Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré

MAINTENON (1635-1719)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.

842 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Lettres 1752 811 citations

Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.

  1. Je lus l'endroit où vous me marquiez votre peine sur la dissipation des biens de Port-Royal par une garnison.
    Lett. Card. de Noailles, 17 nov. 1707 (dissipation)
  2. Une telle visite convient-elle à une vieille retirée dans un couvent ?
    Lett. au duc de Noailles, 5 mai 1716 (vieil ou vieux, vieille)
  3. Une jeune princesse qui croît en taille à vue d'œil, et imperceptiblement en mérite.
    Lett. au duc de Noailles, 21 déc. 1700 (imperceptiblement)
  4. Dans le ciel les rangs ne seront marqués que par les vertus.
    Lett. à Mme de la Viefville, 9 avr. 1713 (rang)
  5. Nous ne sommes pas si mal que nos ennemis le croient, et que nous le disons souvent nous-mêmes.
    Lett. au duc de Noailles, 3 mai 1705 (mal, ale)
  6. Il faut des vœux solennels si l'on veut de la stabilité.
    Lett. à Mme de Brinon, 22 oct. t. II, p. 235. dans POUGENS (vœu)
  7. M. le curé de Versailles m'a dit ce matin que vous viendriez au premier jour présenter votre instruction.
    Lett. au card. de Noailles, 20 nov. 1702 (instruction)
  8. Nulle familiarité avec les hommes ; je l'en ai fort priée ; elle est très dangereuse ; et les provinciaux patinent volontiers ; ils se jettent grossièrement sur le lit d'une femme.
    Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (patiner [2])
  9. Je m'en vais en être la solliciteuse auprès du père de la Chaise.
    Lett. au card. de Noailles, 18 mai 1695 (solliciteur, euse)
  10. Il faut me donner les affaires toutes mâchées ; je ne puis donner un moment aux miennes.
    Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 164, dans POUGENS (mâché, ée)
  11. Votre style n'est pas larmoyant ; et nous jugeons que votre état est encore plus triste que vous ne nous le dépeignez.
    Lett. au duc de Noailles, 25 nov. 1710 (larmoyant, ante)
  12. Girone d'abord a été une grande entreprise, ensuite on a parlé d'une muraille sèche pour toute défense.
    Lett. au duc de Noailles, 25 janv. 1711 (sec, sèche)
  13. Trouvez-vous-y pour donner la main à Mme de Montespan.
    Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 170, dans POUGENS (main)
  14. Mme la Dauphine fait merveilles, et tout le monde en est content.
    Lett. à, M. d'Aubigné, 3 oct. 1684 (merveille)
  15. Je vous supplie d'avoir la bonté de faire relier un de vos livres pour la messe avec des fermoirs d'or tout unis.
    Lett. à l'abbé Gobelin, 25 mai 1675 (fermoir)
  16. Rien n'est si sot que d'aimer avec excès un enfant qui n'est point à moi.
    Lett. à l'abbé Gobelin, 14 juillet 1669 (sot, otte)
  17. M. de Noailles est trop sincère avec le roi ; il n'est pas aisé d'effacer les impressions qu'on lui a données.
    Lett. au card. de Noailles, 2 janv. 1796 (impression)
  18. C'est ce qui prend tout l'argent et toute l'attention.
    Lett. au duc de Noailles, 13 fév. 1711 (prendre)
  19. Quoi que vous en disiez, vous n'êtes sur la route de personne.
    Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 166, dans POUGENS (route)
  20. M. Scarron, qui juge très sainement des choses quand il veut bien les considérer sérieusement.
    Lett. à Mme de Palaiseau, 1654, t. I, p. 23, dans POUGENS. (sainement)