Jean François de Galaup, comte de LA PÉROUSE, auteur cité dans le Littré
LA PÉROUSE (1741-1788)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LA PÉROUSE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Voyage de La Pérouse autour du monde | 1797 | 82 citations |
Quelques citations de Jean François de Galaup, comte de LA PÉROUSE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 87 citations dans le Littré.
On sait que dans cette vaste partie du grand océan équatorial il existe une zone de 12 à 14 degrés environ du nord au sud, et de 140 degrés de l'est à l'ouest, parsemée d'îles, qui sont sur le globe terrestre ce qu'est la voie lactée dans le ciel.
Voy. t. III, p. 169, dans POUGENS (zone)Les voyages des divers navigateurs anglais, en étendant nos connaissances, avaient mérité la juste admiration du monde entier.
Voy. t. II, p. 5, dans POUGENS (voyage)Je continuai à prolonger la côte à une lieue de distance…
Voy. t. II, p. 227, dans POUGENS (prolonger)Nous serions amplement dédommagés des fatigues extrêmes de cette campagne, si nous pouvions parvenir à détruire l'usage des sacrifices humains, qu'on dit être généralement répandus chez les insulaires de la mer du Sud.
Voy. t. II, p. 12, dans POUGENS (sacrifice)Le 6 juin, les vents passèrent au sud-est ; le ciel devint blanchâtre et terne ; tout annonçait que nous étions sortis de la zone des vents alizés.
Voy. t. II, p. 131, dans POUGENS (vent)Nos officiers tuèrent… un rollier d'un très beau bleu, qui n'a point été décrit par M. de Buffon ; il est très commun dans l'île Sainte-Catherine.
Voy. t. II, p. 39, dans POUGENS (rollier)Nous passâmes le reste de la nuit à petite voilure, bord sur bord.
Voy. t. II, p. 379 (voilure [1])Ce plan dicté par les circonstances… ne me permit pas de diminuer de voiles pour attendre environ cent cinquante pirogues qui se détachèrent de la côte.
Voy. t. II, p. 112 (voile [2])Dans cette situation, je crus devoir serrer le vent, et gouverner au sud-sud-est.
Voy. t. III, p. 10, dans POUGENS (vent)Nous avons serré la terre de Feu d'assez près pour apercevoir, avec nos lunettes, des sauvages qui attisaient de grands feux, seule manière qu'ils avaient d'exprimer leurs désirs de voir relâcher les vaisseaux.
Voy. t. II, p. 50, dans POUGENS (serrer)Une théorie sur le scorbut se réduit à ces aphorismes, qui ne sont pas d'Hippocrate : aliments quelconques propres à l'homme et capables de réparer les déperditions journalières ; air extérieur introduit le plus souvent qu'il est possible dans les entreponts et dans la cale ; humidité occasionnée par les brumes, combattue sans cesse par des fumigations et même par des brasiers.
Voy. t. IV, p. 237, dans POUGENS (scorbut)Nous achetâmes, dans le village, des tourterelles à coup de poignard ; on leur a donné ce nom, parce qu'elles ont au milieu de la poitrine une tache rouge qui ressemble exactement à une blessure faite par un coup de couteau.
Voy. t. II, p. 339, dans POUGENS (tourterelle)Le 22, nous relevâmes à midi le cap des Vierges, à quatre lieues dans l'ouest.
Voy. t. II, p. 46, dans POUGENS (relever)On sait que les nautiles, remplissant ou vidant une partie de leurs coquilles, ont la faculté de se tenir à la profondeur d'eau qu'ils désirent.
Voy. t. IV, p. 135, dans POUGENS (nautile)Nous continuâmes à louvoyer pour approcher le fond de la baie ; et, à neuf heures du soir, nous mouillâmes, par neuf brasses, à environ une lieue dans le nord-est du mouillage.
Voy. t. II, p. 56, dans POUGENS (par [1])Les naturels ont déjà abandonné Les yourtes dans lesquelles ils se terraient comme des blaireaux pendant tout l'hiver.
Voy. ch. XXII, p. 146 (terrer)Le port n'est ouvert qu'aux vents de sud-ouest ; et la tenue y est si bonne, que je crois qu'on y serait sans aucun danger pendant la mousson où ils règnent.
Voy. t. II, p. 336, dans POUGENS (tenue)J'étais tenté de renoncer au plan que j'avais formé en partant de Maouna, de ne faire aucune relâche jusqu'à Botany-Bay,
Voy. t. III, p. 247, dans POUGENS (relâche [2])Je crus devoir attendre une circonstance plus favorable, et serrer le vent qui battait en côte.
ib. t. II, p. 137 (serrer)Les brumes m'ont empêché de relever les Kuriles au nord de Marikan.
Voy. t. IV, p. 217, dans POUGENS (relever)