Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
C'est un duc assez malhonnête homme et fort gueux.
Lett. à l'abbé Gobelin, 14 juillet 1669 (gueux, euse)M. de Barbezieux meurt à la fleur de son âge, dans une très grande fortune, et à la veille d'une fortune encore plus grande.
Lett. au D. de Noailles, 7 janv. 1701 (mourir)Il faut que l'on en veuille à Mlle de Murçai à la poste, ou que son écriture indéchiffrable en veuille aux yeux des commis.
Lett. à Mme de Villette, 3 fév. 1682 (vouloir [1])Attendez, désirez et recevez le Saint-Esprit à la Pentecôte.
Avis à la duch. de Bourg. t. III, p. 204, dans POUGENS. (pentecôte)La compagnie de Bourbon est fort mêlée.
Lett. au duc de Noailles, t. V, p. 51, dans POUGENS. (mêlé, ée)Je croirai Mme de Miossens comme un article de foi en toutes choses, hormis en celles de la religion.
Lett. à M. d'Aubigné, 5 fév. 1682 (hormis)Il [le médecin] nous donne encore cette journée pour nous remettre des fatigues du voyage.
Lett. à Mme de Montespan, 20 avril 1674 (remettre)Ainsi, monsieur, on lui sera obligé, s'il s'en tire passablement ; et l'on ne lui saura point mauvais gré, s'il s'en tire mal.
Lett. au card. de Noailles, 18 mai 1695 (passablement)La plus savante théologie ne peut vous parler de la Trinité autrement que votre catéchisme.
Lettre à Mme de Glapion, t. III, p. 151, dans POUGENS. (trinité)Il faudrait que vous vous éloignassiez de Saint-Cyr et de moi : et Saint-Cyr et moi nous ne pouvons nous passer de vous.
Lett. à l'abbé Gobelin, 20 oct. 1687 (passer)On ne connaît pas les hommes à la première vue.
Lett. à madame de la Viefville, 13 déc. 1710 (vue)Que je vous gronde ; vous doutez de mes sentiments, parce que vous n'en voyez pas de marques.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 233, dans POUGENS (que [2])Mme de Montespan s'est jetée dans la plus grande dévotion ; il est bien temps qu'elle nous édifie.
Lettre à Mme de St-Géran, 10 sept. 1683 (dévotion)Je me trouve fort offensée de la proposition de ce milieu entre le monde et le refuge.
Lett. à Mme de Villette, 13 août 1708 (refuge)Avez-vous des vapeurs ? vous savez que je ne les souffre point aux personnes raisonnables.
Lett. à Mme de Dangeau, 10 nov. 1715 (vapeur)On m'assure, mais d'assez mauvaise part, qu'on vend les équipages de M. le duc de la Feuillade.
Lett. à d'Aubigné, t. I, p. 171, dans POUGENS (équipage)Je suis plus séquestrée que jamais, je ne puis m'accoutumer à tout ce que je vois.
Lett. au duc de Noaill. 22 mai 1711 (séquestré, ée)Votre bon cœur est pressé de reconnaissance et d'amitié pour moi.
Lett. à Mme Glapion, 15 déc. 1718 (pressé, ée)Je prends trop sur moi, pour que le corps ou l'esprit n'y succombe pas.
Lett. à l'abbé Gobelin, 27 oct. 1675 (prendre)Toute la cour est affligée, j'en ai ma bonne part.
Lett. à Mme de..., 1705, t. III, p. 163, dans POUGENS (part [2])