle ne savait pas traiter les domestiques comme des chiens.
Proverb. p. 4, dans POUGENS (traiter)On mettra toujours une femme en lieu de sûreté.
Lett. au card. de Noailles, 5 janv. 1696 (lieu [1])Vous savez mieux que moi qu'il y a de la différence des jeûnes de règle à ceux de l'Église.
Lett. à Mme de la Viefville, 2 nov. 1705 (jeûne)Ce misérable M. d'Auxerre n'a pas même un bon carrosse ?
Lett. à Mme de Caylus, 24 nov. 1716 (misérable)Voilà encore quatre ou cinq jours que je serai tenaillée, déchiquetée.
Lett. à Mme de Brinon, 1686, t. II, p. 185, dans POUGENS. (tenaillé, ée)Songez que, dès qu'on n'est pas assez dévot pour être capucin, il n'est rien de plus beau que de se faire tuer.
Lett. à M. d'Aubigné, 19 sept. 1672 (dévot, dévote)Les meilleurs mariages sont ceux où l'on souffre tour à tour, l'un de l'autre, avec douceur et avec patience.
Avis à la duch. de Bourg. Leti. t. III, p. 205, dans POUGENS (mariage)Votre marchand se plaint de vous et il a raison ; quand des parties sont arrêtées il n'y a qu'à payer.
Lett. à d'Aubigné, 15 mars 1678 (partie [1])Ce sont des sentiments dont vous pâtissez, peut-être…
Lett. à d'Aubigné, 27 sept. 1684 (pâtir)On tue beaucoup de fanatiques [protestants] et on espère en purger le Languedoc.
Lett. au duc de Noailles, 14 mai (tuer)Je paye bien cher les missionnaires, dit-il [Louis XIV], et il en revient beaucoup de plaintes et fort peu de conversions.
Lett. au card. de Noailles, 1697, t. IV, p. 115, dans POUGENS. (missionnaire)Ce petit vaurien d'enfant ! Les vauriens ne me déplaisent pas toujours, pourvu qu'ils n'aillent pas jusqu'au vice et au déshonneur.
Lett. à Mme de Caylus, 24 janv. 1718 (vaurien)Lui seul connaît le dénoûment de toutes ces malheureuses affaires.
Lett. à Mme des Ursins, 18 juillet 1706 (dénoûment)Je suis une pauvre vieille, qui n'est plus bonne à rien et qui partira bientôt.
Lett. à la reine d'Espagne, 1711, t. VIII, p. 65, dans POUGENS. (partir [2])Mme de Dangeau demandera, en bâillant, un trictrac… voilà comme on vit à la cour.
Lett. au d. de Noailles, 7 janv. 1700 (trictrac)Le roi me demanda hier si vous ne seriez pas toujours en habit long.
Lett. au card. de Noailles, 6 nov. 1695 (habit)On dit que le prince Eugène ne démordra pas de son entreprise.
Lett. à Mme de Glapion, 31 juillet 1712 (démordre)Aimez vos domestiques, portez-les à Dieu, faites leur fortune, mais ne leur en faites jamais une grande.
Avis à la duch. de Bourgogne. (fortune)Il est bien difficile de juger et de conduire de si loin.
Lett. au card. de Noailles, 2 fév. 1703 (loin)Il [M. Bonnet] lui avait dit [à l'archevêque de Bourges] que j'étais droite comme un jonc.
Lett. à Mme de Caylus, 29 nov. 1717 (jonc [1])