François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
La carène, décuirassée à l'avant et à l'arrière, est protégée par une profondeur d'eau de 2 mètres 26 centimètres.
Journ. des Débats, 16 nov. 1876, feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 1re col. (décuirassé, ée)M. Jamin présente une note de M. Van der Willigen sur la force portative des aimants en fer à cheval ; l'auteur fait connaître une méthode d'aimantation qui permet d'augmenter de près d'un tiers la force portative permanente des meilleurs aimants.
Journ. offic. 7 déc. 1876, p. 9096, 2<sup>e</sup> col. (portatif, ive)Voici l'explication classique adoptée pour rendre compte du roussissement des bourgeons à cette époque de l'année [lune rousse] ; la lune, dit-on, n'a rien à faire dans le phénomène, elle est simplement témoin et non acteur dans le roussissement des végétaux.
Journ. offic. 10 avril 1866, p. 2591, 2<sup>e</sup> col. (roussissement)La plus grande pollution des eaux de Seine correspond un peu après à la sortie des eaux d'égout.
Journ. offic. 20 nov. 1874, p. 7718, 2<sup>e</sup> col. (pollution)Récolte des rayons solaires et projection sur le récipient emmagasinateur à l'aide d'un réflecteur présentant la forme d'un abat-jour.
Journ. offic. 17 oct. 1875, p. 8719, 3<sup>e</sup> col. (emmagasinateur, trice)Quand la température s'est un peu élevée, le colise mâle étale ses belles nageoires avec plus de coquetterie encore.
Journ. des Débats, 11 mai 1876, Feuilleton, 6<sup>e</sup> col. (colisa ou colise)L'homalographe [de MM. Peaucellier et Wagner] permet de déterminer, par une seule opération, à la fois la distance et l'altitude d'un point.
Journ. offic. 5 mars 1874, p. 1735, 3<sup>e</sup> col. (homalographe)Il a pu se produire ici le phénomène étudié par M. Bert sous le nom de décompression… il nous semble probable que Sivel et Crocé-Spinelli seront morts des suites d'une décompression trop brusque.
Journ. offic. 22 avril 1875, p. 2918, 2<sup>e</sup> col. (décompression)Tous les kilomètres, le train [de la poste atmosphérique] déclenchera lui-même un butoir qui ouvrira une communication entre la conduite et un réservoir sous pression.
Journ. offic. 3 juin 1875, p. 3960, 2<sup>e</sup> col. (déclencher)En mars et avril, la vigne étant taillée et profondément déchaussée, on coaltare au gros pinceau la tige dépouillée de ses vieilles écorces,..
Journ. offic. 7 avril 1876, p. 2510, 2<sup>e</sup> col. (coaltarer)Le lendemain [26 déc. 1870]… partait le dernier coup de mine, et s'écroulait le dernier obstacle [dans le tunnel], les deux tronçons étaient réunis : les Alpes étaient trouées.
Journ. offic. p. 3830, 3<sup>e</sup> col. (troué, ée)Le virage au rouge violet de la liqueur acide.
Journ. offic. 8 févr. 1877, p. 1007, 3<sup>e</sup> col. (virage)Sur le calcaire nummulitique, calciné et désagrégé, formant le sol de la grotte, gisait un squelette humain associé à des silex taillés.
Journ. offic. 7 mai 1874, p. 3143, 3<sup>e</sup> col. (nummulitique)Le savant expérimentateur [M. Kühn] a obtenu ses optogrammes même avec des yeux extirpés une heure après la mort ; avec l'œil du bœuf on a des images trois fois plus grandes qu'avec l'œil du lapin.
ib. 2<sup>e</sup> page, 1re col. (optogramme)M. Duchemin a fait, à propos de cette application du nickel à la préservation des boussoles, un historique rapide et intéressant de la nickelure en industrie.
Journ. offic. 18 nov. 1875, p. 9440, 1re col. (nickelure)La dilatation des canaux chromatophores.
Journ. offic. 25 nov. 1875, p. 9664, 2<sup>e</sup> col. (chromatophore)Ces phénomènes coïncident avec nos points astronomiques critiques, tels que apogée, périgée lunaire, lunistice, équilune, coïncidence de déclinaison lunaire et solaire.
Journ. offic. 17 mars 1872, p. 1910, 3<sup>e</sup> col. (équilune)La nature de ces gaz qui donnent au verre à glace un défaut connu sous le nom de point, n'a pas été jusqu'à présent déterminée avec exactitude… le point est dû à l'action des corps réducteurs sur le sulfate de soude qui se trouve toujours en excès pendant la fabrication du verre… le sulfure réagit sur le sulfate et produit les gaz qui restent dans le verre, si la coulée se fait à ce moment ; c'est ainsi que le verre présente du point qui peut être gros et espacé : c'est le point de charbon ; ou fin et rapproché : c'est le point de sel.
Journ. offic. 16 déc. 1875, p. 10383, 1re col. (point [1])L'aération s'obtiendra, comme au Saint-Gothard, par l'injection d'air comprimé jusqu'au front de taille… [en cas d'irruption des eaux] on séparera ce front de taille du reste de la galerie par une sorte de carapace à cloisons hermétiques.
Journ. offic. 17 août 1875, p. 6891 (front)Un véritable laboratoire astronomique, permettant de photographier constamment le soleil et de l'examiner aussi spectroscopiquement.
Journ. offic. 8 avril 1872, p. 2435, 3<sup>e</sup> col. (spectroscopiquement)