Germain-François Poullain de SAINT-FOIX, auteur cité dans le Littré
SAINT-FOIX (1698-1776)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SAINT-FOIX a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Essais historiques sur Paris | 1754-1757 | 217 citations |
Quelques citations de Germain-François Poullain de SAINT-FOIX
Voici un tirage aléatoire parmi ses 225 citations dans le Littré.
Vers le milieu de l'autre siècle, tout ne respirait que cet amour tendre et mollement passionné qui régnait dans la tragédie.
Ess. Paris, Œuvr. t. III, p. 385, dans POUGENS (mollement)Plusieurs artistes du premier ordre, blessés par les critiques qui ont été faites des ouvrages qu'ils avaient exposés au salon du Louvre, en ont été découragés au point de renoncer pour jamais à cette exposition.
Ess. Paris, Œuv. t. III, p 197, dans POUGENS (exposer)Personne n'ignore les démêlés de Philippe le Bel avec Boniface VIII.
Ess. s. Paris, Œuvres, t. III, p. 404, dans POUGENS. (démêlé [2])Un grand ballet exécuté à la cour de Charles VII, et sur lequel on eut l'idée du jeu de piquet, qui certainement ne fut imaginé que vers la fin du règne de ce prince.
Ess. Paris, Œuvr. t. III, p. 318, dans POUGENS (piquet [2])En 1646, on découvrit, dans l'abbaye de Saint-Germain des Prés, le tombeau de Childéric II ; et l'on y trouva un baudrier, des épées…
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 141, dans POUGENS (tombeau)Les dix seigneurs qui étaient avec le dauphin étaient aussi croyables que les dix qui avaient accompagné le duc de Bourgogne.
Ess. Paris, Œuvres, t. V, p. 202, dans POUGENS (croyable)Soyons moins sociables et plus affectionnés à la société.
Ess. Paris, Œuvr. t. III, p. 433, dans POUGENS (sociable)Dans la nécessité ou de forcer ce gué, ou de combattre avec un grand désavantage Philippe, qui le talonnait de fort près.
Ess. Paris, Œuv. t. v, p. 103, dans POUGENS (talonner)Ah ! si ma dame me voyait, disait Fleuranges en montant le premier à l'assaut.
Ess. Paris, Œuvres, t. IV, p. 173, dans POUGENS (dame [1])On prétend qu'on remarquait depuis trois ou quatre jours quelque égarement dans les yeux et dans l'esprit du roi [Charles VI].
Ess. Paris, Œuvres, t. V, p. 155, dans POUGENS (égarement)[Au convoi de Duguesclin] huit jeunes écuyers, dont les uns portaient des casques, et les autres des pennons et des bannières aux armes de Duguesclin.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 151, dans POUGENS (pennon)Un seigneur allemand ordonna qu'après sa mort on le mît debout dans une colonne qu'il avait fait creuser et attacher contre un des piliers de sa paroisse, afin, disait-il, qu'il ne puisse arriver que quelque bourgeois ou vilain me marche sur le corps.
ib. t. IV, p. 331 (vilain, aine)Pauvre peuple, dit un homme d'une haute naissance, prêt à s'allier avec une sangsue publique, pauvre peuple, le ciel m'est témoin que… je condamne du plus profond de mon cœur toutes les voies impies par lesquelles mon futur beau-père s'est enrichi.
Ess. Paris, Œuvr. t. IV, p. 349 (sangsue)Une reine de France, que l'on croit être Catherine de Médicis, fit vœu que, si elle terminait heureusement une entreprise, elle enverrait à Jérusalem un pèlerin qui en ferait le chemin à pied, en avançant de trois pas et reculant d'un pas à chaque troisième.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 135, dans POUGENS (pèlerin, ine)Cette rue s'appelait anciennement la rue de l'Égyptienne, à cause d'une chapelle de sainte Marie Égyptienne qui est à l'entrée du côté de la rue Montmartre ; le peuple, par abréviation et corruption du mot, s'est accoutumé à l'appeler rue de la Jussienne.
Ess. Paris, Œuvres, t. III, p. 182, dans POUGENS (corruption)La morgue est un endroit situé dans l'enceinte du grand Châtelet, où les corps morts dont la justice se saisit, sont exposés à la vue du public, afin qu'on puisse les reconnaître.
Ess. Paris, Œuvr. t. III, p. 221, dans POUGENS (morgue [2])Le règne d'un prince faible et méprisable procure quelquefois un bien ; le peuple reprend ses droits et ses franchises, qui ne sont que trop souvent de nulle considération sous les règnes glorieux.
Ess. Paris, Œuv. t. v, p. 32, dans POUGENS (franchise)L'oraison funèbre de Bertrand du Guesclin en 1380 est le premier exemple d'une oraison funèbre prononcée dans l'église.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 259, dans POUGENS (oraison)Leurs discours ingénieux et fleuris, à l'aide d'un débit imposant, soutenaient l'attention d'une assemblée indulgente et disposée à l'approbation.
Ess. Paris, Œuvres, t. III, p. 445, dans POUGENS (débit)On ne fait ordinairement les funérailles de nos rois que quarante jours après leur mort ; on expose, pendant ces quarante jours, leur image en cire, à la vue du peuple, sur un lit de parade.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 156, dans POUGENS (lit)