François L'Hermite, sieur du Soliers, dit TRISTAN L'HERMITE, auteur cité dans le Littré
TRISTAN (1601-1655)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TRISTAN a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| La Marianne | 1636 | 108 citations |
| La Mort de Chrispe ou Les Malheurs domestiques du Grand Constantin | 1644 | 135 citations |
| Panthée | 1637 | 87 citations |
Quelques citations de François L'Hermite, sieur du Soliers, dit TRISTAN L'HERMITE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 336 citations dans le Littré.
Depuis que l'amour me tient à la torture, Il verse dans mon sein l'absinthe toute pure.
Panthée, V, 1 (absinthe)Et dont le cœur outré brûle de vous détruire.
Mariane, IV, 6 (outré, ée)Ici son insolence est un peu réprimée ; Assez hautainement je me suis exprimée.
M. de Chrispe, IV, 3 (hautainement)Opposons sagement l'antidote au poison.
Marianne, III, 1 (sagement)Pour vous éterniser sous ces arcs glorieux Qu'une savante main taille aux victorieux.
Mort de Chrispe, I, 3 (éterniser)Ils enflamment les airs de fascines brûlantes.
Panthée, V, 1 (fascine)Pour ce trait de douceur le nom de Constantin S'épandra désormais du couchant au matin.
M. de Chrispe, I, 3 (épandre)Elle joignit les mains, leva les yeux en haut.
Mariane, V, 2 (joindre)[Il] Doit bientôt conquérir tout le rond de la terre.
Panthée, III, 8 (rond [2])S'il abuse si fort, il faut qu'il se ravise.
Mort de Chrispe, IV, 2 (raviser (se))On est prêt à vous faire un fort mauvais parti.
Panthée, III, 3 (parti [3])…c'est un joug qu'à peine il recevra. - Je l'y forcerai bien ; s'il ne plie, il rompra.
M. de Chrispe, III, 6 (rompre)C'est un monstre d'orgueil et de méconnaissance.
Mariane, II, 6 (méconnaissance)Sa douce exhalaison ne forme que des roses, Des objets égayés et d'agréables choses.
Mariane, I, 2 (égayé, ée)J'abhorre tout de lui, jusqu'à son amitié.
Mariane, II, 2 (jusque et jusques)Mais l'invincible amour qui joint leurs cœurs ensemble Ne permettra jamais que rien les désassemble.
Panthée, II, 1 (désassembler)Quel colosse de bronze et taillé doctement…
M. de Chrispe, I, 3 (bronze)N'est-il pas adoré comme un soleil levant ?
M. de Chrispe, IV, 11 (levant [1])L'homme faible et léger sans un secours divin S'enivre de faveur comme on le fait de vin.
Panthée, III, 5 (vin)Je vais donner le branle et pousser à la roue.
Marianne, II, 4 (branle)