Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Nulle familiarité avec les hommes ; je l'en ai fort priée ; elle est très dangereuse ; et les provinciaux patinent volontiers ; ils se jettent grossièrement sur le lit d'une femme.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (patiner [2])Les filles de Chaillot m'écrivent sur leur affaire du don gratuit, et me prient de vous presser parce que le temps s'écoule.
Lett. Card. de Noailles, 23 juill. 1700 (don [1])J'ai bien des raisons, monseigneur, pour bien vivre avec eux ; mais ce qu'ils vous sont en serait une suffisante pour moi.
Lettre au Cardin. de Noailles, 24 oct. 1700 (vous)Je demeure ferme dans le dessein de quitter…
Lett. à l'abbé Gobelin, 6 août 1674 (ferme [1])Mourez au monde : ne le reprenez pas au parloir après l'avoir renoncé à la grille.
Lett. à Mlle de Champlebon, 4 mars 1706 (mourir)À l'heure qu'il est, on délibère sur le sort de la France, de l'Espagne, sur le sort de toute l'Europe.
Lett. à Mme de St-Géran, t. II, p. 151, dans POUGENS. (heure)Je crains fort de vous voir un procès de longue haleine contre M. de Cîteaux.
Lett. à Mme de la Vief ville, 18 juin 1707 (haleine)Mme de Pontchartrain, à qui je fais la guerre sur le jansénisme, dit qu'on verrait comme vous en useriez avec son confesseur.
Lett. au cardin. de Noailles, 12 oct. 1695 (guerre)Voilà, monseigneur, de ces avis que je vous donnerai, afin que vous sachiez comment les choses sont prises ici.
Lett. au card. de Noailles, 10 nov. 1695 (pris, ise)Nous entassons sottise sur sottise, infortune sur infortune.
ib. 17 nov. 1707 (entasser)Je ne sais ce que j'ai : je suis sans fièvre, je tousse moins, je dors très bien ; mais ma faiblesse est extrême.
Lett. à Mme Glapion, t. III, p. 200, dans POUGENS (faiblesse)Ce petit vaurien d'enfant ! Les vauriens ne me déplaisent pas toujours, pourvu qu'ils n'aillent pas jusqu'au vice et au déshonneur.
Lett. à Mme de Caylus, 24 janv. 1718 (vaurien)De l'aveu de toute la terre, votre femme est d'une vertu et d'une soumission, qui devraient vous obliger à toutes sortes d'égards.
Lett. à M. d'Aubigné, 25 juin 1684 (terre)Je prends trop sur moi, pour que le corps ou l'esprit n'y succombe pas.
Lett. à l'abbé Gobelin, 27 oct. 1675 (prendre)Si les ennemis veulent une bataille, elle est donnée présentement.
Lett. Duc de Noailles, 2 août 1710 (donner)Je ne démêle point ce que vous me dites de M. d'Argenson, ni pourquoi vous ne pouvez parler de lui gravement ; ce n'est point une linotte.
Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 117, dans POUGENS. (linot ou linotte)On n'y regarde pas de si près avec un contrôleur général des finances.
Lett. à M. d'Aubigné, 4 sept. 1677 (regarder)Que direz-vous de moi ? c'est demain le jour de Pâques ; et j'ai passé la soirée à jouer au trictrac avec M. de Montchevreuil.
Lettr. à M. Dangeau, 5 sept. 1718 (pâque)C'est la piété qui rectifie les passions.
Lettre à Mme du Peron, 25 oct. 1686 (piété [1])Je suis vieille et prévoyante : je vous en parle pour la dernière fois.
Lett. à M. de Villette, 24 avr. 1707 (prévoyant, ante)