Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Il est plus aisé d'arranger tout sur le papier que d'exécuter.
Lett. au Card. de Noailles, 6 oct. 1699 (papier)Ce que vous prenez pour une plainte est une admiration : cette fille est un trésor.
Proverb. p. 7 (trésor)L'intrigue est plus puissante à la cour que les liaisons du sang.
Lett. à Mme de Caylus, 6 déc. 1717 (intrigue)Selon le docteur, je suis fort bien ; et selon moi, je suis fort mal.
Lett. à Mme de Glapion, t. III, p. 200, dans POUGENS. (selon)J'aime toujours les eaux de senteur, et je n'aime ni singe, ni perroquet.
Lett. à M. de Villette, 30 janv. 1683 (senteur)Je serais bien contente s'il n'y avait point de lansquenet.
Lett. au duc de Noailles, 22 fév. 1706 (lansquenet)Vous ne songerez qu'à finir votre entreprise, sans daigner même songer à faire rougir les discoureurs.
Lett. au duc de Noailles, 25 janv. 1711 (discoureur, euse)Votre marchand se plaint de vous et il a raison ; quand des parties sont arrêtées il n'y a qu'à payer.
Lett. à d'Aubigné, 15 mars 1678 (partie [1])Je suis incapable d'envie, ni de trouver à redire à ce que vous ferez.
Proverb. p. 111, dans POUGENS (trouver)Nous ne sommes pas si mal que nos ennemis le croient, et que nous le disons souvent nous-mêmes.
Lett. au duc de Noailles, 3 mai 1705 (mal, ale)J'aurais encore mieux aimé ma liberté, j'aurais respecté mon indigence.
Lett. à la duch. de Richelieu, 3 mars 1666 (indigence)Paperassez à votre aise ; vous me rendrez ces papiers à votre grand loisir.
Lett. à Mme de Glapion, 21 nov. 1718 (paperasser)Je sais combien je dois soumettre mes vues aux vôtres.
Lett. au card. de Noailles, 7 août 1698 (soumettre)Sainte Geneviève a toujours protégé, dit-on, le royaume ; et, quoi que les libertins puissent penser, on en a vu autrefois des miracles, et le peuple a une grande confiance en elle.
Lett. au card. de Noailles, 14 juillet 1707 (libertin, ine)M. le curé de Versailles m'a dit ce matin que vous viendriez au premier jour présenter votre instruction.
Lett. au card. de Noailles, 20 nov. 1702 (instruction)C'est là qu'on jette, en passant, des maximes qui font plus d'impression que ce qu'on dit dans des exhortations préparées.
Lett. à Mme de Viefville, 23 fév. 1706 (exhortation)Nous aurons une très belle maison à Paris pour cinq cents écus.
Lett. à M. d'Aubigné, 15 mars 1678 (maison)Plus on approfondit tout ce qui a rapport à ce pantalon suisse, plus on trouve de preuves de son incroyable vanité.
Lett. au D. de Noailles, 19 juin 1710 (pantalon)Je vous conjure de ne paraître dans cette affaire-là que le moins que vous pourrez.
Lett. au duc de Noail. t. v, p. 248, dans POUGENS (paraître)Que je vous conte une réponse qui m'a fait plaisir, parce qu'elle m'a paru au-dessus de son âge [d'un enfant].
Lett. à Mme de Montespan, 1677, t. I, p. 65 (que [2])