Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
Lui qui avait été élevé dans la patrioterie et la religion de la bayonnette souveraine.
La jeune France, 1833, p. 145 (patrioterie)Placés à l'y du carrefour, nous hésitions entre les deux routes.
le Bien public, 10 mars 1872 (y [1])Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)Un corridor dallé en quadrillage blanc et noir.
Cap. Fracasse, I (quadrillage)Les dalles étaient exécutées avec un style et une maestria dont la tradition s'était perdue pendant près de deux siècles.
Portraits contemp. Ingres. (maestria)Les arbres du parc… forment un fond dont la chaleur sourde fait merveilleusement valoir les figures repiquées de réveillons pétillants d'esprit et d'une finesse singulière de ton.
Journ. offic. 2 mai 1870, Feuilleton (repiqué, ée)Gustave M…, un peintre qui redébutait au milieu de sa carrière, après avoir donné presque incognito des preuves de grand talent.
l'Illustration, 2 mars 1872 (redébuter)Sur la table de pose, se dresse un mannequin drapé, simulant les attitudes de la vie.
Monit. univ. 1er et 2 juin. 1868 (pose [1])Ces précieux manuscrits à miniatures où s'épuisait la patience des imagiers.
Portraits contemp. Ingres. (imagier)Une femme aux traits réguliers, aux cheveux d'un noir d'enfer, comme dit Alfred de Musset.
Monit. univ. 3 juin 1867 (noir, oire)Je suis enfant de la montagne, Comme l'isard, comme l'aiglon.
Poésies, le Chasseur. (isard)La femme de nos jours, absente des tableaux, revit dans les historiques lithographies de notre artiste, avec son maniérisme coquet, sa grâce spirituelle, son élégance chiffonnée, sa beauté problématique.
Portraits contemp. Gavarni. (maniérisme)Ce sont des bossus, des culs-de-jatte assis dans leur sébile.
Feuilleton du Journal officiel, 25 juin 1869 (sébile)Il y a là des youyous si légers qu'on les emporterait sous son bras comme un parapluie.
Monit. univ. 26 mai 1867, p. 631, 3<sup>e</sup> col. (youyou)Il ne manque pas d'esprits agréablement sceptiques qui, lorsqu'un belluaire fait de périlleux exercices, vantent paradoxalement la mansuétude des lions.
dans Courrier de Vaugelas, 1er févr. 1876, p. 148 (belluaire)Les babies britanniques ont des teints de crème et de fraise.
les Beaux-arts en Europe, t. I, p. 44 (baby [1])Quand l'actrice, comme une statue qui se piète sur son socle, a redressé sa haute taille…
Journ. offic. Feuilleton, 25 juill. 1870 (piéter)Après ma mort une avalanche De son linceul me couvrira.
le Chasseur. (linceul)Quelques détails indiqués plus précisément ne nuiraient pas ; à force d'être large, on devient vague.
Feuilleton du Journ. offic. du 26 juin 1869 (vague [2])Touret de nez, petit masque noir.
Capit. Fracasse, IX (touret)