Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Je comprends votre rompement de tête dans l'application dont vous avez eu besoin pour débrouiller cette confusion.
à Mme de Guitaut, 3 juin 1693 (rompement)Je crus voir à Lambesc que le plaisir… des Provençaux était d'animer, de brouiller … ah fi ! quittez ce style de province et de Provence.
7 janv. 1689 (style)J'ai transi de vous voir passer de nuit cette montagne que l'on ne passe jamais qu'entre deux soleils et en litière.
21 (transir)Le beau temps a remis tous mes ouvriers en campagne.
62 (campagne)Mme Scarron se souvint avec combien d'esprit vous aviez soutenu autrefois une mauvaise cause, à la même place et sur le même tapis où nous étions.
6 janv. 1672 (place)Je pense sans cesse à Grignan… à vos terrasses, à votre belle et triomphante vue.
9 oct. 1689 (triomphant, ante)Vous voyez comme la fanfaronnade de ces deux volontaires [ils avaient été à un assaut contre l'ordre] a été punie [ils furent mis dans un fort] ; il vaut mieux être sage.
29 oct. 1688 (fanfaronnade)Je vous conjure de pardonner ces tirades de réflexions à l'extrême tendresse que j'ai pour vous.
à Mme de Grignan, 6 avril 1672 (tirade)À la longue on n'y durerait pas.
558 (long, ongue)Je crois que vous n'avez pas oublié aussi d'écrire ou de faire faire un compliment par M. d'Hacqueville à Mme et à M. de Lavardin.
16 août 1671 (oublier)Elle me vint prendre à mon hôtellerie.
290 (prendre)Ma chère enfant, je ne vous dis pas que vous êtes mon but, ma perspective ; vous le savez bien.
15 janv. 1690 (perspective)Vous louez Revel par où je l'ai loué, en disant que je l'avais trouvé vrai et loin de toute vanité.
21 sept. 1689 (loin)Je ne sais, ma fille, comment vous pouvez dire que votre humeur est un nuage qui cache l'amitié que vous avez pour moi ; si cela était dans les temps passés, vous avez bien levé ce voile depuis plusieurs années.
473 (voile [1])J'admire que le jésuite se livre comme il fait ayant nos frères les jansénistes pour auditeurs, qui tout d'un coup le relèveront de sentinelle, au moment qu'il y pensera le moins.
16 sept. 1676 (relever)Quoique vous ayez reçu bien des petites sommes qui devraient vous avoir soutenue.
à Mme de Grignan, 1er avr. 1689 (soutenir)Ma petite maison est bien jolie, vous y trouverez votre logement bien à souhait, pourvu que vous m'aimiez toujours.
135 (souhait)Il doit bien vous mander des nouvelles, car il a vu Dangeau qui en sait beaucoup.
510 (nouvelle)Je ne veux point que vous disiez que j'étais un rideau qui vous cachait ; tant pis si je vous cachais, vous êtes encore plus aimable quand on a tiré le rideau : il faut que vous soyez à découvert pour être dans votre perfection.
16 (rideau)Ici on a bien des distractions ; là on n'en a point, on tourne toujours sur le même pivot.
23 nov. 1688 (pivot)