Alexandre DUVAL, auteur cité dans le Littré
AL. DUVAL (1767-1842)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme AL. DUVAL a été choisie.auteur dramatique
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
La Jeunesse de Richelieu | 1796 | 11 citations |
La Manie des grandeurs | 1817 | 11 citations |
Quelques citations de Alexandre DUVAL
Voici un tirage aléatoire parmi ses 79 citations dans le Littré.
On disait dans le pays qu'il était sans parents ; et voilà qu'il en est arrivé tout à coup un régiment.
les Héritiers, sc. 1 (régiment)Obéissez, je le veux. - Ma foi, il a dit : je le veux, comme un homme qui y est habitué.
Menuis. de Livonie, III, 3 (vouloir [1])Sur l'âge des vieillards c'est en vain qu'on se fonde ; Ils sont très obstinés à rester dans ce monde.
Fille d'honn. II, 12 (vieillard)Pour un cœur bien placé c'est un supplice horrible.
Manie des grand. III, 8 (placé, ée)S'il en est ainsi, rendez-moi ma montre ; je ne souffrirai pas… - Copp : Ah ! vous ne souffrirez pas… vous le prenez avec moi sur un singulier ton.
Jeun. de Henri V, II, 10 (souffrir)Voilà Mlle Rose et sa gouvernante ; comme la demoiselle est modeste et jolie ! comme sa bonne a l'air d'une brave fille ! alors je me redressais, j'en étais toute fière.
Jeun. de Richel. I, 2 (redresser)Ah ! les coquins ! si je les rattrappe jamais !
Jeun. de Henri V, III, 10 (rattraper)Le dernier venu a toujours raison.
Proj. de mar. sc. 1 (venu, ue)Ils rôdent dans les maisons, ils visitent tous les recoins, ils se disputent sur le partage à faire.
les Héritiers, SC. 8 (recoin)Là [à la cour] on se trouve toujours placé entre les grand merci et les va te promener.
Princ. des Ursins, III, 7 (promener)Songez qu'il est mon colonel, qu'il serait dangereux de m'exposer à manquer à la subordination.
Projet de mar. sc. 15 (subordination)Je sais qu'elle n'a pas le talent de vous plaire.
Tyran dom. II, 4 (talent)Il voulait la maison ; voyons-le venir.
Maison à vendre, sc. 15 (venir)Avec tout son esprit, j'en fais moins de cas que de ma pipe.
Jeunesse de Henri V, II, 9 (pipe)Ou, sans honte, on voyait une maîtresse en titre Des intérêts des rois devenir seule arbitre.
Man. des grand. III, 8 (titre [1])Du linge blanc, un habit fin ; Oh ! cet homme est un muscadin.
les Suspects, sc. 16 (muscadin)Dites-lui que, pour ma belle, Ainsi qu'un jeune troubadour, Plus amoureux, aussi fidèle, Je souffre et chante mon amour.
Maison à vendre, sc. 7 (troubadour)Il me paraît, comme vous me le disiez tout à l'heure, que ce n'est pas en beau que l'on vous a peint, monsieur de Richelieu.
Jeun. de Richel. III, 8 (peindre)De l'argent ; on m'en apporte, je le garde ; on m'en apporte encore, je le garde ; je ne sors pas de là.
Faux Stanislas, II, 5 (sortir [1])La vie privée me console de la vie publique.
Jeun. de Henri V, I, 5 (privé, ée [1])