Germain-François Poullain de SAINT-FOIX, auteur cité dans le Littré
SAINT-FOIX (1698-1776)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SAINT-FOIX a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Essais historiques sur Paris | 1754-1757 | 217 citations |
Quelques citations de Germain-François Poullain de SAINT-FOIX
Voici un tirage aléatoire parmi ses 225 citations dans le Littré.
L'université, pour lier cette correspondance, établit des postes et des messageries, dont elle ne tirait qu'un léger profit.
Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 343, dans POUGENS (messagerie)Quelques historiens, moines grecs, ont cru et écrit très sérieusement que tous nos rois de la première race naissaient avec l'épine du dos couverte et hérissée d'un poil de sanglier.
Ess. Paris, Œuvres, t. IV, p. 169, dans POUGENS (épine [1])Le cerf est doux, tranquille ; il ne s'embusque point dans l'épaisseur des forêts pour y commettre un crime.
Ess. Paris, Œuvres, t. IV, p. 241, dans POUGENS (embusquer)Charlemagne avait tâché de bannir absolument de Paris les femmes publiques ; il avait ordonné qu'elles seraient condamnées au fouet, et que ceux qui les auraient logées, ou chez qui on les aurait trouvées, les porteraient sur leur cou jusqu'au lieu de l'exécution.
Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 72, dans POUGENS (femme)L'habillement des veuves était assez semblable à celui de nos religieuses.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 223, dans POUGENS (veuf, veuve)Le point d'honneur est parmi nous un moyen adroit, par lequel on fait produire à la vanité les effets de la vertu.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 236, dans POUGENS (point [1])Il se piquait un doigt toutes les fois qu'il écrivait à cette princesse, et ne lui écrivait jamais que de son sang.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 292, dans POUGENS (piquer)Leurs discours ingénieux et fleuris, à l'aide d'un débit imposant, soutenaient l'attention d'une assemblée indulgente et disposée à l'approbation.
Ess. Paris, Œuvres, t. III, p. 445, dans POUGENS (débit)Sur la fin du dîner commença le spectacle ou entremets ; on vit paraître un vaisseau avec ses mâts, voiles et cordages.
Ess. Paris, Œuvres, t. IV, p. 130 (entremets)Le 19 d'avril 1416, on découvrit une conspiration tramée dans Paris par le duc de Bourgogne.
Ess. Paris, Œuv. t. v, p. 171 (tramé, ée)Dans le cabinet où travaillait cet infatigable écrivain [Le Nain de Tillemont], on voyait l'empreinte de ses deux pieds marquée sur les carreaux qui étaient sous son bureau.
Ess. Paris, Œuvres, t. III, p. 369, dans POUGENS (empreinte)Les femmes parurent ne se plus soucier de leur visage, et commencèrent à le cacher ; elles prirent un loup, et n'allèrent plus que masquées dans les rues, aux promenades, en visite et même à l'église.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 116, dans POUGENS (loup)Ferrailler à la moindre petite insulte personnelle.
Ess. Paris, Œuvres, t. III, p. 221, dans POUGENS (ferrailler)[Au convoi de Duguesclin] huit jeunes écuyers, dont les uns portaient des casques, et les autres des pennons et des bannières aux armes de Duguesclin.
Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 151, dans POUGENS (pennon)Je remarque que, dans ces temps malheureux, les princes et les principaux chefs catholiques et protestants sont tous morts funestement ou d'une façon singulière.
Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 44, dans POUGENS (funestement)S'il [Ravaillac] avoua des choses étranges, ce ne fut que lorsqu'il eut demandé, à la première tirade des chevaux, qu'on le relâchât.
Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 121 (tirade)On obligeait le voleur d'un chien de chasse à faire trois tours sur la place publique, en lui baisant le derrière.
Ess. Paris, Œuvr. t. IV, p. 24, dans POUGENS (voleur, euse [2])Pour le couronnement on se servait de la couronne de Jeanne d'Évreux, troisième femme de Charles le Bel, princesse digne, par ses vertus, de cette espèce d'immortalité ; Marie de Médicis, femme de Henri IV, est la dernière qui ait été couronnée.
Ess. Paris, Œuvres, t. III, p. 360, dans POUGENS (couronnement)Louis VI déclara par une charte que les serfs ou hommes de corps de l'église de Paris pourraient témoigner contre qui ce fût.
Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 214, dans POUGENS (serf, erve)La belle Agnès [Sorel] laissa un fonds pour la pitance d'œufs, au jour de son anniversaire.
Ess. Paris, Œuvr. t. III, p. 229, dans POUGENS (pitance)