Louis de Rouvroy, duc de SAINT-SIMON, auteur cité dans le Littré
SAINT-SIMON (1675-1755)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SAINT-SIMON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon | 1830 | 3628 citations |
Quelques citations de Louis de Rouvroy, duc de SAINT-SIMON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 3718 citations dans le Littré.
Les directeurs pouvaient mettre aux arrêts, interdire même les brigadiers de cavalerie ou d'infanterie.
25, 32 (arrêt)L'abbé Fleury suppléait souvent aux sonnettes [en allant lui-même], avant qu'on en eût l'invention.
63, 51 (sonnette)La fille de St-Aulaye fit à sa mère des sommations respectueuses et se maria.
166, 199 (sommation [1])Le chancelier passait quelquefois jusqu'à porter des bottes indécentes et parfois scandaleuses [au duc de Beauvilliers].
305, 231 (botte [4])[M. de Chaulnes] le mettait [M. de Chevreuse] à bout par ses railleries, auxquelles il se lâchait avec moins de ménagements qu'il ne l'aurait fait avec des étrangers.
19, 226 (lâcher)Comment compter cette la Varenne parmi les seize quartiers à prouver ? comment la sauter ?
76, 235 (sauter)La duchesse de Berry était incapable de se faire une raison, que ce qui venait d'arriver [la mort de Monseigneur] devait arriver tôt ou tard.
296, 42 (raison)Le duc d'Orléans n'avait plus rien à craindre ; qu'aurait pu faire ce Jupiter mourant [Louis XIV] ?
dans le Dict. de DOCHEZ. (jupiter)M. de Clermont, débarqué par le coche, car il n'avait rien, se targuait de son nom et de sa figure.
461, 261 (coche [1])Les autres [courtisans] pénétrés de douleur ou de gravité et d'attention sur eux-mêmes, pour cacher leur élargissement et leur joie [de la mort de Monseigneur].
293, 236 (élargissement)La politique de la maison d'Autriche devait être le pôle dont rien ne nous devait faire perdre la vue la plus fixe.
437, 82 (pôle)J'avais, sans nul appui, le ministère et l'intérieur du roi contre moi, et dans la cour force piques baissées sur moi par la peur et la jalousie qu'on avait prise.
367, 99 (pique [1])Il fallait [à Marly] des cuisines aux princesses, et d'autres appartenances.
268, 113 (appartenance)Le grand appartement [de Versailles] était meublé de velours cramoisi avec des crépines et des franges d'or.
67, 113 (crépine)Les gradins les plus proches du trône étaient pour les dames de la cour, les autres pour les hommes et pour les bayeuses.
383, 173 (bayeur, euse)Une personne vêtue de blanc, et par-dessus à la royale, belle, blonde et fort éclatante, l'appela [le maréchal ferrant qui avait eu des révélations] par son nom.
68, 120 (royal, ale)La plupart des bestiaux eussent péri faute de nourriture, on mit dessus un nouveau monopole.
223, 266 (monopole)M. de Vendôme ne disputa rien à M. du Maine, et il évita sagement d'en être obombré.
126, 134 (obombrer)Tout cela arriva sur Notre-Dame de Halle et tout aussitôt après à Bruxelles, qu'on crut insultable et dégarni de troupes.
210, 80 (insultable)M. de Noailles avait été quinze ans à Châlons [évêque], et il avait la domerie d'Aubrac, abbaye sous un titre particulier.
32, 117 (domerie)