Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Un homme me disait autrefois que nos chagrins venaient des intrigues où nous nous engagions, encore plus que de nos fautes.
Lett. à Mme de la Viefville, 20 juin 1708 (intrigue)Quand j'aurai une maison montée.
Lett à M. d'Aubigné, 1er janv. 1681 (maison)Votre peur vous dispose plus à la petite vérole que la présence de la petite vérole même.
Lett. Mme de Caylus, 6 oct. 1716 (disposer)On vous souffrira avec tous vos défauts : robe d'ouate, écharpe, bonnets, serviettes sur la tête, ce sont tous ceux que je vous connais.
Lett. à Mme de Dangeau, 19 déc. 1687 (ouate)Les hommes ne tarissent point en sots raisonnements sur les affaires présentes.
Lett. à Mme la marquise de Dangeau, 11 juin, t. VII, p. 64, dans POUGENS. (tarir)Vous n'êtes pas homme à vous embarrasser de ce que disent les dames de salon avec un nombre de fainéants, lâches envieux qui ne veulent rien faire et qui sont fâchés que les autres fassent.
Lett. au duc de Noailles, 13 fév. 1711 (faire [1])Il y a de nouvelles difficultés sur la paix ; je la recommande à vos prières.
Lett. au card. de Noailles, 19 oct. 1697 (difficulté)Je ne suis ni doucereuse, ni importune.
Lett. d'Aubigné, 22 juillet 1680 (doucereux, euse)Servons-nous de la considération qu'il a pour moi, pour l'établir sur un bon pied.
Lett. à M. de Villette, 5 août 1687 (pied)Cet homme est lié avec Mme de Nogaret, qui est fort zélée contre le quiétisme.
Lett. au card. de Noailles, 7 sept. 1697 (lié, ée)Le mauvais temps oblige le roi de garder la chambre.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 237, dans POUGENS (garder)Je suis si glorifiée en ce monde pour quelques bonnes intentions que je tiens de Dieu, que j'ai sujet de craindre d'être humiliée et confondue dans l'autre.
Lett. à l'abbé Gobelin, 5 avr. 1691 (glorifié, ée)Si, pour vous servir, il fallait me réconcilier avec Mme de Montespan, je me réconcilierais avec elle.
Lett. à l'abbé Gobelin, 15 avril 1675 (réconcilier)L'intrigue est plus puissante à la cour que les liaisons du sang.
Lett. à Mme de Caylus, 6 déc. 1717 (intrigue)Il me revient que vous dites tout à l'abbé Têtu.
Lett. à l'abbé Gobelin, 27 juin 1676 (revenir)La plus savante théologie ne peut vous parler de la Trinité autrement que votre catéchisme.
Lettre à Mme de Glapion, t. III, p. 151, dans POUGENS. (trinité)Quelle cruauté que la guerre ! et pourquoi tous ces princes se persécutent-ils les uns les autres, et font-ils périr tant d'hommes ?
Lett. à Mme des Ursins, 18 juill. 1706 (prince)La tristesse n'est bonne, ni pour ce monde, ni pour l'autre.
Lett. à Mme de Caylus, 29 sept. 1715 (tristesse)Écrivez-moi les moindres détails, des riens : mon amitié pour vous en fera des choses.
Lett. à d'Aubigné, 11 mai 1677 (rien)Soyez le mieux monté et le plus mal couché des capitaines du régiment.
Lett. à d'Aubigné, t. I, p. 90, dans POUGENS (monté, ée)