Charles de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré

Ch. SÉVIGNÉ (1648-1713)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Ch. SÉVIGNÉ a été choisie.

fils de madame de Sévigné

37 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Charles de SÉVIGNÉ

Voici un tirage aléatoire parmi ses 37 citations dans le Littré.

  1. Adieu, mon adorable petite sœur que j'aime avec toute la tendresse dont je suis capable… je ne sais pourquoi vous me quittez du réciproque ; il me semble que vous devriez être contente de ce que je sens pour vous.
    à Mme de Grignan, dans SÉV. 11 nov. 1676 (réciproque)
  2. Il ne sera pas dit que l'on cachète une lettre à mon nez, sans que je vous donne quelque légère signifiance.
    dans SÉV. 1er sept. 1680 (nez)
  3. Si ma mère s'était abandonnée au régime de ce bonhomme… elle ne serait point tombée dans cette maladie, qui ne vient que d'une réplétion épouvantable d'humeurs.
    dans SÉV. 3 févr. 1676 (réplétion)
  4. Quelque liaison qu'il y ait entre vous et M. de Morveaux, vous en avez encore davantage avec la justice et la raison.
    à Lamoignon, dans SÉV. t. X, p. 292, édit. RÉGNIER (liaison)
  5. Cela lui était libre, et je ne songeais pas à l'empêcher.
    dans SÉV. t. X, p. 433, éd. RÉGNIER (libre)
  6. Ce sont là les mêmes paroles dont vous vous servez dans votre lettre.
    t. X, p. 409, éd. RÉGNIER. (même)
  7. S'il y a des réfactions ou réparations auxquelles la Jarie est obligé par son bail, il y en a aussi qui doivent être faites par ma mère.
    t. VII, p. 527, dans SÉV. éd. RÉGNIER (réfaction)
  8. Mme de Chaulnes fut saisie du refus de ma mère ; elle se tut, elle rougit, elle s'appuya.
    dans SÉV. 25 juill. 1689 (saisir)
  9. On m'a assuré, mon révérend père, que, dans les services que vous faites pour ceux de notre maison, on ne m'y donnait pas les prières nominales, ce qui m'est dû incontestablement par la fondation.
    dans SÉV. t. VII, p. 383, éd. RÉGNIER (nominal, ale)
  10. Comme elle [Pauline, la nièce de M. de Sévigné] a, ainsi que son oncle, la grossièreté de ne pouvoir mordre aux subtilités de la métaphysique.
    dans SÉV. 15 janv. 1690 (mordre)
  11. Ce qui a causé la sécheresse où j'ai été… c'est que j'ai donné beaucoup d'argent pour les rachats des terres de Basse-Bretagne.
    dans SÉV. t. X, p. 408, édit. RÉGNIER (sécheresse)
  12. M. Gui fit tant par ses tournées…
    à Mme de Grignan, 27 août 1690, dans Lett. inédites, éd. Capmas, t. II, p. 464 (tournée)
  13. Si vous voulez avoir quelque repos avec moi, ne lisez point Virgile ; je ne vous pardonnerais jamais les injures que vous lui pourriez dire ; cependant si vous pouviez vous faire expliquer le sixième livre et le neuf où est l'aventure de Nisus et d'Euryale…
    à Mme de Grignan, dans SÉV. 23 juill. 1677 (neuf [1])
  14. S'il arrivait des années malheureuses, je me fais bien fort que ma mère entrerait en raison pour prendre du temps et des commodités qui vous faciliteraient le payement de votre ferme.
    à d'Herigoyen, dans SÉV. t. VIII, p. 70, édit. RÉGNIER (raison)
  15. Ma mère se porte parfaitement bien, ayez-en l'esprit en repos.
    dans SÉV. 557 (repos)
  16. On vous a mandé comme M. de Coetquen était avec M. de Chaulnes : il était avec lui ouvertement aux épées et aux couteaux.
    Lett. à Mme de Grign. 17 janv. 1676 (épée)
  17. Les semences de piété et de religion que vous et moi avons reçues de notre éducation.
    à Mme de Grignan, dans SÉV. t. X, p. 418, éd. RÉGNIER (semence)
  18. Je tournais tout autour de cette pensée, et ce que je disais ne me contentait point.
    dans SÉV. 15 janv. 1690 (tourner)
  19. Vous savez que Mme de Sévigné m'a apporté en mariage deux cent mille francs ; il serait difficile, ma chère sœur, que, sans être entièrement ruinée, vous rendissiez en espèces une si grosse somme ; mais la coutume de Bretagne y a pourvu ; elle ordonne que l'on fasse une rassiette en terres.
    à Mme de Grignan, dans SÉV. t. X, p. 414, éd. Régnier (rassiette)
  20. Elle [une petite fille] nous vient d'assurer que le lendemain de la veille de Pâques était un mardi, puis elle s'est reprise et a dit : c'est un lundi.
    dans SÉV. 15 déc. 1675 (veille)