Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Qu'il [le duc de Noailles] avait la prévoyance de Turenne, la valeur de Créqui, je ne sais quoi de la Frézelière, et le détail de Jacquier.
Lettre au card. de Noailles, 5 févr. 1711 (détail)Ne vous familiarisez pas trop ; souvenez-vous toujours du personnage de mère, de sœur aînée, de religieuse.
Lett. à Mme de Fontaines, 1695, t. III, p. 138, dans POUGENS (familiariser)Sans avoir une vanité ridicule, on peut préférer une terre de son nom et de ses pères.
Lett. à M. d'Aubigné, ler déc. 1682 (père)J'ai une lettre de M. le cardinal de Bouillon qui me charge de son raccommodement.
Lett. au card. de Noailles, 25 juin 1698 (raccommodement)Elle répondit qu'elle ne savait pas traiter les domestiques comme des chiens.
Proverb. p. 4, dans POUGENS (traiter)Elle a essuyé toutes mes humeurs et toutes mes lassitudes.
Lett. à M. de Villette, 23 mai 1683 (essuyer)Le monde, et surtout MM. les évêques sont très mécontents de ce qu'on vient de faire pour les nouveaux convertis.
Lett. au card. de Noailles, 3 janv. 1698 (monde [1])Je suis incapable d'envie, ni de trouver à redire à ce que vous ferez.
Proverb. p. 111, dans POUGENS (trouver)Je la lus [votre lettre] hier au roi, qui me dit que M. de Pontchartrain vous avait envoyé l'arrêt dont il est question ; que vous le lui aviez renvoyé, parce que vous ne vouliez pas le faire signifier.
Lettre au card. de Noailles, 23 avril 1706 (signifier)Le roi me garde à vue : et je ne vois plus qui que ce soit.
Lett. au card. de Noailles, 22 août 1699 (garder)Ainsi, monsieur, on lui sera obligé, s'il s'en tire passablement ; et l'on ne lui saura point mauvais gré, s'il s'en tire mal.
Lett. au card. de Noailles, 18 mai 1695 (passablement)Je ne sais ce que j'ai : je suis sans fièvre, je tousse moins, je dors très bien ; mais ma faiblesse est extrême.
Lett. à Mme Glapion, t. III, p. 200, dans POUGENS (faiblesse)J'ai encore fait un pas pour M. Brillon, qui sera, je crois, aussi inutile que les autres.
Lett. à M. d'Aubigné, 30 juin 1680 (pas [1])Mon secrétaire a grand peur du tonnerre ; malgré tout son mérite, je lui vois le tempérament d'un lièvre.
Lett. à Mme de la Viefville, 18 juin 1707 (lièvre)N'est-ce pas aller bien vite que de donner le voile au bout de deux mois ?
Lett. à Mme de la Viefville, 5 nov. 1705 (voile [1])Dans le ciel les rangs ne seront marqués que par les vertus.
Lett. à Mme de la Viefville, 9 avr. 1713 (rang)Vous m'avez si bien mise dans les intérêts de M. de Levi, que je suis fâchée du dégoût qu'on lui donne.
Lett. à Mme de Caylus, 2 sept. 1716 (mettre)Les présidents à mortier étaient assez ridicules avec leurs mortiers sur la tête, qui de loin paraissaient de ces boîtes plates de confitures.
Lett. à M. de Villarceaux, 27 août 1660 (président)Que de conversions fausses ! le péché vaut encore mieux que l'hypocrisie.
Lett. au card. de Noailles, mars 1700 (hypocrisie)Rongée de soucis, je suis obligée de paraître gaie et contente ; il faut que je dévore mes larmes.
Lett. à Mme de St-Géran, 1er avril 1679 (dévorer)