Marguerite de Navarre, dite aussi de Valois, ou d'Angoulême, reine de Navarre, auteur cité dans le Littré
MARGUERITE DE NAVARRE (1492-1549)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MARGUERITE DE NAVARRE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres de Marguerite d'Angoulême, sœur de François Ier, reine de Navarre, publiées d'après les manuscrits de la Bibliothèque du roi | 180 citations | |
| L'Heptaméron, recueil de 72 nouvelles | 309 citations |
Quelques citations de Marguerite de Navarre, dite aussi de Valois, ou d'Angoulême, reine de Navarre
Voici un tirage aléatoire parmi ses 682 citations dans le Littré.
Afin que, quand vos maris vous donneront les cornes de chevreuil, vous leur en donniez de cerf.
ib. III (corne)Je lui ai fait response qu'il chasse si bien ceulx qui sont au païs là où il est, qu'il les vous envoye au païs d'Anjou et du Mayne.
Lett. 7 (le, la, les [2])Le tout est que je laissay le roy faisant, dieu mercy, très bonne chere [en santé], et commençant bien à se fortifier.
L. 46 (chère)M. de Soissons est parti, qui a porté à Mme la mareschalle une bonne lettre du roy, que lui mesme a devisée [dictée].
Lett. 123 (deviser)Viens donc, ami, prendre ce qui est tien, Je suis à toi ; sois doncques du tout mien.
Nouv. LXIV (mien)Ce me seroit chose importable, et non moins deshonorable pour vous.
Nouv. LIII (déshonorable)M. d'Orleans est cloué sur son livre et dit qu'il veut être saige.
Lett. XXX (clouer)Si toust que nous saurons vostre partement, nous gaignerons les devans.
Lett. 113 (devant)Et pour toutes les gravités [griefs, difficultés] dont l'on m'a usé, a esté de me refuser de demourer en sa compaignie avecques troys femmes.
Lett. 47 (gravité)Le roy de Navarre, lequel je pense estre à chemin…
lett. CXXIII (à)La belle meschine [jeune fille], pour faire des pastés, blutoit de la farine.
Nouv. XVII (bluter)Le plus affectionné serviteur et ami qu'elle ait.
Nouv. IX (affectionner)Ce n'estoit qu'un cœur, une maison, un lit, une table et une bourse d'eux deux.
Nouv. XLVI (de)Un jour, alla avec sa maistresse à l'observance [couvent de cordeliers] ouïr la grand messe.
Nouv. XIX. (observance)Et, le temps des avents venu, envoya en un couvent de cordeliers demander un prescheur.
Nouv. XLI (avent)Monseigneur, ainsin que je voulois commancer cette lectre, cele qu'il vous a pleu escripre par mon homme est arrivée.
Lett. XXXVIII (ainsi)Ceux qui connoissoient les adresses des chemins furent ceux qui eschapperent.
Préf. (adresse)Et lui s'en alla en son logis pour reposer son travail, ce qu'il fit, de sorte que neuf heures du matin le trouverent au lit.
ib. XI (trouver)Tout le monde, fors moy seulement, estoit desesperé de sa vie.
ib. 47 (désespérer)Le desir que j'ay de savoir comme se porte votre santé ne me laisse passer en ce lieu sans vous escripre.
ib. 17 (porter [1])