Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
J'attends M. le duc du Maine ; ce sera sa quatrième visite dans cette semaine : je ne puis me croire retirée.
Lett. à Mme de Caylus, 6 sept. 1716 (visite)Voilà par quels plaisirs nous tâchons d'abréger le songe de la vie !
Lett. à Mme des Ursins, 17 sept. 1714 (songe [1])Girone d'abord a été une grande entreprise, ensuite on a parlé d'une muraille sèche pour toute défense.
Lett. au duc de Noailles, 25 janv. 1711 (sec, sèche)C'est beaucoup si vous avez obtenu de vous de ne reprendre jamais en public ; voyez dans vos réflexions si vous ne seriez pas bien aise qu'on vous dît vos fautes en particulier.
Lett. à Mme de la Viefvile, 2 mai 1708 (reprendre)Moi qui sens de la pitié pour ce qui s'appelle des misérables.
Lett. à Mme des Ursins, 4 juill. 1706 (misérable)Ils avaient un dessein formé de se servir de mon amitié, de ma crédulité, de mon crédit pour établir cette nouveauté à la cour.
Lett. au card. de Noailles, 29 mai 1697 (nouveauté)Il est plus aisé d'arranger tout sur le papier que d'exécuter.
Lett. au Card. de Noailles, 6 oct. 1699 (papier)Je ne suis point à moi ; tous mes amis doivent me regarder comme morte pour eux.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 232, dans POUGENS (mort, orte [1])Tracasseries qui emportent la pièce, et qui communiquent le découragement aux mieux intentionnés.
Lett. au D. de Noaill. 3 sept. 1710 (pièce)Envoyez-moi vingt aunes de poil de chèvre noir.
Lett. à la marquise de Villette, 21 mai 1709 (poil)Mme la duchesse de Bourgogne vous est bien obligée de penser à elle, et sera ravie d'avoir vos heures.
Lett. au card. de Noailles, 3 oct. 1703 (heure)Il faudra que le prince mange tout seul en gras à sa petite table.
Lett. à M. d'Aubigné, 4 septemb. 1677 (gras, asse)Ne m'oubliez jamais dans vos prières, s'il vous plaît.
Lett. à l'abbé Gobelin, 25 mai, 1675 (plaire)Je suis bien aise que saint Candide fasse des miracles ; mais je ne me soucie pas que ses miracles fassent de l'argent.
Lett. à Mme de Brinon, 22 août 1683 (faire [1])Il ne faut pas scandaliser le moindre des faibles.
Lett. au card. de Noailles, 2 nov. 1705 (faible)Je dis ensuite au roi une partie de la réprimande que j'avais faite à son ministre.
Lett. au card. de Noailles, 21 mai 1701 (réprimande)Je vous prie d'entreprendre la fille de notre paysanne pour la bien instruire.
Lett. sur l'éduc. à Mme Brinon, dans GODEFROY, Lex. de Corneille. (entreprendre)J'ai trop longtemps vécu pour ne pas prendre le pire pour le certain.
Lettre à Mme de Glapion, 11 sept. 1716 (pire)Mme la duchesse d'Orléans est un objet de pitié.
Lett. à Mme de Caylus, 2 sept. 1717 (objet)M. de Noailles est trop sincère avec le roi ; il n'est pas aisé d'effacer les impressions qu'on lui a données.
Lett. au card. de Noailles, 2 janv. 1796 (impression)