François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré

DE PARVILLE (1838-1909)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.

Journaliste.

184 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.

  1. Le lendemain [26 déc. 1870]… partait le dernier coup de mine, et s'écroulait le dernier obstacle [dans le tunnel], les deux tronçons étaient réunis : les Alpes étaient trouées.
    Journ. offic. p. 3830, 3<sup>e</sup> col. (troué, ée)
  2. Voici l'explication classique adoptée pour rendre compte du roussissement des bourgeons à cette époque de l'année [lune rousse] ; la lune, dit-on, n'a rien à faire dans le phénomène, elle est simplement témoin et non acteur dans le roussissement des végétaux.
    Journ. offic. 10 avril 1866, p. 2591, 2<sup>e</sup> col. (roussissement)
  3. Produit de l'optographie,
    Journ. des Débats, 8 mars 1877, Feuilleton, 6<sup>e</sup> col. (optogramme)
  4. Berzelius a écrit qu'il avait observé que les fers météorites ne s'oxydaient pas.
    Journ. offic. 15 mars 1877, p. 1968, 2<sup>e</sup> col. (météoritique)
  5. Il est très probable que la discordance signalée entre MM. Héraud et Bonnifet tient à ce que M. Héraud, missionnaire de l'Académie, avait entre les mains une lunette excellente…
    28 janv. 1875, p. 751, 3<sup>e</sup> col. (missionnaire)
  6. Des rainettes, ces petites grenouilles vertes, bien connues des paysans, qui, chassant l'air des poumons dans leur poche gulaire, produisent un concert si bizarre.
    Journ. offic. 4 juin 1873, p. 3553, 1re col. (gulaire)
  7. Il [E. Curie] se sert de l'acide picrique en solution aqueuse, de pièces de pansement imbibées de cette solution ou mieux encore de ouate picriquée.
    Journ. offic. 10 nov. 1876, p. 8119, 2<sup>e</sup> col. (picriqué, ée)
  8. Ce travail… est favorisé par la sécrétion d'une matière gélatineuse entre les deux carapaces [de l'écrevisse], qui facilite leur dégainement.
    Journ. offic. 24 juill. 1871, p. 2206 (dégainement)
  9. Les micro-organismes nombreux et prolifères.
    Journ. offic. 11 févr. 1876, p. 1136, 1re col. (micro-organisme)
  10. Les alcoolisés par la chartreuse sont des alcoolisés ordinaires, dont le mal doit être mis avant tout sur le compte de l'alcool.
    Journ. offic. 1er juin 1876, p. 3751, 1re col. (alcoolisé, ée)
  11. Les huiles de graissage [dans la décompression de l'air comprimé] se solidifient, et les organes grippent.
    Journ. des Débats, 30 mars 1876, feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 1re col. (gripper)
  12. Il nous paraît plus probable que les bruits entendus étaient produits par ce phénomène bien connu des voyageurs sous le nom de chant des ballons, bruit de roche.
    Journ. offic. 29 nov. 1871, p. 4695, 2<sup>e</sup> col. (ballon [3])
  13. M. Planchon, professeur à Montpellier, après avoir décrit ce nouvel ennemi de la vigne [1865], lui donna le nom de rhizaphis vastatrix et plus tard celui de phylloxera vastatrix qu'il a conservé ; on a rapproché ce puceron d'un autre insecte découvert en Amérique en 1854, le pemphigus vitifolia, que l'on ne rencontrait que sur les feuilles de la vigne ; d'où le nom impropre de phylloxéra qui signifie parasite des feuilles, alors qu'en réalité on ne le trouve guère que sur les racines…
    Journ. offic. 25 juin 1873, p. 4186, 3<sup>e</sup> col. (phylloxéra)
  14. L'auteur [M. Gruey] conclut que, conformément à ce que l'on présumait d'après les observations de 1873, 1874, 1875, les étoiles [filantes] de novembre ne rencontrent plus la terre ; le passage des Léonides a été absolument nul cette année.
    Journ. offic. 30 nov. 1876, p. 8840, 1re col. (léonides)
  15. on a ainsi tout un réseau d'allumoirs uniquement alimenté par un ou deux éléments de M. Leclanché.
    Journ. offic. 30 juin 1876, p. 4688, 2<sup>e</sup> col. (allumoir)
  16. Le précipité étant trop faible pour être pesé, sa teneur en cuivre a été déterminée à l'aide d'une méthode colorimétrique.
    Journal offic. 28 janv. 1875, p. 752, 2<sup>e</sup> col. (colorimétrique)
  17. Les fleurs de certaines espèces d'anonacées répandent une odeur très agréable ; l'anona odoratissima, en particulier, est dans ce cas.
    Journ. offic. 25 juin 1873, p. 4186, 2<sup>e</sup> col. (anonacées)
  18. Il se passe ici, dit M. Dumas, ce que l'on remarque dans le phénomène de la regélation, si bien signalé par Faraday : les petits glaçons se fondent et constituent un glaçon unique.
    Journ. offic. 19 avril 1870, p. 699, 1re col. (regélation)
  19. Les anthropolithes de la Guadeloupe ont joui d'une certaine célébrité au commencement de ce siècle… le Muséum d'histoire naturelle de Paris possède deux anthropolithes de la Guadeloupe.
    14 févr. 1873, p. 1089, 2<sup>e</sup> et 3<sup>e</sup> col. (anthropolithe)
  20. M. Francisque Michel adresse une note sur un appareil destiné à signaler automatiquement la présence autour des navires de blocs de glace flottants ou icebergs… le jour, à moins d'un brouillard intense, les icebergs, frappés par les rayons du soleil, se voient à de grandes distances.
    Journ. offic. 16 avr. 1874, p. 2769, 1re col. (iceberg)