Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Quand on n'est plus jeune, la vie n'est bonne à rien.
Lett. à Mme de Caylus, 8 janv. 1717 (jeune)Vous m'avez trompée sur Mme la duchesse du Maine dans l'article principal qui est celui de la piété : elle n'a veine qui y tende.
Lett. à Mme de Brinon, 27 août 1693 (veine)Les ennemis de la princesse des Ursins répandent qu'elle est mal avec le roi.
Lett. au duc de Noailles, 3 sept. 1706 (répandre)Il [M. Bonnet] lui avait dit [à l'archevêque de Bourges] que j'étais droite comme un jonc.
Lett. à Mme de Caylus, 29 nov. 1717 (jonc [1])La magnificence est la passion des dupes.
Lett. à M. d'Aubigné, 26 sept. t. I, p. 145, dans POUGENS. (magnificence)M. de Meaux m'a envoyé des nouvelles de Rome, qui font trembler pour M. de Cambrai.
Lett. au cardin. de Noailles, 24 sept. 1697 (trembler)Comme l'incertitude est pour moi le plus grand mal.
Lett. au duc de Noailles, 3 sept. 1710 (incertitude)M. de Louvois a ménagé à Mme de Montespan un tête-à-tête avec le roi.
Lett. à Mme de Fontenac, 1680, t. I, p. 71, dans POUGENS. (tête)M. le duc du Maine avait eu trois accès de fièvre tierce qui m'avaient donné beaucoup d'inquiétude ; il a eu cette nuit le quatrième, qui n'a marqué qu'un moment.
Lett. à l'abbé Gobelin, 12 mai 1675 (marquer)Je vous prie d'entreprendre la fille de notre paysanne pour la bien instruire.
Lett. sur l'éduc. à Mme Brinon, dans GODEFROY, Lex. de Corneille. (entreprendre)Il faut l'habiller large pour qu'un enfant soit à son aise.
Lett. à d'Aubigné, 7 sept. 1683 (large)C'est pour vous apprendre à dater ; car la plupart des femmes datent fort mal.
Lett. à Mme de R.... 11 oct. 1693 (dater)Que de conversions fausses ! le péché vaut encore mieux que l'hypocrisie.
Lett. au card. de Noailles, mars 1700 (hypocrisie)Je suis très contente de Saint-Cyr, et très mécontente de moi.
Lett. à l'abbé de Gobelin, 7 déc. 1688 (mécontent, ente)Vous savez mieux que personne combien il est inutile de me prévenir ou de chercher à me gagner.
Lett. au duc de Noailles, t. v, p. 249, dans POUGENS. (prévenir)M. le duc de Savoie a été à l'extrémité, de la rougeole : il a reçu tous ses sacrements.
Lett. au duc de Noailles, 19 juin 1710 (extrémité)Que direz-vous de moi ? c'est demain le jour de Pâques ; et j'ai passé la soirée à jouer au trictrac avec M. de Montchevreuil.
Lettr. à M. Dangeau, 5 sept. 1718 (pâque)Les hommes sont très mal dans mon esprit ; et je ne regarde pas les femmes.
Lett. au d. de Noailles, 24 juillet 1706 (regarder)J'ai eu un terrible orage à essuyer ; je ne me mêlerai plus d'aucune affaire.
Lett. à Mme de St Géran, 27 août 1704 (orage)On vous souffrira avec tous vos défauts : robe d'ouate, écharpe, bonnets, serviettes sur la tête, ce sont tous ceux que je vous connais.
Lett. à Mme de Dangeau, 19 déc. 1687 (ouate)