Amantine Dupin, baronne Dudevan, dite Georges SAND, auteur cité dans le Littré

GEORGES SAND (1804-1876)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme GEORGES SAND a été choisie.

43 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Histoire de ma vie 1855 3 citations
La petite Fadette 1849 1 citations
Revue des Deux Mondes, mensuel 13 citations

Quelques citations de Amantine Dupin, baronne Dudevan, dite Georges SAND

Voici un tirage aléatoire parmi ses 43 citations dans le Littré.

  1. Il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
    la Mare au Diable, II (parcimonieusement)
  2. Quoi de plus beau et de plus pur que la vision intérieure d'un mort aimé ?
    Rev. des Deux-Mond. 1er juin 1872, p. 582 (vision)
  3. Ce pensement était son plaisir et sa consolation.
    Fr. le Champi. (pensement)
  4. C'était, de vrai, deux enfants qui n'étaient ni laids, ni sots, ni méchants.
    la Petite Fadette. (vrai, aie [1])
  5. Les femmes apprennent vite à se requinquer.
    la Famille de Germandre. (requinquer (se))
  6. Transplanter une seconde fois,
    dans SCHOLL, Programme, p. 16 (retransplanter)
  7. Dans cette famille-là, ils sont unis comme les doigts de la main.
    dans le Dict. de POITEVIN. (doigt)
  8. Bien que cet arbre portât encore le nom de chêne parlant, les pâtours s'en approchaient sans trop de crainte.
    le Chêne parlant, Rev. des Deux-Mondes, 15 oct. 1875 (pâtour)
  9. Sache qu'à mes yeux la plus grande sottise, la plus basse platitude qu'un homme puisse faire, c'est de s'adonner au métier de larron. - « Où m'avez-vous vu larroner ? " demanda Puffo d'un air sombre. - " Si je t'avais vu larronner en ma compagnie, je t'aurais cassé les reins, ».
    Rev. des Deux-Mondes, 1er juin 1858, p. 487 (larronner)
  10. Si fait, elle vous a mauvaisement trompée.
    Fr. le Champi, III, 8 (mauvaisement)
  11. Garde cela pour t'en servir sur tes vieux jours et ne jamais manquer.
    la Petite fadette (manquer)
  12. Ces vérités éternelles que vous appelez des lieux communs.
    le Compagnon du tour de France, t. II, p. 392 (lieu [1])
  13. Il fut saisi, à dix-sept ans, de l'ardeur voyageuse qui, chaque année, enlève à leurs pénates de nombreuses phalanges de jeunes ouvriers pour les jeter dans la vie aventureuse, dans l'apprentissage ambulant qu'on appelle le tour de France.
    le Compagnon du tour de France, II (tour [2])
  14. Des follets et des fées C'est l'essaim qui s'ébat ; Ils escortent leur reine, Mab, aux cheveux dorés, Dont le pied couche à peine L'herbe fine des prés.
    la Reine Mab, Soirées littéraires, p. 226 (mab)
  15. Ces moutons à deux pieds qui contemplent les hommes d'État dans une lourde stupéfaction, et, s'étonnant de se voir tondre si lestement, se regardent et se disent : Voilà de fiers hommes ! et que nous sommes bien tondus !
    Lettres d'un voyageur, VIII (tondre [1])
  16. Un amas quasi parchemineux de toiles d'araignées couvertes de poussière.
    l'Homme de Neige, Rev. des Deux-Mondes, 1er juin 1858, p. 482 (parchemineux, euse)
  17. Il ne lui en coûtait pas de parler le patois, d'équiter pour la montre des chevaux nus, de manger au cabaret.
    Rev. des Deux-Mondes, 15 mars 1875 (équiter)
  18. Cette confiance dans l'éducabilité de l'homme.
    la Mare au diable, II (éducabilité)
  19. Il ne se doutait pas que dans cette femme si frêle en apparence, si timide, résidât ce courage plus que masculin, cette sorte d'intrépidité délirante, qui se manifeste parfois comme une crise nerveuse chez les êtres les plus faibles.
    Indiana, p. 260 (masculin, ine)
  20. Il [l'homme] a toujours travaillé pour son ventre plus que pour son cœur et son esprit.
    Rev. des Deux-Mondes, 1er juin 1868, p. 580 (ventre)