Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré

MAINTENON (1635-1719)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.

842 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Lettres 1752 811 citations

Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.

  1. C'est un duc assez malhonnête homme et fort gueux.
    Lett. à l'abbé Gobelin, 14 juillet 1669 (gueux, euse)
  2. Notre princesse a eu, en tout ceci, une conduite si obligeante pour vous, qu'elle doit vous raccommoder pour longtemps.
    Lett. au duc de Noail. 5 août 1710 (raccommoder)
  3. Pour moi, mon cher duc, j'ai été étonnée, frappée, abattue, indignée, pétrifiée dans le premier moment.
    Lett. au D. de Noaill. 15 juin 1706 (pétrifié, ée)
  4. Je ne démêle point ce que vous me dites de M. d'Argenson, ni pourquoi vous ne pouvez parler de lui gravement ; ce n'est point une linotte.
    Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 117, dans POUGENS. (linot ou linotte)
  5. Vous savez que, dans les grands malheurs, ne faire que son devoir, ce n'est pas le faire.
    Lettre au duc de Noailles, 22 juin 1709 (devoir [2])
  6. Le roi n'a point de galanterie, et vraisemblablement n'en aura plus.
    Lett. à M. de Villette, 14 août. (galanterie)
  7. Vous savez mieux que personne combien il est inutile de me prévenir ou de chercher à me gagner.
    Lett. au duc de Noailles, t. v, p. 249, dans POUGENS. (prévenir)
  8. Il faut que les Français et les amis du roi renouvellent de zèle et de courage.
    Lett. au duc de Noailles, 10 sept. 1708 (renouveler)
  9. Je lus l'endroit où vous me marquiez votre peine sur la dissipation des biens de Port-Royal par une garnison.
    Lett. Card. de Noailles, 17 nov. 1707 (dissipation)
  10. J'ai bien des raisons, monseigneur, pour bien vivre avec eux ; mais ce qu'ils vous sont en serait une suffisante pour moi.
    Lettre au Cardin. de Noailles, 24 oct. 1700 (vous)
  11. Si on lui persuade qu'on la respecte pour elle-même, vous en ferez la plus impertinente et la plus insupportable créature du monde.
    Lett. à d'Aubigné, 28 fév. 1678 (impertinent, ente)
  12. Je ne suis pas en belle humeur : les affaires de Flandres prennent un mauvais tour.
    Lett. au duc de Noailles, 15 août 1711 (humeur [1])
  13. On me paraît moins dévot : hier l'on ne voulut pas de vêpres.
    Lett. au cardin. de Noailles, 9 sept. 1698 (vêpres)
  14. Je crains que vous ne fassiez pas bien le pain d'orge ; personne ne s'en accommode en potage ; j'en ai mangé avec du froment, qui est très bon.
    Lett. à Mme de la Viefville, 4 décembre 1709 (pain)
  15. Tout cela ne me console pas d'être loin de Noisy ; c'est le lieu de délices pour moi.
    Lett. à d'Aubigné, 3 oct. 1684 (délice)
  16. Sans hésiter, je donnerais mille vies pour obtenir la paix.
    Lett. au card. de Noailles, 14 juillet 1707 (mille [1])
  17. Soyez persuadés que c'est à cause que vous êtes si exactes à les veiller [les pensionnaires de Saint-Cyr] qu'elles sont si aisées à conduire, et qu'aussitôt que vous cesserez de les observer, elles deviendront libertines.
    Entret. sur l'éduc. juin 1704 (libertin, ine)
  18. Le roi donna hier une pension de deux mille livres à Mlle de Scudéry.
    Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 178, dans POUGENS (pension)
  19. Vous ne connaissez pas la moitié de ma tendresse pour vous.
    Lett. à M. d'Aubigné, 12 juillet 1678 (moitié)
  20. Comptez que tout revient, et qu'on ne peut trop veiller sur ses paroles.
    Lett. à M. d'Aubigné, 15 juill. 1674 (revenir)