Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré
TH. GAUTIER (1811-1872)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Théophile GAUTIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.
M. le duc de Massa n'est plus un amateur, c'est un artiste, un maestro.
Feuilleton du Monit. univ. 6 avril 1868 (maestro)Pas de suaire en toile fine, Mais drapez-moi dans les plis blancs De ma robe de mousseline, De ma robe à treize volants.
Émaux et camées, Coquetterie posthume (volant [2])Un vieux monsieur à qui ses lunettes, brillantées par une lumière frisante, donnent l'aspect d'un hibou.
Journ. offic. 19 mai 1870, feuilleton. (frisant, te)Les flammes jaillissant au dehors ont crevé les fenêtres et tracé de larges zébrures noires le long des murailles.
Journ. offic. 5 août 1871 (zébrure)Le ton de la robe [d'un chien], le hérissé du poil,
cité dans le Dict. de POITEVIN (hérissé, ée)…doré de légers tons d'ambre comme une peinture de maître qui s'agatise.
le Bien public, 10 mars 1872 (agatiser (s'))Il y a là des youyous si légers qu'on les emporterait sous son bras comme un parapluie.
Monit. univ. 26 mai 1867, p. 631, 3<sup>e</sup> col. (youyou)Il ne manque pas d'esprits agréablement sceptiques qui, lorsqu'un belluaire fait de périlleux exercices, vantent paradoxalement la mansuétude des lions.
dans Courrier de Vaugelas, 1er févr. 1876, p. 148 (belluaire)Il [Léon Gozlan] était de sa nature ce qu'on appelle dans le jargon moderne un paroxyste, c'est-à-dire un tempérament poussant tout au paroxysme et à l'outrance.
Moniteur univ. 17 sept. 1866 (paroxyste)Il ne serait pas difficile à un œil visionnaire, comme celui de Hoffmann, de trouver là le décor d'un conte fantastique.
le Bien public, 12 mai 1872 (visionnaire)Celui qui est rasé, comme on dit en argot de l'endroit, quitte discrètement sa place, les mains dans ses goussets vides.
Feuilleton du Moniteur universel, 3 juin 1867 (rasé, ée)Le quai de la Mergellina, où les lazzaroni demi-nus se cuisent et donnent à leur peau une patine de bronze.
Avatar, I (patine)Ce type, si neuf et si actuel de la jeune fille tintamarresque.
Portraits contemporains, Jules de Goncourt (tintamarresque)Le volume entr'ouvert distraitement, il le savait, et il gardait dans sa mémoire une photographie ineffaçable d'une ville ou d'un site traversés au galop.
Portraits contemp. L. de Cormenin. (distraitement)Ce sont des bossus, des culs-de-jatte assis dans leur sébile.
Feuilleton du Journal officiel, 25 juin 1869 (sébile)Ornés de clochettes qui tintinnabulaient sans cesse.
Étude sur Baudelaire. (tintinnabuler)Que tu me plais, ô timbre étrange, Son double, homme et femme à la fois, Contralto, bizarre mélange, Hermaphrodite de la voix.
Emaux et camées, Contralto (contralto)Deux longues mèches se détachaient capricieusement des crêpelures.
le Capitaine Fracasse, II (crépelure)Dans d'autres endroits, l'eau grise stagnait sur le sable gris.
Journ. offic. 19 mars 1870, Feuilleton. (stagner)Les babies britanniques ont des teints de crème et de fraise.
les Beaux-arts en Europe, t. I, p. 44 (baby [1])