Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Cette inclination qu'on veut que vous ayez pour le jansénisme.
Lett. au card. de Noailles, 20 nov. 1702 (vouloir [1])Si on lui persuade qu'on la respecte pour elle-même, vous en ferez la plus impertinente et la plus insupportable créature du monde.
Lett. à d'Aubigné, 28 fév. 1678 (impertinent, ente)Mon mari avait le fonds excellent ; je l'avais corrigé de ses licences.
Lett. à Mlle de l'Enclos, 8 mars 1666 (licence)On n'a plus guère de santé à l'âge de M. de Dangeau ; et l'on traîne un reste de vie bien triste.
Lett. à Mme de Caylus, 5 avril 1717 (traîner)Je m'attends à des démonstrations d'une joie bien sincère.
Lettre au duc de Noailles, 5 août 1710 (démonstration)Je vous ai soupçonnée de finesse ; je suis bien aise de m'être trompée.
Lett. à Mme de la Viefville, 23 fév. 1705 (finesse)Un paralytique auquel je ne fais aucun bien, et qui n'entend parler de moi que depuis hier, de moi dont la fortune a commencé par un paralytique.
Lett. au card. de Noailles, 12 déc. 1701 (paralytique)Selon le docteur, je suis fort bien ; et selon moi, je suis fort mal.
Lett. à Mme de Glapion, t. III, p. 200, dans POUGENS. (selon)Plus je vis, et plus je me désabuse des soins et des projets à venir.
Lett. à d'Aubigné, 7 sept. 1783 (désabuser)Il [Louis XIV] pourra la [la paix] faciliter, en se relâchant des conditions que ses victoires et ses conquêtes semblent autoriser, sans déroger à la gloire.
Lett. à Mme de St Géran, 25 mai 1697 (faciliter)Je trouve fort triste de vivre et de mourir sans son archevêque.
Lett. au card. de Noailles, 24 oct. 1700 (son [1])Les mitaines sont trop étroites pour un bras si court, les couvre-pieds sont fort raisonnables.
Lett. à Mme de Caylus, t. VI, p. 75, dans POUGENS (raisonnable)Le mérite ne brille guère ici sans protection, et la protection n'aime pas à se charger du mérite.
Lett. à l'abbé Gobelin, 16 mars 1675 (mérite)Je serais très aise de plaire à Mme de Bonnevaux ; car peu de gens lui plaisent, et elle plaît à tous.
Lett. à Mme de Brinon, 1679 (plaire)M. l'évêque de Chartres tient pour les vœux absolus ; il est le seul de son sentiment.
Lett. à Mme de Saint-Géran, 2 juillet 1686 (tenir)Les deux montagnes se joindront par quarante-sept arcades, solidement bâties : c'est, de l'aveu de tout le monde, un ouvrage digne des Romains et du roi.
Lett. à Mme de St Géran, 28 juill. t. II, p. 129, dans POUGENS. (ouvrage)Le roi me demanda hier si vous ne seriez pas toujours en habit long.
Lett. au card. de Noailles, 6 nov. 1695 (habit)Aucune des femmes que je vois ne me fait oublier que je ne vous vois pas.
Lett. à Mme de Ventadour, 5 juill. 1712 (voir)M. Desmarets parle fort bien sur votre sujet.
Lett. au duc de Noailles, 6 févr. 1711 (sujet [2])La ville sera prise vers le quatre ou le cinq de ce mois.
Lett. à Mme de Veillhant, mai 1692 (quatre)