François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE, auteur cité dans le Littré
DE PARVILLE (1838-1909)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE PARVILLE a été choisie.Journaliste.
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de François Henri Peudefer, dit Henri DE PARVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 184 citations dans le Littré.
L'eau qui aura servi dans la turbine [servant à épuiser les caves inondées] sera éconduite, bien entendu, par l'égout.
Journ. offic. 11 mai 1876, p. 3208, 1re col. (éconduire)Sur cet appareil on installa deux assises de bonnes briques à joints entrecroisés et bien noyés de ciment, le tout scellé à la façon rocheuse.
Journ. offic. 1er juill. 1877, p. 4979, 2<sup>e</sup> col. (rocheux, euse)Les treilles, moins ravalées par la taille que la vigne en souche.
Journ. offic. 30 déc. 1873, p. 8259, 1re col. (ravalé, ée)Carbure d'hydrogène que l'on retire en abondance du goudron de houille.
Journ. offic. 26 avr. 1872, p. 2786, 1re col. (toluène)L'approvisionnement de charbon assure [à un vaisseau de guerre] une distance franchissable de 3400 milles.
Journ. des Débats, 16 nov. 1876, Feuilleton, 2<sup>e</sup> page, 1re col. (franchissable)M. Frédéric Kastner, auquel on doit ce curieux instrument appelé le pyrophone, dans lequel les sons musicaux sont produits par des flammes chantantes…
Journ. offic. 11 nov. 1875, p. 9207, 2<sup>e</sup> col. (pyrophone)Expériences exécutées à Brest pour fractionner les bouches à feu en fonte hors de service à l'aide de la dynamite.
Journ. offic. 27 nov. 1874, p. 7831, 3<sup>e</sup> col. (fractionner)Berzelius a écrit qu'il avait observé que les fers météorites ne s'oxydaient pas.
Journ. offic. 15 mars 1877, p. 1968, 2<sup>e</sup> col. (météoritique)Lorsqu'une vigne phylloxérée est grassement fumée, on la voit quelques mois plus tard reprendre de la force.
Journ. offic. 4 déc. 1873, p. 7449, 3<sup>e</sup> col. (phylloxéré, ée)Il se passe ici, dit M. Dumas, ce que l'on remarque dans le phénomène de la regélation, si bien signalé par Faraday : les petits glaçons se fondent et constituent un glaçon unique.
Journ. offic. 19 avril 1870, p. 699, 1re col. (regélation)Ces couches [dans les sondages pour le chemin sous-marin entre la France et l'Angleterre] se sont présentées sous forme de sables… accompagnés d'argiles réfractaires,… grès rouge, calcaire carbonifère, phtanite, sans aucune roche de l'étage houiller.
Journ. offic. 8 juin 1877, p. 4259, 2<sup>e</sup> col. (phtanite)on a ainsi tout un réseau d'allumoirs uniquement alimenté par un ou deux éléments de M. Leclanché.
Journ. offic. 30 juin 1876, p. 4688, 2<sup>e</sup> col. (allumoir)M. Bertrand communique, au nom de M. Marcel Depretz, un travail sur la rapidité de l'aimantation et de la désaimantation.
Journ. offic. 3 juin 1875, p. 3959, 3<sup>e</sup> col. (désaimantation)L'effloraison produirait une action inverse ; partout où l'on s'est opposé au développement des fleurs, la proportion du sucre de canne [dans l'agavé] s'est toujours accrue, tandis que le sucre interverti n'a presque pas varié.
Journ. offic. 23 nov. 1876, p. 8608, 3<sup>e</sup> col. (effloraison)La production de la chair nageante [les poissons] a son importance et touche à l'un des problèmes les plus gros de notre temps : la diminution de la cherté des vivres.
Journ. offic. 31 mars 1876, p. 2302, 2<sup>e</sup> col. (nageant, ante)Les micro-organismes nombreux et prolifères.
Journ. offic. 11 févr. 1876, p. 1136, 1re col. (micro-organisme)Le lendemain [26 déc. 1870]… partait le dernier coup de mine, et s'écroulait le dernier obstacle [dans le tunnel], les deux tronçons étaient réunis : les Alpes étaient trouées.
Journ. offic. p. 3830, 3<sup>e</sup> col. (troué, ée)A 7000 mètres, son oreille droite était devenue noire, il [Crocé-Spinelli] asphyxiait ; l'oxygène fit disparaître ces symptômes redoutables.
Journ. offic. 22 avril 1875, p. 2918, 1re col. (asphyxier)Les expériences de M. Bert sur le caméléon prouvent que les nerfs colorateurs ont beaucoup d'analogie avec les nerfs vaso-moteurs.
Journ. offic. 25 nov. 1875, p. 9664, 2<sup>e</sup> col. (colorateur, trice)La cinquième partie [du Traité de mécanique générale de M. Resal] a pour titre : Des moteurs animés ; de l'eau et du vent comme moteurs ; des machines hydrauliques et élévatoires.
Journ. offic. 8 juin 1876, p. 3968, 2<sup>e</sup> col. (élévatoire)