François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
Sur le calcaire nummulitique, calciné et désagrégé, formant le sol de la grotte, gisait un squelette humain associé à des silex taillés.
Journ. offic. 7 mai 1874, p. 3143, 3<sup>e</sup> col. (nummulitique)Imaginez un grand abat-jour renversé de 2m, 50 d'ouverture en haut et 1 mètre en bas ; à l'intérieur, il est en plaqué d'argent pour mieux réflecter les rayons solaires.
Journ. offic. 17 oct. 1875, p. 8719, 3<sup>e</sup> col. (réflecter)L'absinthe finit par conduire à l'épilepsie ; mais l'absinthisme est différent de l'alcoolisme.
Journ. offic. 1er juin 1876, p. 3751, 1re col. (absinthisme)L'aération s'obtiendra, comme au Saint-Gothard, par l'injection d'air comprimé jusqu'au front de taille… [en cas d'irruption des eaux] on séparera ce front de taille du reste de la galerie par une sorte de carapace à cloisons hermétiques.
Journ. offic. 17 août 1875, p. 6891 (front)Tous les ans, il fallait changer les garde-barrières, dont l'impaludisme ruinait la santé.
ib. 23 juill. 1874, p. 5161, 2<sup>e</sup> col. (impaludisme)D'après M. le professeur Panceri, qui a beaucoup étudié… les noctiluques, les pyrosomes, les pholades, etc. la phosphorescence serait due à une matière morte rejetée par l'animal.
Journ. offic 4 août 1872, p. 5371, 1re col. (pyrosome)L'autre partie [des cordes du violon], beaucoup plus courte ou partie accessoire, va du chevalet au cordier, qui lui sert de point d'attache.
Journ. offic. 18 févr. 1875, p. 1296, 3<sup>e</sup> col. (cordier)Les inventeurs ont été conduits à phosphorer l'alliage de cuivre et d'étain.
Journ. offic. 8 sept. 1871, p. 3307, 1re col. (phosphorer)L'île de la Réunion se divise orographiquement et géographiquement en deux parties très distinctes.
Journ. offic. 20 janv. 1876, p. 591, 3<sup>e</sup> col. (orographiquement)La consommation de nickel s'est beaucoup accrue, depuis qu'on est parvenu à nickeliser facilement les objets, les outils et les instruments de précision.
Journ. des Débats, 11 août 1876, feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 3<sup>e</sup> col. (nickeliser)Le précipité étant trop faible pour être pesé, sa teneur en cuivre a été déterminée à l'aide d'une méthode colorimétrique.
Journal offic. 28 janv. 1875, p. 752, 2<sup>e</sup> col. (colorimétrique)Expériences exécutées à Brest pour fractionner les bouches à feu en fonte hors de service à l'aide de la dynamite.
Journ. offic. 27 nov. 1874, p. 7831, 3<sup>e</sup> col. (fractionner)Les anthropolithes de la Guadeloupe ont joui d'une certaine célébrité au commencement de ce siècle… le Muséum d'histoire naturelle de Paris possède deux anthropolithes de la Guadeloupe.
14 févr. 1873, p. 1089, 2<sup>e</sup> et 3<sup>e</sup> col. (anthropolithe)Autrefois on n'exploitait pas les mines grisouteuses ; on ne savait pas les aérer suffisamment.
Journ. des Débats, 9 mars 1876, 1re page, 3<sup>e</sup> col. (grisouteux, euse)M. Daubrée présente des échantillons d'un nouveau minéral formé de l'association des quatre corps suivants : le chlore, l'iode, l'argent et le mercure ; le chloroiodure d'argent et de mercure n'avait pas encore été rencontré.
Journ. offic. 18 août 1876, p. 6464, 2<sup>e</sup> col. (chloroiodure)Il est très probable que la discordance signalée entre MM. Héraud et Bonnifet tient à ce que M. Héraud, missionnaire de l'Académie, avait entre les mains une lunette excellente…
28 janv. 1875, p. 751, 3<sup>e</sup> col. (missionnaire)Pour augmenter l'efficacité et diminuer les frais du sulfocarbonatage des vignes.
Journ. offic. 3 avril 1876, p. 2510, 3<sup>e</sup> col. (sulfocarbonatage)La cinquième partie [du Traité de mécanique générale de M. Resal] a pour titre : Des moteurs animés ; de l'eau et du vent comme moteurs ; des machines hydrauliques et élévatoires.
Journ. offic. 8 juin 1876, p. 3968, 2<sup>e</sup> col. (élévatoire)L'écoulement de la gomme constitue une véritable maladie, que le savant botaniste [M. Ed. Prillieux] désigne sous le nom de gommose ; la gommose consiste en une transformation en gomme, substance inutile à l'économie, des éléments nécessaires à la formation des nouveaux tissus.
Journ. offic. 14 mai 1874, p. 3257, 2<sup>e</sup> et 3<sup>e</sup> col. (gommose)Les expériences de M. Bert sur le caméléon prouvent que les nerfs colorateurs ont beaucoup d'analogie avec les nerfs vaso-moteurs.
Journ. offic. 25 nov. 1875, p. 9664, 2<sup>e</sup> col. (colorateur, trice)