Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
…doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))Nous nous prenons à regretter ces cahiers de feuillé qu'on nous faisait copier dans notre enfance et qui détaillaient avec précision des branches de marronnier, de chêne, de hêtre, etc.
Feuilleton du Monit. univ. 27 juin 1868 (feuillé, ée)Delaunay et Mlle Favart [deux acteurs] sont charmants dans cette querelle d'amoureux vieille comme le monde et toujours jeune.
Monit. univ. 30 nov. 1868 (querelle)Et se faisant une visière de sa main gauche étendue, il interrogeait l'horizon…
Journ. offic. 7 nov. 1871, p. 4329, 3<sup>e</sup> col. (visière)L'eau s'enfle, comme une poitrine Aux soupirs de la passion ; Le vent, dans sa conque marine, Murmure une incantation.
Émaux et camées, caerulei oculi (incantation)Ce sont des bossus, des culs-de-jatte assis dans leur sébile.
Feuilleton du Journal officiel, 25 juin 1869 (sébile)Lui qui avait été élevé dans la patrioterie et la religion de la bayonnette souveraine.
La jeune France, 1833, p. 145 (patrioterie)Cette peinture si génialement anglaise.
les Beaux-arts en Europe, t. I, II, 13 (génialement)Il fait grand, chose importante pour l'Opéra, et l'on sent qu'il pourrait remplir aisément ce vaste cadre.
Feuilleton, Monit. universel, 30 nov. 1868. Faire grand est très peu français. (grand, ande)Hernani se répétait, et, au tumulte qui se faisait déjà autour de la pièce, on pouvait prévoir que l'affaire serait chaude.
le Bien public, 3 mars 1872 (répéter)Deux longues mèches se détachaient capricieusement des crêpelures.
le Capitaine Fracasse, II (crépelure)Sur la table de pose, se dresse un mannequin drapé, simulant les attitudes de la vie.
Monit. univ. 1er et 2 juin. 1868 (pose [1])Patrie aux flancs féconds, sainte mère des hommes, Ce que furent jadis nos pères, nous le sommes !
Prologue d'ouverture, 1845 (mère [1])D'abord superbe et triomphante, Elle vint en grand apparat, Traînant avec des airs d'infante Un flot de velours nacarat.
Émaux et camées, le Poëme de la femme (nacarat)Le boa se déroule et siffle, Le tigre fait son hurlement, Le buffle en colère renifle ; Lui dort ou paît tranquillement.
Poésies, l'Hippopotame (renifler)Les maniérismes à la mode éloignent presque toujours les artistes des sujets actuels, qu'ils n'acceptent que comme à regret, et le plus souvent pour les travestir.
ib. Horace Vernet. (maniérisme)Pas de suaire en toile fine, Mais drapez-moi dans les plis blancs De ma robe de mousseline, De ma robe à treize volants.
Émaux et camées, Coquetterie posthume (volant [2])Cheret, le peintre des bois ombreux, des clairières ensoleillées.
Portr. contemporains, Paris, 1874 (ensoleillé, ée)Ornés de clochettes qui tintinnabulaient sans cesse.
Étude sur Baudelaire. (tintinnabuler)À la fin, le courage le plus robuste se lasse de varier toujours le même thème.
Feuilleton du Monit. univ. 4 juin 1868 (varier)