Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. En pénétrant dans ce cabinet, fausse cachette masquant la véritable, les sondeurs devaient se croire arrivés à leur but.
    Journ. offic. 14 août 1871 (sondeur)
  2. Ces extraits divers sont le résultat des lectures de Mme Dorval ; mais leur choix indique une fantaisie et une humour que rien ne peut rendre.
    Portraits contemporains, Mme Dorval (humour)
  3. Se pourlécher les babines.
    Cap. Fracasse, I (pourlécher)
  4. À la fin, le courage le plus robuste se lasse de varier toujours le même thème.
    Feuilleton du Monit. univ. 4 juin 1868 (varier)
  5. Après ma mort, une avalanche De son linceul me couvrira, Et sur mon corps la neige blanche, Tombeau d'argent, s'élèvera.
    le Chasseur. (neige)
  6. La femme de nos jours, absente des tableaux, revit dans les historiques lithographies de notre artiste, avec son maniérisme coquet, sa grâce spirituelle, son élégance chiffonnée, sa beauté problématique.
    Portraits contemp. Gavarni. (maniérisme)
  7. La moitié du corps est baignée d'une ombre illuminée de reflets un peu trop transparents peut-être et qui, en certains endroits, font ce qu'on appelle lanterne.
    Moniteur universel, 9 mai 1868 (lanterne)
  8. Sur la table de pose, se dresse un mannequin drapé, simulant les attitudes de la vie.
    Monit. univ. 1er et 2 juin. 1868 (pose [1])
  9. L'Odéon qui ne peut ni vivre ni mourir, N'est jamais plus fermé que lorsqu'il vient d'ouvrir.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (odéon ou odéum)
  10. Les belluaires ont levé les grilles des antres souterrains.
    dans Courrier de Vaugelas, 1er févr. 1876, p. 148 (belluaire)
  11. Après ma mort une avalanche De son linceul me couvrira.
    le Chasseur. (linceul)
  12. Patrie aux flancs féconds, sainte mère des hommes, Ce que furent jadis nos pères, nous le sommes !
    Prologue d'ouverture, 1845 (mère [1])
  13. Pas de suaire en toile fine, Mais drapez-moi dans les plis blancs De ma robe de mousseline, De ma robe à treize volants.
    Émaux et camées, Coquetterie posthume (volant [2])
  14. Vous n'êtes, ne fûtes et ne serez jamais que ce que les étudiants allemands appellent un philistin, et les artistes français un bourgeois.
    dans Revue des Deux-Mondes, t. XIX, p. 889, 1847 (philistin)
  15. Gustave M…, un peintre qui redébutait au milieu de sa carrière, après avoir donné presque incognito des preuves de grand talent.
    l'Illustration, 2 mars 1872 (redébuter)
  16. Ces figures plafonnent bien, sans offrir de ces raccourcis désagréables qui rapprochent l'orteil de la narine.
    Monit. univ. 2 mai 1868 (plafonner)
  17. Car il est des chasseurs qui font la lâcheté De tirer sur un aigle ivre d'immensité…
    Prologue d'ouverture de l'Odéon (lâcheté)
  18. Il ne les hausse pas jusqu'à la truculence en appuyant un croc de sanglier sur une lèvre calleuse, comme en ont les vieilles des Tentations de saint Antoine de Téniers.
    Portraits contemp. Henri Monnier (truculence)
  19. Il y a dans tout groupe une individualité pivotale, autour de laquelle les autres s'implantent et gravitent comme un système de planètes autour de leur astre.
    le Bien public, 10 mars 1872 (pivotal, ale)
  20. Il [Léon Gozlan] était de sa nature ce qu'on appelle dans le jargon moderne un paroxyste, c'est-à-dire un tempérament poussant tout au paroxysme et à l'outrance.
    Moniteur univ. 17 sept. 1866 (paroxyste)