Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Quelque aversion que je vous aie toujours vue pour les narrations, j'ai cru que vous aviez trop d'esprit pour ne pas voir qu'elles sont quelquefois agréables et nécessaires.
24 mars 1671 (narration)Je vous laisse à conduire cette petite affaire selon mes désirs.
8 fév. 1687 (laisser)M. Boucherat me contait l'autre jour qu'un curé avait reçu devant ses paroissiens [Bretons] une pendule qu'on lui envoyait de France (car c'est ainsi qu'ils disent) ; ils se mirent tous à crier en leur langage que c'était la gabelle.
197 (pendule [2])Si j'avais quelqu'un pour m'aider à philosopher, je pense que je deviendrais une de vos écolières [en cartésianisme].
432 (philosopher)Toute cette jeunesse a fait le carnaval sans en rien rabattre.
merc. des cendres 1680 (rabattre)À la longue on n'y durerait pas.
558 (long, ongue)Le papier et mon écriture la font paraître [cette lettre] d'une taille excessive.
3 juill. 1677 (taille)Les Français ont des ressources dans leur envie de plaire au roi, qui ne trouveraient point de créance dans tout ce qu'on nous en pourrait dire, si nous ne le voyions de nos propres yeux.
27 janv. 1692 (œil)Je suis entièrement du parti des médisants.
48 (parti [3])Elle [Mme de la Troche] s'est établie dans cette bonne ville [Paris], y faisant le siége de son empire, et le lieu de toutes ses affaires.
236 (siége)Je ne trouve point que cela ait eu de suite.
433 (suite)N'avançons point nos chagrins ; espérons plutôt que tout se tournera selon nos désirs.
8 janv. 1690 (tourner)Et votre don de l'assemblée ? madame, il est accordé à huit cent mille francs ; voilà qui est fort bien ; notre pressoir est bon, il n'y a qu'à serrer.
331 (serrer)Enfin les uns sont contents, les autres non, c'est le monde ; il n'y a rien de nouveau à cela.
27 févr. 1679 (non)J'espère que quelque jour vous reviendrez dans ce bon sens qui était si agréable et si droit.
à Bussy, 9 juin 1669 (revenir)Nous étions dans la consternation.
20 (consternation)Ce beau morceau qui était si fort à votre bienséance.
592 (bienséance)Si on me paye bien, je ne ferai point d'incident et laisserai les choses comme elles sont.
à Mme de Guitaut, 18 janv. 1694 (incident [1])C'était à l'oraison funèbre de Mme de Longueville qu'elles pleuraient M. de la Rochefoucauld ; ils sont morts dans la même année ; il y avait bien à rêver sur ces deux noms.
419 (rêver)Soyez tranquille sur ma santé ; elle est parfaite.
3 mai 1680 (tranquille)