Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Je ne trouve de soutien et d'appui contre le triste avenir que je regarde, que la volonté de Dieu.
28 mars 1689 (soutien)Mademoiselle fit une donation à M. de Lauzun.
10 (donation)On croit que Maestricht est investi ; rien n'est encore assuré.
16 mai 1672 (investir)Vos lettres me plaisent au dernier point ; pourtant, ma petite, ne vous incommodez point pour m'écrire.
21 juin 1671 (petit, ite)Voudraient-ils faire souffrir… un plus grand supplice que ne sont ceux des roués ?
à Guitaut, 2 déc. 1671 (roué, ée)Cela [un dire de la princesse de Tarente, qu'elle avait le cœur comme de dire] tombe sur le général ; mais le monde en a fait des applications particulières.
11 déc. 1675 (tomber)Mon petit ami de la poste ne se trouva pas hier à l'arrivée du courrier, de sorte que mon laquais ne rapporta point mes lettres : elles sont par la ville.
141 (par [1])Ayez une vue du Canada comme d'un bien qui n'est plus à portée [M. de Grignan avait ambitionné d'être gouverneur du Canada].
6 avr. 1672 (portée)Chemins endiablés.
22 sept. 1687 (endiablé, ée)Mme de Sully soutiendra l'honneur de la danse.
459 (honneur)Il croyait donner la bataille.
211 (bataille)Les bains en remettent quelques-uns [des malades], et laissent les autres.
25 sept. 1687 (remettre)On a joué : pour moi, je ne saurais me fatiguer à mêler des cartes.
277 (mêler)Au milieu de tant d'honnêtetés tout est de carême-prenant.
157 (carême-prenant)Pour moi, je changeai de chemise et d'habit ; et, sans vanité, je me fis d'une beauté qui effaça entièrement mes belles-filles ; l'honneur de la grande maternité fut soutenu avec dignité.
6 août 1680 (maternité)Quand il [le temps] me déplaît… je le pousse à l'épaule… puis quand je pense à ce que je pousse… et sur quoi cela roule, et où cela me pousse moi-même… je n'ose plus rien pousser.
28 mars 1689 (pousser)Le roi dit à monsieur le Grand [Louis de Lorraine, comte d'Armagnac] : accommodez-vous pour le rang avec le comte de Soissons.
490 (grand, ande)Il me sera aisé de lui faire des plaintes de ces diantres de chemins.
334 (diantre)On apporte à boire à Mademoiselle, il faut donner la serviette : je vois Mme de Gêvres qui dégante sa main maigre ; je pousse Mme d'Arpajon : elle m'entend et se dégante, et, d'une très bonne grâce, elle avance un pas, coupe la Gêvres, et prend et donne la serviette.
13 mars 1671 (serviette)Nous trouvons partout… les compliments et le tintamarre qui accompagne vos grandeurs.
à Mme de Grignan, 30 juill. 1689 (tintamarre)