Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Murçay, comtesse de CAYLUS, auteur cité dans le Littré
Mme DE CAYLUS (1671-1729)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme Mme DE CAYLUS a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Souvenirs | 1770 | 100 citations |
Quelques citations de Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Murçay, comtesse de CAYLUS
Voici un tirage aléatoire parmi ses 103 citations dans le Littré.
Revenant tout à coup à elle, elle [Mme de la Vallière, à la mort de son fils] dit à ce prélat [qui la consolait] : c'est trop pleurer la mort d'un fils dont je n'ai pas encore assez pleuré la naissance.
Souvenirs, p. 48, dans POUGENS (pleurer)Le roi [Louis XIV], instruit par sa propre expérience et corrigé par les années, n'oublia rien de ce qui pouvait mettre les filles d'honneur de Mme la Dauphine sur un bon pied.
Souvenirs, p. 142, dans POUGENS (fille)Le plus grand éclat de Mme la princesse de Conti n'a duré que jusqu'à sa petite vérole, qu'elle eut à dix-sept ou dix-huit ans.
Souvenirs, p. 159, dans POUGENS (vérole)Plus M. Fagon vit Mme de Maintenon de près, plus il admira sa vertu et goûta son esprit.
Souven. p. 76, dans POUGENS (goûter [1])On prétend qu'elle plut au roi, je ne sais ce qui en est.
Souven. p. 142, dans POUGENS (être [1])Mme de Maintenon le demanda [Noisy le Sec] au roi pour y mettre Mme de Brinon avec sa communauté ; c'est là qu'elle eut la pensée de l'établissement de Saint-Cyr.
Souvenirs, p. 196, dans POUGENS (pensée [1])Mme de Maintenon, entrant en charge dans ce temps-là, n'eut plus rien à démêler avec Mme de Montespan.
Souvenirs, p. 119, dans POUGENS (entrer)Le roi… pour empêcher Mme de Montespan d'être exposée à ses caprices [de M. de Montespan], la fit surintendante de la maison de la reine.
Souven. p. 174, dans POUGENS (surintendante)Mme de Montespan s'aperçut que le roi lui échappait, lorsque le mal était sans remède.
Souvenirs, p. 112, dans POUGENS (échapper)Il n'y avait de réel que l'esprit, dont en effet il avait beaucoup, c'est-à-dire une conception aisée, une grande pénétration, beaucoup de discernement, de la mémoire et de l'éloquence.
Souv. p. 243, dans POUGENS (esprit)La résistance de ces jeunes personnes fut infiniment glorieuse au calvinisme.
Souvenirs, p. 32, dans POUGENS (glorieux, euse)Il est certain que sa fortune ne répondait pas à sa naissance.
Souvenirs, p. 184, dans POUGENS (répondre)Le roi, si prévenu dans les commencements contre Mme de Maintenon.
Souvenirs, p. 81, dans POUGENS (prévenu, ue)Elle [Mme de Montespan] joignait à cette dureté de cœur une raillerie continuelle.
Souvenirs, p. 108, dans POUGENS (raillerie)Le roi fit ensuite reconnaître les siens [bâtards], savoir le duc du Maine, M. le comte du Vexin, Mlle de Nantes, Mlle de Tours.
ib. p. 58 (reconnaître)Aussi humiliant que singulier.
Souvenirs, p. 161, dans POUGENS (humiliant, ante)Mme de Maintenon avait un goût et un talent particulier pour l'éducation de la jeunesse.
Souvenirs, p. 194, dans POUGENS (éducation)La vieillesse et les malheurs domestiques du roi l'avaient rendu plus faible, et madame la duchesse du Maine plus entreprenante.
Souvenirs, p. 218, dans POUGENS (entreprenant, ante)Elle [Mme de Maintenon] jeûnait si austèrement les carêmes, qu'elle faisait peser son pain.
Souvenirs, p. 66, dans POUGENS (jeûner)Elle tira le secret de ses compagnes.
Souven. p. 144, dans POUGENS (tirer)