François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
Le bon était, à l'origine, de 105 francs ; le faussaire, en effaçant la mention à l'aide d'une substance que l'on nomme encrivore, l'a transformé en un bon de 5000 francs, dont il a fait la négociation.
Journ. des Débats, feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 3<sup>e</sup> col. (encrivore)Tout le monde connaît, de nom au moins, les cucuyos ou pyrophores, qui sont si répandus dans l'Amérique tropicale… les Mexicaines s'en servent comme d'un objet d'ornement ; elles les nourrissent soigneusement et les placent le soir dans leur chevelure.
Journ. offic. 4 août 1872, p. 5371, 2<sup>e</sup> col. (pyrophore)Nom donné, dans les landes de Gascogne, à une couche imperméable, située à la profondeur moyenne d'un mètre environ, d'épaisseur variable, d'un brun rouge foncé, assez compacte, qui ne cède qu'à la pioche ; c'est un sable cimenté par une sorte de matière organique légèrement ferrugineuse.
Journ. offic. 27 juill. 1870, p. 1337, 5<sup>e</sup> et 6<sup>e</sup> col. (alios)Le phosphate de chaux dont on se sert depuis longtemps pour fabriquer le verre opale à reflets rougeâtres.
Journ. offic. 28 janv. 1875, p. 752, 2<sup>e</sup> col. (opale)Le réchauffeur imaginé par M. Mekarski résout très habilement cette seconde difficulté ; en effet l'air, avant de se détendre, se charge de vapeur d'eau dans la bouillotte, et il emporte ainsi avec lui assez de calorique pour faire face au refroidissement.
Journ. des Débats, 30 mars 1876, Feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 2<sup>e</sup> col. (réchauffeur)Un véritable laboratoire astronomique, permettant de photographier constamment le soleil et de l'examiner aussi spectroscopiquement.
Journ. offic. 8 avril 1872, p. 2435, 3<sup>e</sup> col. (spectroscopiquement)Les micro-organismes nombreux et prolifères.
Journ. offic. 11 févr. 1876, p. 1136, 1re col. (micro-organisme)Ils donneront également la composition des lames minces qui produisent l'irisation… ces études ne sont pas seulement intéressantes au point de vue de l'irisation du verre, au point de vue de la production d'une substance vitreuse présentant l'aspect de la nacre…
Journ. offic. 1er fév. 1877, p. 792, 2<sup>e</sup> col. (irisation)Sur le réseau de l'Est, à la seule gare de Paris, il faudrait [pour le chauffage des wagons] manutentionner dans une seule journée 5000 chaufferettes.
Journ. offic. 19 nov. 1876, p. 8456, 2<sup>e</sup> col. (manutentionner)M. Bertrand communique, au nom de M. Marcel Depretz, un travail sur la rapidité de l'aimantation et de la désaimantation.
Journ. offic. 3 juin 1875, p. 3959, 3<sup>e</sup> col. (désaimantation)Il [M. Bert] a respiré un mélange artificiel d'oxygène et d'azote dans la proportion de 40 pour 100 contre 60 pour 100 renfermé dans de petits ballonnets.
Journ. offic. 3 avr. 1874, p. 2568, 3<sup>e</sup> col. (ballonnet)La carène, décuirassée à l'avant et à l'arrière, est protégée par une profondeur d'eau de 2 mètres 26 centimètres.
Journ. des Débats, 16 nov. 1876, feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 1re col. (décuirassé, ée)On met tremper des quartiers de viande, de vingt-quatre à trente-six heures, dans une solution renfermant, pour 100 parties, 8 de biborate de soude, 2 d'acide borique, 3 de salpêtre et 1 de sel ; on embarrique en ajoutant un peu de ce liquide.
Journ. des Débats, 11 nov. 1875, 2<sup>e</sup> page, 6<sup>e</sup> col. (embarriquer)Sur le calcaire nummulitique, calciné et désagrégé, formant le sol de la grotte, gisait un squelette humain associé à des silex taillés.
Journ. offic. 7 mai 1874, p. 3143, 3<sup>e</sup> col. (nummulitique)Le virage au rouge violet de la liqueur acide.
Journ. offic. 8 févr. 1877, p. 1007, 3<sup>e</sup> col. (virage)L'écoulement de la gomme constitue une véritable maladie, que le savant botaniste [M. Ed. Prillieux] désigne sous le nom de gommose ; la gommose consiste en une transformation en gomme, substance inutile à l'économie, des éléments nécessaires à la formation des nouveaux tissus.
Journ. offic. 14 mai 1874, p. 3257, 2<sup>e</sup> et 3<sup>e</sup> col. (gommose)M. Marey a établi que le mouvement alaire de l'insecte dessinait dans l'espace une courbe en forme de 8 de chiffre.
Journ. offic. 19 avril 1870, p. 699, 1re col. (alaire)Des plantes sensibles comme les mimosas ou les droséras… la plante connue sous le nom de droséra, n'est sensible qu'au toucher.
Journ. offic. 30 oct. 1873, p. 6626, 1re col. (droséra)Il a pu se produire ici le phénomène étudié par M. Bert sous le nom de décompression… il nous semble probable que Sivel et Crocé-Spinelli seront morts des suites d'une décompression trop brusque.
Journ. offic. 22 avril 1875, p. 2918, 2<sup>e</sup> col. (décompression)Il [E. Curie] se sert de l'acide picrique en solution aqueuse, de pièces de pansement imbibées de cette solution ou mieux encore de ouate picriquée.
Journ. offic. 10 nov. 1876, p. 8119, 2<sup>e</sup> col. (picriqué, ée)