Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré

MAINTENON (1635-1719)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.

842 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Lettres 1752 811 citations

Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON

Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.

  1. Je voudrais bien, sous le bon plaisir de M. l'évêque de Chartres, que vous ne fissiez point de règle ni d'habitude d'avoir nécessairement des sermons en de certains jours.
    Lett. à Mme de Fontaines, 12 mars 1694 (plaisir)
  2. Je dis ensuite au roi une partie de la réprimande que j'avais faite à son ministre.
    Lett. au card. de Noailles, 21 mai 1701 (réprimande)
  3. Je parlai bien rudement à Mme d'Aubigné sur ses mauvaises habitudes.
    Lett. à M. d'Aubigné, t. I, p. 163, dans POUGENS (rudement)
  4. Il convient qu'il y a de la lâcheté dans le procédé de son ami ; mais il soutient que vos hauteurs diminuent sa faute.
    Lett. à Mme Palaiseau, 1654 (hauteur)
  5. Vous n'avez jamais vu un tel vacarme dans le salon de Marly qu'il y en a eu sur l'évacuation des troupes d'Espagne.
    Lett. au d. de Noailles, 30 juin 1709 (évacuation)
  6. De pauvres personnes qui ont des affaires à Paris, et trop peu de bien pour donner de grosses pensions dans des couvents.
    Lett. à Mme de Villette, 13 août 1708 (pension)
  7. Je suis bien difficile à joindre ; j'ai plus d'affaires que jamais.
    Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 225, dans POUGENS (joindre)
  8. Je ne vous y parle point des nouvelles publiques ; elles vous reviennent de tous côtés.
    Lett. au cardin. de Noailles, 25 nov. 1700 (revenir)
  9. J'ai une lettre de M. le cardinal de Bouillon qui me charge de son raccommodement.
    Lett. au card. de Noailles, 25 juin 1698 (raccommodement)
  10. Je crains que M. d'Argenson ne succombe à la vie qu'il mène.
    Lett. à Mme de Caylus, 16 fév. 1718 (succomber)
  11. Il me faut un feu doré ; que la grille en soit très grosse ; j'aime le grand feu préférablement à toute autre délicatesse.
    Lett. à d'Aubigné, 10 fév. 1681 (feu [1])
  12. La peur de m'en repentir [d'être entrée au couvent] m'a fait passer par-dessus des mouvements que mille autres auraient appelés vocations.
    Lett. à l'abbé Gobelin, 1676, t. II, p. 51, dans POUGENS. (vocation)
  13. Je ne puis écrire à Châlons sans assurer Mme la duchesse de Noailles de mes très humbles respects.
    Lettre au cardin. de Noailles, 1694 (respect)
  14. Il y a tant de désœuvrés, tant de gens actifs sans occupation.
    Lettre au card. de Noailles, t. IV, p. 115, dans POUGENS. (désœuvré, ée)
  15. M. l'évêque de Chartres tient pour les vœux absolus ; il est le seul de son sentiment.
    Lett. à Mme de Saint-Géran, 2 juillet 1686 (tenir)
  16. Les mitaines sont trop étroites pour un bras si court, les couvre-pieds sont fort raisonnables.
    Lett. à Mme de Caylus, t. VI, p. 75, dans POUGENS (raisonnable)
  17. Mme de Courcillon est toute faite pour mourir de la poitrine.
    Lett. à Mme de Caylus, 8 janv. 1717 (poitrine)
  18. Le roi a souffert aujourd'hui sept heures de suite, comme s'il eût été sur la roue.
    Lett. à Mme de Brinon, 1686, t. II, p. 187, dans POUGENS (roue)
  19. J'espère que Fronsac ne vous embarrassera pas plus que de raison ; c'est la plus aimable poupée qu'on puisse voir.
    Lett. au duc de Noailles, 22 mai 1711 (poupée)
  20. Je n'ai jamais aimé à me déchaîner contre personne, et à présent moins que jamais.
    Lett. à d'Aubigné, 1er mars 1784 (déchaîner)