Louis Jacques THÉNARD, auteur cité dans le Littré
THENARD (1777-1857)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme THENARD a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Traité de chimie élémentaire, théorique et pratique | 1813 | 118 citations |
Quelques citations de Louis Jacques THÉNARD
Voici un tirage aléatoire parmi ses 134 citations dans le Littré.
La manière d'extraire le miel est fort simple : après avoir enlevé avec un couteau les petites lames de cire qui ferment les alvéoles, on expose les gâteaux sur des claies à une chaleur douce : bientôt la partie la plus pure du miel s'écoule goutte à goutte, on l'appelle miel vierge.
Traité de chimie, t. III, p. 178, dans POUGENS (miel)La zircone est sans usages ; elle fut découverte en 1789 par M. Klaproth.
Traité de chim. t. II, p. 43, dans POUGENS (zircone)L'un des effets de la salive est de ramollir les aliments, de les dissoudre quelquefois, et de les rendre, par cela même, d'une plus facile digestion.
Traité de chimie, t. III, p. 565, dans POUGENS (salive)Un homme consume par jour, d'après Lavoisier et Séguier et d'après M. Davy, environ 750 litres d'oxygène, ou, ce qui est la même chose, donne lieu à la formation de 750 litres d'acide carbonique, qui, à la température et à la pression ordinaire, contiennent 395 grammes de charbon.
ib. t. III, p. 595 (oxygène)On rencontre du naphte en Calabre, en Sicile, en Amérique, etc. et on en a découvert en 1802, près du village d'Amiano, dans le duché de Parme, une source si abondante, qu'elle fournit à l'éclairage de la ville de Gènes.
Traité de chim. t. III, p. 445, dans POUGENS (naphte)Comme le fer est un des métaux les plus oxydables de la troisième section.
Traité de chimie, t. II, p. 7, dans POUGENS (oxydable)On attribue généralement à la perte d'une portion d'eau le retrait qu'éprouve l'argile à une haute température.
Traité de chim. t. I, p. 46, dans POUGENS (retrait, aite [5])Tout l'oxygène nécessaire pour suroxyder la baryte.
Instit. Mém. acad. scienc. t. III, p. 444 (suroxyder)Il est évident qu'il n'y a que les gaz développés, pour ainsi dire, instantanément [dans l'inflammation de la poudre] qui contribuent à la projection.
Traité de chim. t. II, p. 498, dans POUGENS (projection)Nous avons vu que tous les corps placés dans l'air émettaient, absorbaient et réfléchissaient sans cesse du calorique rayonnant.
Traité de chim. t. I, p. 31, dans POUGENS (rayonnant, ante)Les savons que forme l'union des graisses et des huiles avec la potasse restent mous, ou plus ou moins pâteux.
Traité de chim. t. III, p. 216, dans POUGENS (pâteux, euse)Les mortiers de porcelaine, de verre et d'agate ne pouvant soutenir, à cause de leur fragilité, les chocs réitérés du pilon, on doit, toutes les fois qu'on s'en sert, faire agir circulairement le pilon, c'est-à-dire triturer.
Traité de chim. t. IV, p. 303, dans POUGENS (triturer)Esprit pyroacétique.
Traité de chim. t. III, p. 67, dans POUGENS (pyroacétique)La quantité d'eau aspirée et transpirée par un tournesol pendant vingt-quatre heures.
Traité de chim. t. III, p. 21, dans POUGENS (transpiré, ée)Lémeri, à qui l'on doit d'avoir découvert la réaction du fer, du soufre et de l'eau, a prétendu que ce mélange jouait un grand rôle dans les volcans ; il l'a même nommé volcan artificiel.
Traité de chim. t. I, p. 507, dans POUGENS (volcan)Dans une atmosphère trop raréfiée, il ne se produit plus assez de chaleur pour entretenir la combustion.
Traité de chimie, t. I, p. 141 (raréfié, ée)Les principales espèces de poteries sont les creusets, les faïences grossières, les faïences fines nommées terre blanche, terre de pipe, terre anglaise, le grès, les porcelaines.
Traité de chim. t. II, p. 218, dans POUGENS (poterie)La découverte du phosphate de chaux dans les os date de 1771 ; elle est due à Scheele et à Gahn.
Traité de chimie, t. III, p. 692, dans POUGENS (os)Si on expose les pains [de cuivre], devenus poreux et bien moins fusibles qu'ils n'étaient, à l'action d'une plus haute température pour les faire ressuer, on en sépare une nouvelle quantité de plomb.
Traité de chim. t. II, p. 704, dans POUGENS (ressuer)Par le refroidissement la liqueur s'est prise en sirop épais.
Instit. Mém. scienc. phys. et math. Sav. étrang. t. II, p. 120 (prendre)