Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Je ne vous y parle point des nouvelles publiques ; elles vous reviennent de tous côtés.
Lett. au cardin. de Noailles, 25 nov. 1700 (revenir)Je souhaite qu'il donne quelque chose à la petite de Lévi, afin que tout ne tombe pas sur le roi.
Lett. à Mme de la Viefville, 28 nov. 1705 (tomber)Les prudes sont la société la plus convenable aux jeunes personnes.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 167, dans POUGENS (prude)S'il faut faire le jubilé à Paris, nous passerons quinze jours à Meudon, d'où l'on ira faire ses stations.
Lett. au duc de Noailles, 11 février 1701 (station)Vous ne sauriez faire trop de liaisons avec Vauban ; l'estime de cet homme-là est plus glorieuse que celle de tous les courtisans.
Lett. à d'Aubigné, 8 juillet, t. I, p. 118, dans POUGENS. (savoir [1])J'admire la rage et l'inutilité de ces diseurs de nouvelles.
Lettre à Mme des Ursins, 18 juill. 1706 (diseur, euse)Dites à Mme de Ventadour combien je l'honore.
Lett. à Mme de St-Géran, 27 août 1704 (honorer)Vous aviez sans doute ordonné à vos peintres de vous ménager le plaisir de la surprise.
Lett. à la duch. de Savoie, 1696, t. II, p. 215, dans POUGENS. (ménager [1])Je l'ai dit cent fois, rien n'est plus impatientant que la sottise, et rien n'est plus sot que cette impatience.
Lett. à Mme de Dangeau, 4 sept. 1704 (impatientant, ante)Elle dit qu'elle veut être religieuse : mais elle ne dit pas vrai.
Lett. à M. de Villette, 30 janv. 1683 (vrai, aie [1])Mme de Caylus a été quitte de la rougeole pour la peur.
Lett. au duc de Noaill. 16 avril 1712 (quitte)Le roi prend tout mon temps ; je donne le reste à Saint-Cyr, à qui je voudrais le tout donner.
Lettre à Mme Brinon, t. II, p. 233, dans POUGENS (donner)J'ai connu une dame qui s'est ruinée à acheter tout ce qu'elle trouvait à bon marché.
Lett. à Mme de Fontaines, 1695 (marché [1])Les hommes sont pour l'ordinaire moins tendres que les femmes.
Avis à la duchesse de Bourg. (tendre [1])Mme de Villette a fait un voyage utile ; elle a gagné de l'embonpoint, elle a vu ses enfants.
Lett. à M. de Villette, 23 mai 1683 (gagner)Je deviens la plus intéressée créature du monde, et je ne songe plus qu'à augmenter mon bien.
Lett. à l'abbé Gobelin, 1675, t. II, p. 42, dans POUGENS. (intéressé, ée)M. le curé de Versailles m'a dit ce matin que vous viendriez au premier jour présenter votre instruction.
Lett. au card. de Noailles, 20 nov. 1702 (instruction)Les voyages de Noisi sont plus fréquents que jamais, les révérences y sont plus réglées, les fontanges tout à fait établies.
Lett. à M. d'Aubigné, 7 avril 1685 (révérence)Je n'ai de crédit que pour les choses dont je ne me soucie point.
Lett. au D. de Noailles, 13 févr. 1711 (soucier)Bien des raisons doivent me retenir de parler.
Lett. au card. de Noailles, 13 août 1711 (retenir)