Charles de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré

Ch. SÉVIGNÉ (1648-1713)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Ch. SÉVIGNÉ a été choisie.

fils de madame de Sévigné

37 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Charles de SÉVIGNÉ

Voici un tirage aléatoire parmi ses 37 citations dans le Littré.

  1. Si ma mère s'était abandonnée au régime de ce bonhomme… elle ne serait point tombée dans cette maladie, qui ne vient que d'une réplétion épouvantable d'humeurs.
    dans SÉV. 3 févr. 1676 (réplétion)
  2. Mme de Chaulnes fut saisie du refus de ma mère ; elle se tut, elle rougit, elle s'appuya.
    dans SÉV. 25 juill. 1689 (saisir)
  3. Cela lui était libre, et je ne songeais pas à l'empêcher.
    dans SÉV. t. X, p. 433, éd. RÉGNIER (libre)
  4. Si vous voulez avoir quelque repos avec moi, ne lisez point Virgile ; je ne vous pardonnerais jamais les injures que vous lui pourriez dire ; cependant si vous pouviez vous faire expliquer le sixième livre et le neuf où est l'aventure de Nisus et d'Euryale…
    à Mme de Grignan, dans SÉV. 23 juill. 1677 (neuf [1])
  5. Que dites-vous de la peinture que ma mère vous fait des femmes qu'il faudrait étouffer entre deux matelas ?
    dans SÉV. 28 août 1680 (matelas)
  6. Il y a un mois qu'elle [Mlle du Plessis] joue la fièvre quarte, pour faire justement tomber qu'elle la quitte le jour que ma mère va dîner au Plessis.
    dans SÉV. 5 janv. 1676 (tomber)
  7. Nous espérons de vous voir bientôt ; ne nous trompez pas, et ne faites point l'impertinente ; on dit que vous l'êtes beaucoup sur ce chapitre.
    dans SÉV. 28 oct. 1676 (impertinent, ente)
  8. M. Gui fit tant par ses tournées…
    à Mme de Grignan, 27 août 1690, dans Lett. inédites, éd. Capmas, t. II, p. 464 (tournée)
  9. Comme elle [Pauline, la nièce de M. de Sévigné] a, ainsi que son oncle, la grossièreté de ne pouvoir mordre aux subtilités de la métaphysique.
    dans SÉV. 15 janv. 1690 (mordre)
  10. Ma fortune… s'est-elle tournée de manière à bien encourager à me faire des biens de surérogation ?
    dans SÉV. t. x, p. 409, édit. RÉGNIER (surérogation)
  11. Quand j'y pourrais donner atteinte [à ce que Mme de Sévigné avait fait pour Mme de Grignan], ce qui me fait horreur à penser, et que j'en aurais des moyens aussi présents qu'ils seraient difficiles à trouver.
    (dans SÉV. t. X, p. 410, édit. RÉGNIER) (présent, ente [1])
  12. Voulez-vous donc rompre tout commerce avec votre fils, après avoir tant fait pour lui ? voulez-vous vous ôter à lui ?
    à Mme de Sév. t. VII, p. 258, éd. RÉGNIER. (ôter)
  13. Par là je répondrai à beaucoup de choses du dernier écrit que je ne crois pas devoir traiter en particulier : ce serait voler le papillon.
    Sur l'art poétiq. d'Hor. dans SÉVIGNÉ, t. XI, p. 328, édit. RÉGNIER. (papillon)
  14. Les semences de piété et de religion que vous et moi avons reçues de notre éducation.
    à Mme de Grignan, dans SÉV. t. X, p. 418, éd. RÉGNIER (semence)
  15. Si Dieu rompait [par la mort] l'union qu'il a mise entre ma femme et moi.
    dans SÉV. t. x, p. 413, éd. RÉGNIER (union)
  16. Il s'ensuit de là… que l'on a voulu très méchamment m'imposer une extravagance pour me tourner en ridicule.
    dans SÉV. 31 août 1697 (imposer)
  17. Adieu, ma belle petite sœur… aimez-moi si cela ne vous tourne pas à importunité.
    dans SÉV. 19 fév. 1690 (importunité)
  18. S'il arrivait des années malheureuses, je me fais bien fort que ma mère entrerait en raison pour prendre du temps et des commodités qui vous faciliteraient le payement de votre ferme.
    à d'Herigoyen, dans SÉV. t. VIII, p. 70, édit. RÉGNIER (raison)
  19. Elle [Mme de Sévigné malade à qui on avait pincé le nez trop fort pour la moucher] n'a pu s'empêcher de renasquer un peu contre le zèle indiscret, qui avait ce transport.
    dans SÉV. 21 janvier 1676 (renâcler)
  20. Elle [une petite fille] nous vient d'assurer que le lendemain de la veille de Pâques était un mardi, puis elle s'est reprise et a dit : c'est un lundi.
    dans SÉV. 15 déc. 1675 (veille)