Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Sans cette précaution, vous pourriez bien vous trouver enveloppé dans sa disgrâce.
Lett. au duc de Noailles, 4 août 1714 (enveloppé, ée)Cela est bon pour une demoiselle de St-Cyr : mais une véritable abbesse !
Lett. à Mme de la Viefville, 4 mars 1706 (mais)Il est bien difficile de juger et de conduire de si loin.
Lett. au card. de Noailles, 2 fév. 1703 (loin)Votre état est de fâcher tout le monde, et votre humeur de ne mécontenter personne.
Lett. au card. de Noailles, 30 avril 1697 (humeur [1])Nous ne sommes pas si mal que nos ennemis le croient, et que nous le disons souvent nous-mêmes.
Lett. au duc de Noailles, 3 mai 1705 (mal, ale)Bientôt la mort va me dérober au présent qui m'attriste et à l'avenir qui m'effraye.
Lettre au card. de Noailles, 31 déc. 1711 (dérober)Mme de Caylus a été quitte de la rougeole pour la peur.
Lett. au duc de Noaill. 16 avril 1712 (quitte)Je ne suis ni doucereuse, ni importune.
Lett. d'Aubigné, 22 juillet 1680 (doucereux, euse)Notre princesse se met en pièces pour se divertir, sans y parvenir ; elle n'a jamais été si sérieuse.
Lett. au D. de Noailles, t. V, p. 99, dans POUGENS (pièce)Rien n'est si froid que nos lettres, parce que notre cœur est transi.
Lett. à Mme de Caylus, 9 nov. 1717 (transi, ie)Il [le roi] m'ordonna de vous demander son nom [d'un ecclésiastique], qu'il a oublié, et ce que vous savez de sa conduite, parce que la feuille n'est point encore signée.
Lett. au card. de Noailles, 14 avr. 1702 (feuille)Point de joug plus doux que celui du Seigneur ; ceux qui sont à lui sont toujours contents.
Lett. à Mme de Vantadour, 18 mars 1700 (joug)Quand viendrez-vous, monseigneur, prendre le pallium ?
Lett. au card. de Noailles, 6 nov. 1695 (pallium)M. l'évêque de Chartres tient pour les vœux absolus ; il est le seul de son sentiment.
Lett. à Mme de Saint-Géran, 2 juillet 1686 (tenir)M. de Saint-Hilaire a fait une très belle fin.
Lett. d'Aubigné, 10 oct. 1685 (fin [1])Quand les filles se sont débandé la tête deux heures par jour, elles ne sont pas pressées de chercher d'autres délassements.
Lett. à Mme de la Viefville, 23 février 1706 (débander [1])Le gigot bourgeois, la pyramide éternelle, et la compote que vous aimez tant.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 174, dans POUGENS (gigot)Rendez-vous propre mon expérience : que j'aie vécu pour vous et pour moi.
Lett. à M. d'Aubigné, 25 juin 1684 (que [2])Je sors d'une quinte si violente, que Mlle d'Aumale et Mlle de la Tour étaient en pleurs.
Lett. à Mme de Caylus, 28 nov. 1716 (sortir [1])On m'assure qu'il ne tarit point sur vos louanges.
Lett. au cardinal de Noailles, 25 déc. 1695 (tarir)