Jean de Roye, dit Jean DE TROYES, auteur cité dans le Littré
J. DE TROYES (1425-1495)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme J. DE TROYES a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chronique scandaleuse | 81 citations |
Quelques citations de Jean de Roye, dit Jean DE TROYES
Voici un tirage aléatoire parmi ses 84 citations dans le Littré.
Et après, le roy fut contrainct de recompenser tous les dits princes et seigneurs de leurs armées et interets qu'ils avoient fait contre luy, qui touts le butinerent ainsi que s'ensuit.
Chron. 1465 (butiner)En leur priant humblement excuser et supployer à mon ignorance et adresser ce que y seroit mal mis.
Chron. 1460 (adresser)Et vers la nuit les Ecossois… prindrent le roy qui moult estoit las et afflict.
Chron. 1465 (affliger)Et à cause de l'effroy qu'il fist, y eut plusieurs femmes qui en accoucherent avant terme.
Chron. 1465 (terme)Et eussent les choses esté plus triumphantes, se n'eust esté le temps, qui moult fut mal advenant.
Chron. 1482 (être [1])La dicte année feut fort moiste… et y eut de grans tempestes en divers lieux.
Chron. 1466 (moite)En fin on trouva que ce n'estoit que tout abus [dans de prétendus miracles], et qu'elle estoit une meschante folle.
Chron. 1460 (méchant, ante)Duquel dictum et sentence il se trouva fort perpleux ; et non sans cause, car il ne cuidoit pas que le roy ne sa justice le deussent faire mourir.
Chron. 1475 (perplexe)Laquelle femme le print en son amour desordonnée, et, pour l'entretenir, envendit et engaija de ses bagues et vaisselle de son dit mary.
Chron. 1482 (entretenir)Lesdits Bretons et Bourguignons furent ès terrouers de Montmartre… prendre et vendengier toute la vendange qui y estoit, jaçoit-ce qu'elle n'estoit point meure, et en firent du vin tel quel pour le boire.
Chron. 1465 (tel, elle)Et si disoit-on que plusieurs femmes y alloient curieusement de nuict et de jour.
Chron. 1478 (curieusement)Et en toutes ses entreprises n'y avoit point d'effect, et ne faisoit que perdre temps, gens et pays, par ses folles obstinations.
1476 (obstination)Et si leur renvoyerent grant quantité de trousses de flesches à arc, artillerie…
Chron. 1472 (trousse)Afin que à ceste cause le roy les prinst en sa mal-veillence, et les dechassast de son service.
Chroniq. 1465 (malveillance)Les marchans qui estoient alez audit pays de Bourgongne pour faire leurs amplettes.
Chron. 1467 (emplette)Et en icelle rencontre, au nombre des morts, y furent trouvez des gens de façon et de bonne maison.
Chron. 1465 (façon)Et aussi faire dedans les bois grant nombre de chevretes [sorte d'engin de siége] et tauldis de bois avecques des eschelles à assaillir villes et forteresses.
Chron. 1477 (chevrette)Vint iceluy tonnerre mettre le feu au clochier de madame saincte Genevieve au mont de Paris, lequel brusla toute la charpenterie du dit clochier.
Chron. 1483 (charpenterie)Calabriens et Suisses avoient telle rage de faim aux dents, qu'ils prenoient fromaiges sans peler et mordoient à mesme.
Chron. 1465 (même)Et firent de grans blasphemes au Roy, comme monstrer leur cul et autres villenies.
Chron. 1476 (cul ou cu)