François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
Des rainettes, ces petites grenouilles vertes, bien connues des paysans, qui, chassant l'air des poumons dans leur poche gulaire, produisent un concert si bizarre.
Journ. offic. 4 juin 1873, p. 3553, 1re col. (gulaire)Les opérations de galvanoplastie, l'industrie nouvelle du nickelisage.
Journ. offic. 24 juill. 1871, p. 2206 (nickelisage)Si la proportion d'iridium est convenablement fixée, la malléabilité, la ductilité de l'alliage [d'iridium et de platine] deviennent telles, que l'on peut par le laminoir, le marteau, les étampes, transformer les plus gros lingots en autant de verges ou règles de forme quelconque qu'on le désire.
Journ. offic. 20 oct. 1872, p. 6585, 1re col. (étampe)Le lendemain [26 déc. 1870]… partait le dernier coup de mine, et s'écroulait le dernier obstacle [dans le tunnel], les deux tronçons étaient réunis : les Alpes étaient trouées.
Journ. offic. p. 3830, 3<sup>e</sup> col. (troué, ée)Un mémoire imprimé intitulé : Essai d'urologie clinique… l'urologie peut être utilisée en clinique et doit être placée sur le même rang que les autres moyens d'exploration.
Journ. offic. 29 mars 1877, p. 2552, 2<sup>e</sup> col. (urologie)Le mot de bitume s'applique de préférence au principe mère des matières bitumineuses.
Journ. offic. 11 mars 1872, p. 1735, 3<sup>e</sup> col. (mère [1])M. Planchon, professeur à Montpellier, après avoir décrit ce nouvel ennemi de la vigne [1865], lui donna le nom de rhizaphis vastatrix et plus tard celui de phylloxera vastatrix qu'il a conservé ; on a rapproché ce puceron d'un autre insecte découvert en Amérique en 1854, le pemphigus vitifolia, que l'on ne rencontrait que sur les feuilles de la vigne ; d'où le nom impropre de phylloxéra qui signifie parasite des feuilles, alors qu'en réalité on ne le trouve guère que sur les racines…
Journ. offic. 25 juin 1873, p. 4186, 3<sup>e</sup> col. (phylloxéra)Elle [l'essence dite alan gilan] revient à 2500 fr. le kilogramme… les fleurs de certaines espèces d'anonacées répandent une odeur très agréable ; l'anona odoratissima, en particulier, est dans ce cas… on en retire aussi une essence, l'essence d'alan gilan, utilisée en quantités homéopathiques par les parfumeurs, en raison de son prix élevé.
Journ. offic. 25 juin 1873, p. 4186, 2<sup>e</sup> col. (alan gilan)Il fallut bien alors passer par le dessertissage ; les pierres démontées furent envoyées à Paris.
Journ. offic. 3 mai 1870, p. 763, 2<sup>e</sup> col. (dessertissage)M. Peters, commandant l'expédition de la Nouvelle-Zélande, fait savoir qu'il a obtenu d'excellents résultats avec le revolver photographique imaginé par M. Janssen.
Journ. offic. 11 mars 1875, p. 1856, 2<sup>e</sup> col. (revolver)on a ainsi tout un réseau d'allumoirs uniquement alimenté par un ou deux éléments de M. Leclanché.
Journ. offic. 30 juin 1876, p. 4688, 2<sup>e</sup> col. (allumoir)Tout le monde connaît, de nom au moins, les cucuyos ou pyrophores, qui sont si répandus dans l'Amérique tropicale… les Mexicaines s'en servent comme d'un objet d'ornement ; elles les nourrissent soigneusement et les placent le soir dans leur chevelure.
Journ. offic. 4 août 1872, p. 5371, 2<sup>e</sup> col. (pyrophore)La dulcite avait été extraite de la manne de Madagascar par Laurent.
Journ. offic. 24 juill. 1871, p. 2205, 3<sup>e</sup> col. (dulcite)M. Duchemin a eu l'excellente pensée de protéger les cercles de ses boussoles circulaires à l'aide d'un dépôt nickelisé… la Creuse… a fait une partie du tour du monde avec une rose nickelisée.
Journ. offic. 18 nov. 1875, p. 9440, 1re col. (nickelisé, ée)M. Girard est persuadé que la marche moins rapide de l'invasion phylloxérienne, à mesure que les vignobles sont plus septentrionaux, tient uniquement à une hivernation de plus longue durée…
Journ. offic. 29 oct. 1874, p. 7263 (phylloxérien, ienne)Irruption de grisou par quelque fissure.
Journ. des Débats, 9 mars 1876, 2<sup>e</sup> page, 4<sup>e</sup> col. (soufflard)Nom donné, dans les landes de Gascogne, à une couche imperméable, située à la profondeur moyenne d'un mètre environ, d'épaisseur variable, d'un brun rouge foncé, assez compacte, qui ne cède qu'à la pioche ; c'est un sable cimenté par une sorte de matière organique légèrement ferrugineuse.
Journ. offic. 27 juill. 1870, p. 1337, 5<sup>e</sup> et 6<sup>e</sup> col. (alios)A 7000 mètres, son oreille droite était devenue noire, il [Crocé-Spinelli] asphyxiait ; l'oxygène fit disparaître ces symptômes redoutables.
Journ. offic. 22 avril 1875, p. 2918, 1re col. (asphyxier)Pour connaître la force alcoolique d'une eau-de-vie, on se sert d'aréomètres, dont les plus usités dans la ville de Cognac… sont le tessa, l'hydromètre anglais… il [M. Bernard] insiste sur le peu de précision qu'offre le tessa, instrument absolument inconnu ailleurs que dans les Charentes.
Journ. offic. 11 nov. 1875, p. 9208, 2<sup>e</sup> col. (tessa)Peut-être trouverait-on un remède efficace au mal en maintenant les galeries sous pression normale, même un peu forte, par des injections d'air comprimé et des écluses aerhydriques comme dans certains travaux de tunnels ou de galeries formées sous l'eau.
Journ. offic. 13 fév. 1876, p. 1199, 3<sup>e</sup> col. (aerhydrique)