Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Je parlai bien rudement à Mme d'Aubigné sur ses mauvaises habitudes.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 163, dans POUGENS (rudement)Dites à Mme de Ventadour combien je l'honore.
Lett. à Mme de St-Géran, 27 août 1704 (honorer)Il se pique d'avoir le sang chaud et l'estomac dévorant.
Lett. à l'abbé Gobelin, 8 mai 1675 (sang)Il est tout à fait disgracieux de finir sa vie avec des gens avec qui on ne l'a pas commencée.
Lett. à Mme de Caylus, 1705 (finir)Les nouvelles d'Angleterre sont très mauvaises : les jésuites y ont trop précipité les choses.
Lett. à Mme de St-Géran, 5 sept. 1688 (précipiter)J'ai travaillé aujourd'hui avec M. de Chamillart pour les affaires de Saint-Cyr.
ib. 12 oct. 1695 (travailler)Il fallait le dire sans chercher des termes gigantesques et des expressions plus propres à une déclamation qu'à une lettre.
Lett. à Mme de Glapion, 15 déc. 1718 (gigantesque)Qu'il [le duc de Noailles] avait la prévoyance de Turenne, la valeur de Créqui, je ne sais quoi de la Frézelière, et le détail de Jacquier.
Lettre au card. de Noailles, 5 févr. 1711 (détail)Le prince d'Harcourt a été trouvé mort dans son lit.
Lett. à Mme de Glapion, t. III, p. 200, dans POUGENS. (trouver)Le roi a enfin pris des mesures pour avoir la paix ; ses ministres à Ratisbonne ont ordre de signer une trêve de vingt ans.
Lett. à Mme de St Géran, 13 août 1684 (trêve)N'avez-vous pas vos coutumes dans vos maisons pour faire prendre vos austérités par degrés aux postulantes ?
Lett. à Mme de la Viefville, 24 oct. 1705 (postulant, ante)Sainte Geneviève a toujours protégé, dit-on, le royaume ; et, quoi que les libertins puissent penser, on en a vu autrefois des miracles, et le peuple a une grande confiance en elle.
Lett. au card. de Noailles, 14 juillet 1707 (libertin, ine)Si les ennemis veulent une bataille, elle est donnée présentement.
Lett. Duc de Noailles, 2 août 1710 (donner)Si j'avais dans ma manche une fille de cent mille écus que vous refusassiez dans l'espoir d'être heureux avec Mlle de Florigni, je vous approuverais.
Lett. à M. d'Aubigné, 19 sept. t. I, p. 148, dans POUGENS. (manche [2])Le mérite ne brille guère ici sans protection, et la protection n'aime pas à se charger du mérite.
Lett. à l'abbé Gobelin, 16 mars 1675 (mérite)Elle met sa piété à semer sa journée de bonnes œuvres.
Lett. à Mme de la Viefville, 9 avril 1713 (semer)Je sais combien je dois soumettre mes vues aux vôtres.
Lett. au card. de Noailles, 7 août 1698 (soumettre)Les hommes sont très mal dans mon esprit ; et je ne regarde pas les femmes.
Lett. au d. de Noailles, 24 juillet 1706 (regarder)Je languis bien que cette retraite à Saint-Cyr soit finie.
Lett. à Mme de St-Géran, 12 mars 1696 (languir)Je lui ai conseillé de ne rien épargner ; mais je ne m'en vante pas à Mme la duchesse de Noailles.
Lett. au card. de Noailles, 25 nov. 1700 (vanter)