Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Défiez-vous, Monseigneur, de tout le monde, et particulièrement de M. le premier président, c'est un ravaudeur.
Lett. au card. de Noailles, 15 nov. 1695 (ravaudeur, euse)M. Fagon crie miséricorde contre moi de ce que j'écris trop.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 234, dans POUGENS (miséricorde)Votre prince a de très bonnes sous-gouvernantes et un fort bon médecin.
Lett. à Mme de Ventadour, 20 avril 1712 (gouvernante)Ne peut-on pas vous donner une commission ? c'est deux cents aunes de damas bleu qu'il me faudrait : ni pâle, ni turquin, mais fort et beau.
Lettre à M. d'Aubigné, t. I, p. 165, dans POUGENS (turquin)Le roi d'Espagne a quelque goût pour les jeux d'esprit.
Lett. au duc de Noailles, 19 déc. 1700 (jeu)J'ai trop longtemps vécu pour ne pas prendre le pire pour le certain.
Lettre à Mme de Glapion, 11 sept. 1716 (pire)Moi, madame, qui suis votre redevable par tant de titres.
Lett. à Mme Fouquet, 4 sept. 1659 (redevable)Plus on approfondit tout ce qui a rapport à ce pantalon suisse, plus on trouve de preuves de son incroyable vanité.
Lett. au D. de Noailles, 19 juin 1710 (pantalon)Je crains bien qu'il n'ait pris un vol qu'il ne pourra soutenir.
Lett. à Mme de St-Géran, 15 avril 1691 (vol [1])Le roi n'a point de galanterie, et vraisemblablement n'en aura plus.
Lett. à M. de Villette, 14 août. (galanterie)Il s'est mis sur vos louanges d'un fort bon ton.
Lett. au D. de Noailles, t. V, p. 87, dans POUGENS (mettre)Je n'ai soutenu que cinq ou six pages : je meurs de peur que vous n'en puissiez lire davantage.
Lett. au duc de Noailles, t. V, p. 29, dans POUGENS. (soutenir)Je dînai il y a quelques jours chez M. Ponchartrain : il fit beaucoup de railleries assez aigres sur le monseigneur que les évêques se donnent.
Lett. au cardin. de Noailles, 12 oct. 1695 (monseigneur)Sans doute on pousse trop loin l'aversion de votre religion [le protestantisme] ; mais ne poussez-vous pas trop loin aussi les préventions de votre enfance ?
Lett. à M. de Villette , 16 juill. 1684 (pousser)Je ne suis pas de trop bonne humeur sur le retardement de la paix, qu'on croit pourtant immanquable.
Lett. à Mme de Bouju, t. V, p. 268, dans POUGENS (retardement)Il convient qu'il y a de la lâcheté dans le procédé de son ami ; mais il soutient que vos hauteurs diminuent sa faute.
Lett. à Mme Palaiseau, 1654 (hauteur)S'il est vrai que le peuple me maudit, c'est qu'il ne me connaît pas.
Lett. au card. de Noailles, 14 juillet 1707 (maudire)Voilà, monseigneur, de ces avis que je vous donnerai, afin que vous sachiez comment les choses sont prises ici.
Lett. au card. de Noailles, 10 nov. 1695 (pris, ise)Mme de Lyonne m'a dit : je verrai, je parlerai, du ton dont on dit le contraire.
Lett. à Mme de Chantalou, 28 avril 1666 (voir)J'ai remis votre lettre au roi, il vous estime autant qu'il peut estimer un hérétique.
Lett. à M. de Villette, 10 juillet 1684 (estimer)