Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Point de joug plus doux que celui du Seigneur ; ceux qui sont à lui sont toujours contents.
Lett. à Mme de Vantadour, 18 mars 1700 (joug)Comptez que tout revient, et qu'on ne peut trop veiller sur ses paroles.
Lett. à M. d'Aubigné, 15 juill. 1674 (revenir)Pour moi, mon cher duc, j'ai été étonnée, frappée, abattue, indignée, pétrifiée dans le premier moment.
Lett. au D. de Noaill. 15 juin 1706 (pétrifié, ée)J'ai eu un terrible orage à essuyer ; je ne me mêlerai plus d'aucune affaire.
Lett. à Mme de St Géran, 27 août 1704 (orage)Vous êtes destinée, ma chère fille, à être une pierre fondamentale de Saint-Cyr.
Lett. à Mme de la Maisonfort, 6 févr. 1692 (fondamental, ale)La cabale devient de jour en jour plus grande et plus hardie ; je n'y vois ni simplicité, ni passiveté.
Lett. au card. de Noailles, 16 mars 1697 (passiveté ou passivité)Dessiner est un très joli plaisir, mais écrire est un plaisir utile.
Lettre au duc de Noailles, 11 déc. 1700 (dessiner)Parlez franchement à ces messieurs une fois pour toutes.
Lett. au card. de Noailles, 21 déc. 1701 (fois [1])M. le chancelier me dit hier des merveilles de votre conduite.
Lett. au card. de Noailles, 18 déc. 1695 (merveille)Vauban a fait des dispositions admirables.
Lett. Mme de St-Géran, 4 nov. 1688 (disposition)Je n'ai jamais vu rien de si beau, de si bon, de si aimable, de si net, de si bien arrangé, de si éloquent, de si régulier, en un mot de si merveilleux que votre lettre.
Lett. à Mme de Champigny, t. III, p. 173, dans POUGENS. (si [2])Je suis plus séquestrée que jamais, je ne puis m'accoutumer à tout ce que je vois.
Lett. au duc de Noaill. 22 mai 1711 (séquestré, ée)Dans les temps de sa vie où il était le plus dissipé et noyé dans le commerce des dames, je l'ai toujours vu droit, sincère et même sévère sur la religion.
Lett. au card. de Noailles, 18 oct. 1695 (noyé, ée)C'est miracle que ce que nous voyons entre les Espagnols et les Français ; Dieu tourne les cœurs comme il lui plaît.
Lett. au D. de Noailles, 5 mars 1701 (miracle)Je pratique ce que je vous conseille.
Lett. à Mme de Glapion, 14 oct. 1699 (pratiquer)Mme de Dangeau me propose de coucher dans le lit de M. l'évêque de Chartres : il ne s'en servirait de sa vie après une telle profanation.
Lett. à Mme de Caylus, 1er avril 1718 (profanation)J'aime toujours les eaux de senteur, et je n'aime ni singe, ni perroquet.
Lett. à M. de Villette, 30 janv. 1683 (senteur)La magnificence est la passion des dupes.
Lett. à M. d'Aubigné, 26 sept. t. I, p. 145, dans POUGENS. (magnificence)Ce misérable M. d'Auxerre n'a pas même un bon carrosse ?
Lett. à Mme de Caylus, 24 nov. 1716 (misérable)Rien n'est si sot que d'aimer avec excès un enfant qui n'est point à moi.
Lett. à l'abbé Gobelin, 14 juillet 1669 (sot, otte)