Jean de Roye, dit Jean DE TROYES, auteur cité dans le Littré
J. DE TROYES (1425-1495)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme J. DE TROYES a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Chronique scandaleuse | 81 citations |
Quelques citations de Jean de Roye, dit Jean DE TROYES
Voici un tirage aléatoire parmi ses 84 citations dans le Littré.
Et estoit le dit monseigneur le connestable vestu d'une cappe de camelot, dedans laquelle il estoit fort embrunché.
Chroniques, 1475 (embroncher)Et après le dit desemparement [action de quitter], tous les gens de guerre estans au dit siege s'en vindrent retraire et loger aux Chartreux.
Chroniques, 1465 (désemparement)Les petits enfants de chœur illec disoient de beaux virelais, chançons et aultres bergerettes moult melodieusement.
Chron. 1467 (bergerette [2])Calabriens et Suisses avoient telle rage de faim aux dents, qu'ils prenoient fromaiges sans peler et mordoient à mesme.
Chron. 1465 (même)Le roy vouloit que, pour bien repeupler sa ville de Paris, qu'il disoit avoir esté fort depopulée, que quelques gens de quelque nations qu'ils feussent, peussent de là en avant venir demourer en la diste ville.
Chroniques, 1467 (repeupler)Nonobstant qu'ils disoient partout où ils passoient qu'ils venoient pour le bien publicq.
Chron. 1465 (passer)Et [les Flamands] dechasserent [de Cambrai] et mirent dehors les gens de guerre qui estoient dedens le chasteau de la dite ville de par le roy.
Chr. 1479 (déchasser)Et audit temps par la justice ordinaire de Paris furent prins larrons, crocheteurs et autres malfaicteurs.
Chron. 1466 (crocheteur)Duquel dictum et sentence il se trouva fort perpleux et non sans cause.
Chron. 1475 (dictum)Duquel dictum et sentence il se trouva fort perpleux ; et non sans cause, car il ne cuidoit pas que le roy ne sa justice le deussent faire mourir.
Chron. 1475 (perplexe)Lesquels Flamens, quant ils ouyrent nouvelles de la venue du Roy, s'enfuyrent et desparquerent ; et, au dit desparquement [décampement] faire, frapperent nos gens sur les dessusdits Flamens.
Chronique, 1477 (déparquement)Le dit Bourguignon bailla à iceluy archier, en entre-baillant le dit guichet, d'une dague dedans le ventre.
Chron. 1465 (entre-bâiller)Lequel Hardy, fol et enraigé et non ayant Dieu devant les yeulx… s'en partit et tira tout droit où le roy. estoit.
Chron. 1473 (œil)Et si y avoit encore trois bien belles filles faisans personnaiges de seraines toutes nues.
Chron. 1461 (sirène)Et depuis le roi leur offrit bailler le païs de Champaigne et Brie, pour le dit ampanaige.
Chron. 1465 (apanage)Il y crut competemment de blez qui furent bons et de garde.
Chron. 1460 (garde [1])Vint iceluy tonnerre mettre le feu au clochier de madame saincte Genevieve au mont de Paris, lequel brusla toute la charpenterie du dit clochier.
Chron. 1483 (charpenterie)En fin on trouva que ce n'estoit que tout abus [dans de prétendus miracles], et qu'elle estoit une meschante folle.
Chron. 1460 (méchant, ante)Et à ceste cause fut raporté que le dit Oriole parloit mal et usoit de menasses.
Chron. 1478 (parler [1])Et à ceste cause ne vint point de bois à Paris par la riviere de Seine, et fut bien chier, comme de sept à huict sols pour le moule.
1480 (moule [1])