Jean de Roye, dit Jean DE TROYES, auteur cité dans le Littré
J. DE TROYES (1425-1495)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme J. DE TROYES a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chronique scandaleuse | 81 citations |
Quelques citations de Jean de Roye, dit Jean DE TROYES
Voici un tirage aléatoire parmi ses 84 citations dans le Littré.
Laquelle jeune fille se acointa d'un archier, et accorderent leurs vielles ensemble.
Chron. 1465 (vielle)Et ils firent tous le mieulx qu'ils peurent ; mais ils n'en emporterent gueres de bruit.
Chron. 1418 (bruit)Le dit Bourguignon bailla à iceluy archier, en entre-baillant le dit guichet, d'une dague dedans le ventre.
Chron. 1465 (entre-bâiller)Et en toutes ses entreprises n'y avoit point d'effect, et ne faisoit que perdre temps, gens et pays, par ses folles obstinations.
1476 (obstination)L'autre Jehan du Foing estoit fontenier et plombeur.
Chron. 1477 (fontenier ou fontainier)N'y estoient trouvez que beaulx verres et esguieres de verre et feugiere.
Chron. 1478 (fougère)En ce temps fut faicte justice de plusieurs povres et indigentes creatures, comme de larrons, sacrileges, pipeurs et crocheteurs.
Chron. 1460 (pipeur)Et estoit le dit monseigneur le connestable vestu d'une cappe de camelot, dedans laquelle il estoit fort embrunché.
Chroniques, 1475 (embroncher)Calabriens et Suisses avoient telle rage de faim aux dents, qu'ils prenoient fromaiges sans peler et mordoient à mesme.
Chron. 1465 (même)Lequel Hardy, fol et enraigé et non ayant Dieu devant les yeulx… s'en partit et tira tout droit où le roy. estoit.
Chron. 1473 (œil)Et au regard des autres biens de terre, ne fut pas grant habondance de vin, mais la mer fut fort fructueuse.
Chron. 1464 (fructueux, euse)Et à ceste cause ne vint point de bois à Paris par la riviere de Seine, et fut bien chier, comme de sept à huict sols pour le moule.
1480 (moule [1])Et disoit que le diable la tourmentoit, et sailloit en l'air, crioit et escumoit, et faisoit moult d'autres merveilles.
Chron. 1460 (tourmenter)Ce fut chose moult estrange à luy de ainsi faulser sa foi et soy ainsi abaisser.
Chron. 1472 (fausser)Et entre lesdits deux appentis y avoit une cloison de bois, dont la moitié par le haut estoit treillisée.
Chron. 1475 (treillisser)Le quel Charolois rendit responce, en disant que diable peust emporter ceulx qui faisoient tel, et qu'ils faisoient plus que on ne leur commandoit.
Chron. 1465 (emporter)Tous lesquels quatre de guet apensé et propos deliberé vinrent assaillir ledit Petit Jehan.
Chron. 1477 (guet-apens)Lesdits Bourguignons cuidans prendre à despourveu les habitans vindrent à grand fureur.
Chron. 1465 (dépourvoir)Vint iceluy tonnerre mettre le feu au clochier de madame saincte Genevieve au mont de Paris, lequel brusla toute la charpenterie du dit clochier.
Chron. 1483 (charpenterie)Et si leur renvoyerent grant quantité de trousses de flesches à arc, artillerie…
Chron. 1472 (trousse)