Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Faites bien comprendre à nos sœurs en quoi consiste la mort au monde.
Lettre à Mme de Glapion, t. III, p. 194, dans POUGENS. (mort [3])Non, je ne m'accoutume point à voir le nom de Noailles à la veille d'une disgrâce.
Lett. au duc de Noailles, 15 nov. 1712 (veille)Je suis obsédée ou de femmes que je méprise, ou d'hommes qui ne m'aiment point.
Lett. à Mme de Glapion, 31 juillet 1712 (obséder)Je ne puis continuer ma lettre : on parle d'ouvrir le mal du roi en quatre.
Lett. au card. de Noailles, 7 sept. 1697 (mal, ale)Les voilà avec la guimpe et le voile, et aussi religieuses à l'extérieur qu'elles le sont dans l'âme.
Lett. à Mme de Villette, 13 août 1708 (guimpe)J'ai trop longtemps vécu pour ne pas prendre le pire pour le certain.
Lettre à Mme de Glapion, 11 sept. 1716 (pire)Le roi me garde à vue : et je ne vois plus qui que ce soit.
Lett. au card. de Noailles, 22 août 1699 (garder)Je ne suis pas en belle humeur : les affaires de Flandres prennent un mauvais tour.
Lett. au duc de Noailles, 15 août 1711 (humeur [1])Je serais très aise de plaire à Mme de Bonnevaux ; car peu de gens lui plaisent, et elle plaît à tous.
Lett. à Mme de Brinon, 1679 (plaire)Il est triste de dépendre de gens qu'on n'aime point.
Lettre à Mme de Caylus, 27 fév. 1716 (dépendre [2])Vous êtes destinée, ma chère fille, à être une pierre fondamentale de Saint-Cyr.
Lett. à Mme de la Maisonfort, 6 févr. 1692 (fondamental, ale)Les affaires qui roulent sur l'argent ont toujours quelque chose de sale.
Lett. à d'Aubigné, 25 juin 1684 (rouler)Elle a envoyé chercher les preuves de mon frère, brillantes comme le soleil.
Lett. à Mme de Caylus, 7 mars 1718 (preuve)Il ne conviendrait pas que ces messieurs vainquissent par une femme.
Lett. au duc de Noailles, t. v, p. 249, dans POUGENS. (vaincre)Je ne me soucie point de lire Télémaque.
Lett. à Mme de Caylus, 10 avril 1717 (soucier)Trois heures au miroir tous les matins ; c'est deux de trop.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (miroir)Les ennemis de la princesse des Ursins répandent qu'elle est mal avec le roi.
Lett. au duc de Noailles, 3 sept. 1706 (répandre)Je n'ose entrer en matière sur la suite de la lettre.
Lett. au card. de Noailles, 6 oct. 1707 (matière)J'aimerais mieux que mes chères filles n'entendissent pas de sermon un jour de Pâques que d'être réduites à tous les jeunes cordeliers qui viendront s'essayer chez vous.
Lettre à Mme de Fontaines, 12 mars 1694 (essayer)Presque tous les hommes noient leurs parents et leurs amis, pour dire un mot de plus au roi et pour lui montrer qu'ils lui sacrifient tout.
Lett. au card. de Noailles, 15 nov. 1695 (noyer [2])