Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
On ne m'a pas dit que M. l'archevêque de Sens soit venu à ma porte ; et je n'en ai point été surprise, parce qu'il m'a toujours paru que, par une discrétion bien rare dans un évêque, il ne me voulait voir que pour affaires.
Lett. à Mme de Villette, 11 août 1708 (porte [1])Ma place ne m'a pas encore endurcie ; je sens tout trop vivement.
Lettre au card. de Noailles, 5 avril 1700 (endurcir)Ne peut-on pas vous donner une commission ? c'est deux cents aunes de damas bleu qu'il me faudrait : ni pâle, ni turquin, mais fort et beau.
Lettre à M. d'Aubigné, t. I, p. 165, dans POUGENS (turquin)Moi qui sens de la pitié pour ce qui s'appelle des misérables.
Lett. à Mme des Ursins, 4 juill. 1706 (misérable)Rongée de soucis, je suis obligée de paraître gaie et contente ; il faut que je dévore mes larmes.
Lett. à Mme de St-Géran, 1er avril 1679 (dévorer)Je fais bien plus de cas d'un ordre mitigé qui garde ses règles, que d'une réforme extérieure qui couvre souvent de grandes difformités.
Lett. à Mme de la Viefville, 2 mai 1708 (mitigé, ée)Je ne finirais pas si je vous disais les projets désordonnés dans lesquels elle veut me faire entrer.
Lettre à Mme de Caylus, 25 déc. 1717 (désordonné, ée)Quoi que vous en disiez, vous n'êtes sur la route de personne.
Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 166, dans POUGENS (route)Ainsi, monsieur, on lui sera obligé, s'il s'en tire passablement ; et l'on ne lui saura point mauvais gré, s'il s'en tire mal.
Lett. au card. de Noailles, 18 mai 1695 (passablement)Qui est plus prompte que Mme de Brinon et moi ?
Lett. à Mme du Peron, 25 oct. 1686 (prompt, ompte)Jugez par la longueur de la lettre si je suis de belle humeur.
Lettre à l'abbé Gobelin, 8 mai 1675 (humeur [1])Le roi prend tout mon temps ; je donne le reste à Saint-Cyr, à qui je voudrais le tout donner.
Lettre à Mme Brinon, t. II, p. 233, dans POUGENS (donner)Je remercie M. de Dangeau de son signe de vie.
Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 93, dans POUGENS. (signe)Je vais consulter M. Fagon, et je lui parlerai de l'humeur pancréatique, si je puis retenir ce mot.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 193, dans POUGENS (pancréatique)Mme votre mère ne vivait pas, et nous vous trouvions bien plus en danger que pendant la petite vérole.
Lett. au duc de Noailles, 29 mai 1706 (vivre [1])Des trahisons et des révoltes où les miquelets vos bons amis vous auront bien aidé.
Lett. au D. de Noailles, 23 août, 1711 (miquelet)J'ai vu plus d'une fois dans vos lettres, en parlant de vos filles : elle n'est point de mon parti ; une supérieure, un parti !
Lett. à Mme de la Viefville, 20 juin 1708 (parti [3])Je serai au comble de ma joie, si je vous vois enfin ménagères, pauvres en esprit, et épargnant pour donner, comme les avares épargnent pour amasser.
Lett. à Mme de R. 11 oct. 1693 (ménager, ère [2])Je ne suis point fort triste, nous n'en avons point de nouveaux sujets ; mais la mort est préférable à la vie.
Lett. au duc de Noailles, t. V, p. 92, dans POUGENS. (mort [3])C'est une fille unique… fille gâtée.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 février 1678 (gâté, ée)