Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Où avez-vous pris, mon cher duc, que je suis affligée des discours des courtisans, vous qui savez que nous vivons d'injures ?
Lett. au D. de Noailles, t. V, p. 98, dans POUGENS (prendre)Les nouvelles d'Espagne sont un peu longues à venir.
Lett. au duc de Noailles, 9 mai 1712 (long, ongue)Ce bon saint n'avait été ni enfermé dans une communauté, ni tiraillé par des courtisans.
Lett. à Mme de Glapion, 26 sept. t. III, p. 191, dans POUGENS. (tirailler)Ma prophétie a été bien remplie.
Lett. à Mme de Ventadour, 23 nov. 1714 (rempli, ie [1])Le maréchal de Villars a tant fait de représentations pour n'aller pas en Italie, que le roi s'y est rendu.
Lett. à Mme des Ursins, 4 juill. 1706 (rendre)Vous êtes né gentilhomme, mais sans un sou.
Lett. à M. d'Aubigné, 23 mai 1681 (sou)J'ai remis votre lettre au roi, il vous estime autant qu'il peut estimer un hérétique.
Lett. à M. de Villette, 10 juillet 1684 (estimer)Ma place ne m'a pas encore endurcie ; je sens tout trop vivement.
Lettre au card. de Noailles, 5 avril 1700 (endurcir)Mme la duchesse de Bourgogne vous est bien obligée de penser à elle, et sera ravie d'avoir vos heures.
Lett. au card. de Noailles, 3 oct. 1703 (heure)Ne méprisez personne, ne vous entêtez de rien.
Lett. à Mme de Caylus, 1705, t. VI, p. 4, dans POUGENS (entêter)Quelque idée que je me fusse faite de votre procédé, il va encore plus loin.
Lett. à de Villette, 5 avril 1682 (idée)Je n'ai point encore bien vu comment est pour vous celui à qui vous donnez de l'obéissant et qui n'aurait que de l'affectionné sans son maître.
Lett. Duc de Noailles, 1er mars 1711 (donner)Vous ne connaissez pas la moitié de ma tendresse pour vous.
Lett. à M. d'Aubigné, 12 juillet 1678 (moitié)Je ne suis point à moi ; tous mes amis doivent me regarder comme morte pour eux.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 232, dans POUGENS (mort, orte [1])On m'assure, mais d'assez mauvaise part, qu'on vend les équipages de M. le duc de la Feuillade.
Lett. à d'Aubigné, t. I, p. 171, dans POUGENS (équipage)Retenez-vous sur le jeu, vous avez été souvent témoin des malheurs que l'amour du jeu attire.
Lett. à Mme d'Havrincourt, 24 févr. 1705 (retenir)Je vous assure que ceux qui disent et qui écrivent que vous êtes mal avec moi sont mal instruits : vous n'y avez jamais été si bien.
Lett. au card. de Noailles, 24 mars 1706 (mal, ale)Trois heures au miroir tous les matins ; c'est deux de trop.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (miroir)Je l'aime [Mme de Montespan], et ne puis me persuader qu'elle me haïsse.
Lett. à Mme de St-Géran, 14 juin 1679 (haïr)Je lus l'endroit où vous me marquiez votre peine sur la dissipation des biens de Port-Royal par une garnison.
Lett. Card. de Noailles, 17 nov. 1707 (dissipation)