François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
M. Francisque Michel adresse une note sur un appareil destiné à signaler automatiquement la présence autour des navires de blocs de glace flottants ou icebergs… le jour, à moins d'un brouillard intense, les icebergs, frappés par les rayons du soleil, se voient à de grandes distances.
Journ. offic. 16 avr. 1874, p. 2769, 1re col. (iceberg)L'homalographe [de MM. Peaucellier et Wagner] permet de déterminer, par une seule opération, à la fois la distance et l'altitude d'un point.
Journ. offic. 5 mars 1874, p. 1735, 3<sup>e</sup> col. (homalographe)Ici [en certains navires cuirassés], on gagne en puissance défensive, on perd en vitesse et en maniabilité.
Journ. des Débats, 16 nov. 1876, Feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 5<sup>e</sup> col. (maniabilité)M. Girard est persuadé que la marche moins rapide de l'invasion phylloxérienne, à mesure que les vignobles sont plus septentrionaux, tient uniquement à une hivernation de plus longue durée…
Journ. offic. 29 oct. 1874, p. 7263 (phylloxérien, ienne)M. Jamin présente une note de M. Van der Willigen sur la force portative des aimants en fer à cheval ; l'auteur fait connaître une méthode d'aimantation qui permet d'augmenter de près d'un tiers la force portative permanente des meilleurs aimants.
Journ. offic. 7 déc. 1876, p. 9096, 2<sup>e</sup> col. (portatif, ive)Nom donné, dans les landes de Gascogne, à une couche imperméable, située à la profondeur moyenne d'un mètre environ, d'épaisseur variable, d'un brun rouge foncé, assez compacte, qui ne cède qu'à la pioche ; c'est un sable cimenté par une sorte de matière organique légèrement ferrugineuse.
Journ. offic. 27 juill. 1870, p. 1337, 5<sup>e</sup> et 6<sup>e</sup> col. (alios)Au mont Cenis, la respiration était quelquefois gênée après le tirage des mines, malgré le jeu des ventilateurs.
Journ. offic. 17 fév. 1876, p. 1264, 2° col. (tirage)M. Janssen fait remarquer qu'il a vu la planète entrer sur le soleil sans aucun ligament ; mais la durée de l'entrée a été anormalement longue.
Journ. offic. 11 fév. 1875, p. 1135, 3<sup>e</sup> col. (anormalement)L'aération s'obtiendra, comme au Saint-Gothard, par l'injection d'air comprimé jusqu'au front de taille… [en cas d'irruption des eaux] on séparera ce front de taille du reste de la galerie par une sorte de carapace à cloisons hermétiques.
Journ. offic. 17 août 1875, p. 6891 (front)De ce que la planète [Vénus] a été vue dans l'atmosphère coronale, il faut bien naturellement en déduire que cette atmosphère existe.
Journ. offic. 17 déc. 1874, p. 8366, 3<sup>e</sup> col. (coronal, ale)A 7000 mètres, son oreille droite était devenue noire, il [Crocé-Spinelli] asphyxiait ; l'oxygène fit disparaître ces symptômes redoutables.
Journ. offic. 22 avril 1875, p. 2918, 1re col. (asphyxier)On a amené ces eaux [d'égout] sur des prairies, sur des cultures de china-grass, et les effets ont été remarquables.
Journ. offic. 20 nov. 1874, p. 7718, 3<sup>e</sup> col. (china-grass)M. Daubrée présente des échantillons d'un nouveau minéral formé de l'association des quatre corps suivants : le chlore, l'iode, l'argent et le mercure ; le chloroiodure d'argent et de mercure n'avait pas encore été rencontré.
Journ. offic. 18 août 1876, p. 6464, 2<sup>e</sup> col. (chloroiodure)Un véritable laboratoire astronomique, permettant de photographier constamment le soleil et de l'examiner aussi spectroscopiquement.
Journ. offic. 8 avril 1872, p. 2435, 3<sup>e</sup> col. (spectroscopiquement)Les treilles, moins ravalées par la taille que la vigne en souche.
Journ. offic. 30 déc. 1873, p. 8259, 1re col. (ravalé, ée)M. Bernard communique, au nom de M. Glénard, de Lyon, une expérience extrêmement intéressante sur la coagulabilité du sang.
Journ. offic. 18 nov. 1875, p. 9440, 2<sup>e</sup> col. (coagulabilité)Des plantes sensibles comme les mimosas ou les droséras… la plante connue sous le nom de droséra, n'est sensible qu'au toucher.
Journ. offic. 30 oct. 1873, p. 6626, 1re col. (droséra)Le lendemain [26 déc. 1870]… partait le dernier coup de mine, et s'écroulait le dernier obstacle [dans le tunnel], les deux tronçons étaient réunis : les Alpes étaient trouées.
Journ. offic. p. 3830, 3<sup>e</sup> col. (troué, ée)Tous les kilomètres, le train [de la poste atmosphérique] déclenchera lui-même un butoir qui ouvrira une communication entre la conduite et un réservoir sous pression.
Journ. offic. 3 juin 1875, p. 3960, 2<sup>e</sup> col. (déclencher)Les micro-organismes nombreux et prolifères.
Journ. offic. 11 févr. 1876, p. 1136, 1re col. (micro-organisme)