Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Trois heures au miroir tous les matins ; c'est deux de trop.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (miroir)Les nouvelles d'Espagne sont un peu longues à venir.
Lett. au duc de Noailles, 9 mai 1712 (long, ongue)Le monde, et surtout MM. les évêques sont très mécontents de ce qu'on vient de faire pour les nouveaux convertis.
Lett. au card. de Noailles, 3 janv. 1698 (monde [1])Rougissez d'être esclave de la coutume, au point d'être démontée de ce que votre fils ne suit pas le train ordinaire, qui l'aurait sûrement dérangé.
Lett. à Mme de Caylus, t. VI, p. 90, dans POUGENS (démonter)Notre princesse se met en pièces pour se divertir, sans y parvenir ; elle n'a jamais été si sérieuse.
Lett. au D. de Noailles, t. V, p. 99, dans POUGENS (pièce)Ce serait une connaissance bien avantageuse pour cette pauvre femme, qui me paraît présentement bien délaissée.
Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 92, dans POUGENS. (délaissé, ée)Vous êtes trop honnête homme pour vous marier dans le dessein d'envoyer une femme et des enfants à l'hôpital.
Lett. à M. d'Aubigné, 26 sept. t. I, p. 146, dans POUGENS. (hôpital)La magnificence est la passion des dupes.
Lett. à M. d'Aubigné, 26 sept. t. I, p. 145, dans POUGENS. (magnificence)Cette princesse-là se tourne tout à fait au bien.
Lett. à M. d'Aubigné, 9 juin 1685 (tourner)Je compte sur quelque part dans vos prières, à cette grande fête, et je n'oublierai pas mes obligations là-dessus.
Lett. au card. de Noailles, 23 déc. 1705 (obligation)Il est bien difficile de juger et de conduire de si loin.
Lett. au card. de Noailles, 2 fév. 1703 (loin)Attendez, désirez et recevez le Saint-Esprit à la Pentecôte.
Avis à la duch. de Bourg. t. III, p. 204, dans POUGENS. (pentecôte)Sainte Geneviève a toujours protégé, dit-on, le royaume ; et, quoi que les libertins puissent penser, on en a vu autrefois des miracles, et le peuple a une grande confiance en elle.
Lett. au card. de Noailles, 14 juillet 1707 (libertin, ine)Cela est bon pour une demoiselle de St-Cyr : mais une véritable abbesse !
Lett. à Mme de la Viefville, 4 mars 1706 (mais)Vous savez comme on grêle ici sur les personnes dont on croit n'avoir que faire.
ib. 22 nov. 1709 (grêler [1])C'est un duc assez malhonnête homme et fort gueux.
Lett. à l'abbé Gobelin, 14 juillet 1669 (gueux, euse)Le livre de M. de Meaux fait un grand fracas ici ; on ne parle d'autre chose.
Lett. au card. de Noailles, 29 juin 1698 (fracas)Je m'en vais en être la solliciteuse auprès du père de la Chaise.
Lett. au card. de Noailles, 18 mai 1695 (solliciteur, euse)On a été très content du mandement que M. le cardinal a fait pour les prières publiques.
Lett. au duc de Noailles, 9 juin 1709 (mandement)Le mauvais temps oblige le roi de garder la chambre.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 237, dans POUGENS (garder)