Jean François de Galaup, comte de LA PÉROUSE, auteur cité dans le Littré
LA PÉROUSE (1741-1788)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LA PÉROUSE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Voyage de La Pérouse autour du monde | 1797 | 82 citations |
Quelques citations de Jean François de Galaup, comte de LA PÉROUSE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 87 citations dans le Littré.
Je me portai sur le 37e parallèle, pour chercher la prétendue terre découverte par les Espagnols en 1610 ; je ne crois point à l'existence de cette terre.
Voy. t. IV, p. 193, dans POUGENS (terre)À deux heures nous étions par le travers de neuf petites îles ou rochers.
Voy. t. II, p. 240, dans POUGENS (travers)À huit heures trois quarts, la marée ayant reversé.
Voy. t. II, p. 174, dans POUGENS (reverser [2])J'avais passé très près de la partie du sud sans sonder, pour ne pas ralentir le sillage de la frégate.
Voy. t. II, p. 299, dans POUGENS (sillage [1])Sommes ou champans.
Voy. t. II, p. 388 (somme [5])Les Espagnols les ont appelés Mores [les peuples de la côte orientale d'Afrique] et leurs souverains sultans, à cause de l'identité de leur religion avec celle des peuples d'Afrique de ce nom, ennemis de l'Espagne depuis tant de siècles.
Voyag. t. II, p. 357, dans POUGENS (more ou maure)Il [le capitaine Cook] sera toujours à mes yeux le premier des navigateurs.
Voyage, t. II, p. 108, dans POUGENS (navigateur)Je me porterai sur le parallèle de 37 degrés, pour chercher la terre qu'on dit avoir été découverte à cette latitude par les Espagnols en 1610.
Voyage, t. IV, p. 223, dans POUGENS (parallèle)La mer était si grosse que nous employâmes quatre heures à lever notre ancre ; la tournevire, la marguerite cassèrent ; le cabestan fut brisé.
Voy. t. III, p. 55, dans POUGENS (tournevire)Après avoir vogué plus d'une minute sans pouvoir refouler la marée.
Voy. t. II, p. 171 (refouler)J'étais tenté de renoncer au plan que j'avais formé en partant de Maouna, de ne faire aucune relâche jusqu'à Botany-Bay,
Voy. t. III, p. 247, dans POUGENS (relâche [2])Dans cette situation, je crus devoir serrer le vent, et gouverner au sud-sud-est.
Voy. t. III, p. 10, dans POUGENS (vent)Je fis le signal de ralliement, et bientôt après je donnai l'ordre d'appareiller.
Voy. t. III, p. 260, dans POUGENS (ralliement)Nos officiers tuèrent… un rollier d'un très beau bleu, qui n'a point été décrit par M. de Buffon ; il est très commun dans l'île Sainte-Catherine.
Voy. t. II, p. 39, dans POUGENS (rollier)Les saumons, dont la peau sert à leur habillement [d'une peuplade sauvage], ne se pêchent pas en été, et pèsent trente ou quarante livres.
Voy. t. III, p. 69, dans POUGENS (saumon)Nous passâmes le reste de la nuit à petite voilure, bord sur bord.
Voy. t. II, p. 379 (voilure [1])Convaincu que les vaisseaux de l'État doivent protéger le commerce et ne jamais le faire.
ib. t. IV, p. 144 (vaisseau)La frégate fut serrée contre la terre, l'arrière fort près des roches ; il fut impossible de songer à se touer.
Voy. t. II, p. 150, dans POUGENS (touer)Mon canot était resté sur le rivage ; un morceau de glace qui tomba dans l'eau à plus de quatre cents toises de distance occasionna sur le bord de la mer un tel remous, qu'il en fut renversé et jeté assez loin sur le bord du glacier.
Voy. t. II, p. 160, dans POUGENS (remous)Les vents sautèrent du sud au nord avec assez de violence, sans que cette saute de vent eût été annoncée par aucun nuage.
Voy. t. II, p. 389, dans POUGENS (saute)