Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Il y a bien de petites choses qu'il faut encore lui apprendre [au jeune marquis de Grignan] pour le manége de la conversation et de la société.
22 déc. 1688 (manége)Il badine sur la belle pièce que j'ai faite.
562 (badiner)Après il faut l'histoire [il faut que Pauline, fille de Mme de Grignan lise l'histoire] ; si on a besoin de lui pincer le nez pour lui faire avaler, je la plains.
15 janv. 1690 (nez)Un de mes beaux chevaux demeura dès Palaiseau.
56 (demeurer)Elle me compte pour quelque chose, et je me trouve heureuse de pouvoir lui faire ces petits plaisirs.
27 déc. 1679 (plaisir)Je vous assure que toute cette badinerie n'est encore ni fade ni usée.
572 (fade)La répétition du mariage de Monsieur me fait sécher sur pied.
95 (sécher)Je voudrais bien voir ce petit marquis ; mais j'aimerais bien à patronner les grosses joues de Pauline,
19 juillet 1677 (patronner [2])Elle [une dame cherchant à enlever le roi à Mme de Montespan] ouvrirait les chemins de l'infidélité, et ne servirait que comme d'un passage pour aller à d'autres plus jeunes et plus ragoûtantes.
30 sept. 1676 (passage)Les sujets de chagrin qui ont noirci votre joie naturelle, et la gaieté et la vivacité de votre belle jeunesse.
à du Plessis, 20 août 1690 (noircir)J'ai reçu une lettre du marquis de Charost toute pleine d'amitié et de ménagement.
29 juillet 1674 (ménagement)M. de la Reynie qui entend si bien la police.
454 (entendre)Comment n'êtes-vous pas percé à jour ou brûlé, mon cher comte, d'avoir été exposé tout l'hiver à la pointe et au feu de ces regards… ?
430 (jour)Tout roula sur ce point.
403 (rouler)Pour attirer plus de monde à lui et faire un trait de Normand, il [Saint-Hélène, un des rapporteurs dans le procès de Foucquet] dit qu'il fallait croire que le roi donnerait grâce, que c'était lui seul qui le pouvait faire.
17 déc. 1664 (normand, ande)Je crois qu'il se contentera d'aller en paradis, et qu'il ne quittera point ces canailles chrétiennes.
583 (canaille)La vie retirée n'est pas de son goût.
437 (goût)Notre cher d'Hacqueville, qui… entre plus que personne dans la tendresse infinie que j'ai pour vous : je ne sais si c'est par celle qu'il a pour vous, ou par celle qu'il a pour moi, ou par toutes les deux.
21 juin 1671 (par [1])Il avait forcé la barrière, où il s'était présenté le premier.
147 (barrière)Vous tenez votre gravité… démontez votre sérieux.
à Bussy, 9 juin 1669 (tenir)