François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré

DE PARVILLE (1838-1909)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.

Journaliste.

184 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.

  1. Un verre plus ou moins opalisé au lieu du verre éminemment limpide et éclatant qu'ils ont coutume de produire.
    Journ. offic. 8 janv. 1875, p. 752, 1re col. (opalisé, ée)
  2. L'insensibilité produite [par le chloral injecté dans les veines] ne détermina aucun de ces phénomènes asphyxiques inquiétants qui s'observent si souvent à la suite du chloroforme.
    Journ. offic. 26 févr. 1874, p. 1537, 3<sup>e</sup> col. (asphyxique)
  3. M. Marey a établi que le mouvement alaire de l'insecte dessinait dans l'espace une courbe en forme de 8 de chiffre.
    Journ. offic. 19 avril 1870, p. 699, 1re col. (alaire)
  4. Ses observations [de Sédillau] barométriques, thermométriques et pluviométriques s'y sont faites [à l'observatoire] sans temps d'arrêt.
    Journ. offic. 8 déc. 1871, p. 4845, 3<sup>e</sup> col. (pluviométrique)
  5. Tuyau d'évacuation de la vapeur.
    Journ. des Débats, 3 nov. 1876, Feuilleton, 1re page, 4<sup>e</sup> col. (éjecteur)
  6. Nous remarquons au banc des savants étrangers M. Hilgard, commentateur des poids et mesures, un des géodésistes les plus éminents des États-Unis.
    Journ. offic. 26 mai 1872, p. 3522, 2<sup>e</sup> col. (commentateur, trice)
  7. M. Planchon, professeur à Montpellier, après avoir décrit ce nouvel ennemi de la vigne [1865], lui donna le nom de rhizaphis vastatrix et plus tard celui de phylloxera vastatrix qu'il a conservé ; on a rapproché ce puceron d'un autre insecte découvert en Amérique en 1854, le pemphigus vitifolia, que l'on ne rencontrait que sur les feuilles de la vigne ; d'où le nom impropre de phylloxéra qui signifie parasite des feuilles, alors qu'en réalité on ne le trouve guère que sur les racines…
    Journ. offic. 25 juin 1873, p. 4186, 3<sup>e</sup> col. (phylloxéra)
  8. Il serait possible qu'on en revînt [dans un tunnel] à la traction par câble télédynamique, mû à l'aide de puissantes machines fixes.
    Journ. des Débats, 11 mars 1875, Feuilleton, 3<sup>e</sup> page, 6<sup>e</sup> col. (télédynamique)
  9. L'auteur traite en détail les questions du pétardement des roches, de la démolition des maçonneries.
    Journ. offic. 13 août 1874, p. 5840, 1re col. (pétardement)
  10. Lavoisier disait en 1792 : la chimie, en soumettant à des expériences les différents corps de la nature, a pour objet de les décomposer et de se mettre en état d'examiner séparément les différentes substances qui entrent dans leur combinaison ; la chimie marche donc vers son but et vers sa perfection en divisant, subdivisant et resubdivisant encore.
    Journ. des Débats, 23 fév. 1876, 3<sup>e</sup> page, 2<sup>e</sup> col. (resubdiviser)
  11. Il serait si facile d'utiliser leur travail [des courants d'eau] pour le colmatage et le limonage des terres arables.
    Journ. offic. du 25 mai 1869, p. 749, 2<sup>e</sup> col. (limonage)
  12. Phénomène par lequel, en certaines circonstances, une image se fixe sur la rétine d'un animal,
    Journ des Débats, 8 mars 1877, Feuilleton, 2<sup>e</sup> col. (optographie)
  13. Des plantes sensibles comme les mimosas ou les droséras… la plante connue sous le nom de droséra, n'est sensible qu'au toucher.
    Journ. offic. 30 oct. 1873, p. 6626, 1re col. (droséra)
  14. L'absinthe finit par conduire à l'épilepsie ; mais l'absinthisme est différent de l'alcoolisme.
    Journ. offic. 1er juin 1876, p. 3751, 1re col. (absinthisme)
  15. Les inventeurs ont été conduits à phosphorer l'alliage de cuivre et d'étain.
    Journ. offic. 8 sept. 1871, p. 3307, 1re col. (phosphorer)
  16. M. Francisque Michel adresse une note sur un appareil destiné à signaler automatiquement la présence autour des navires de blocs de glace flottants ou icebergs… le jour, à moins d'un brouillard intense, les icebergs, frappés par les rayons du soleil, se voient à de grandes distances.
    Journ. offic. 16 avr. 1874, p. 2769, 1re col. (iceberg)
  17. Il est avantageux pour l'État d'employer la dynamite au fractionnement des pièces hors de service…
    Journ. offic. 27 nov. 1874, p. 7832, 1re col. (fractionnement)
  18. L'éminent électriseur [M. du Moncel].
    Journ. offic. 15 juin 1876, p. 4199, 2<sup>e</sup> col. (électriseur)
  19. Chaque explosif paraît avoir son amorce excitatrice.
    Journ. des Débats, 22 oct. 1874, feuilleton, 1re page, 2<sup>e</sup> col. (explosif, ive)
  20. Pour connaître la force alcoolique d'une eau-de-vie, on se sert d'aréomètres, dont les plus usités dans la ville de Cognac… sont le tessa, l'hydromètre anglais… il [M. Bernard] insiste sur le peu de précision qu'offre le tessa, instrument absolument inconnu ailleurs que dans les Charentes.
    Journ. offic. 11 nov. 1875, p. 9208, 2<sup>e</sup> col. (tessa)