Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, auteur cité dans le Littré
SÉVIGNÉ (1626-1696)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SÉVIGNÉ a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Lettres (1646-1696) | 1725 | 9680 citations |
Quelques citations de Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 9700 citations dans le Littré.
Puisque vous êtes en l'air.
339 (air [1])Cette définition vous met fort à couvert.
442 (couvert [2])Je suis dans le mouvement d'un commerce fort vif avec le mien [fils], qui est en Bretagne et sur le point d'épouser une fille de bonne maison.
4 déc. 1683 (mouvement)C'est ce qui se fait [trouver de l'argent casuel] en mangeant ici une partie de ce que me doit mon fils, et en réservant tout mon revenu pour le payement de mes dettes ; ce sommeil m'était d'autant plus nécessaire…
13 déc. 1684 (sommeil)On va séparer la noblesse [appelée sous les armes en Bretagne] ; voilà un air un peu tranquille.
6 août 1689 (séparer)Elle a eu des froids et des faiblesses.
149 (froid [2])Aimez-moi toujours, mon cher comte ; je vous quitte d'honorer ma grand'maternité.
10 déc. 1670 (maternité)C'est bien pour dire des fadaises que je dis tout cela.
153 (fadaise)Vous ne m'avez pas mandé comment vous avez trouvé la petite religieuse à Sainte-Marie ; vous savez que je l'aime fort joliment.
9 déc. 1676 (joliment)C'est une chose terrible que le scandale qu'on a fait [à propos de l'affaire des poisons].
422 (scandale)La reine n'a point baisé Monsieur, qui en boude.
506 (bouder)Mme de Chaulnes est si surprise de tout cela [ce qu'on fait pour la ville de Rennes], qu'elle se rejette à Rome, et fait fort bien.
2 nov. 1689 (rejeter)J'irai à Bourbilly, où je prétends bien de vous voir.
15 juill. 1673 (prétendre)Je me perds dans cette pensée.
358 (perdre)J'aime en vérité Pauline, je me sens portée pour elle.
546 (porté, ée)Si vous saviez… toutes les tribulations que j'ai eues… je vous les conterai quelque jour ; car elles ne sont pas d'une manière à pouvoir les écrire.
2 janv. 1681 (manière)Elle n'ose aller à Saint-Germain ; il ne peut parler à M. Colbert : cela nous coupe la gorge.
128 (gorge)Vous y verrez [aux états de Provence] l'effet des protestations de M. de Marseille ; je les trouve bien sophistiquées et avec de grandes restrictions.
20 sept. 1671 (sophistiqué, ée)Guitaut m'écrit de Fontainebleau, où il est allé morguer la cour.
437 (morguer [1])Pouvons-nous craindre un plus grand et un plus cruel rabat-joie, que la douleur sensible de songer à se séparer ?
15 août 1685 (rabat-joie)