Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit PINDARE LEBRUN, auteur cité dans le Littré
P. LEBRUN (1729-1807)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme P. LEBRUN a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit PINDARE LEBRUN
Voici un tirage aléatoire parmi ses 122 citations dans le Littré.
Qui donne, se rend maître ; et qui reçoit, se livre ; Les princes, non contents des hommes nés pour eux, Ont des piéges aussi pour les cœurs généreux.
le Cid d'And. II, 2 (piége)Montrez-lui cette mer sereine, bleue, unie, Belle des bords charmants qu'elle pare à son tour.
Voy. de Grèce, II, 2 (serein, eine [1])Quand son œil s'entr'ouvre pareil Au rayon de l'aube première, D'un enfant le premier réveil Est moins pur aux yeux de sa mère.
Poés. II, II, 36 (réveil)La voix du tonnerre lointain.
Voy. de Grèce, III, 1 (tonnerre)Il faut cacher sa vie, et même son tombeau.
Poés. t. II, 8 (tombeau)Le fruit de l'adultère Profane insolemment le trône d'Angleterre.
Marie St. III, 4 (profaner)Comme une mère… Qui voit, devant ses pas, un enfant jeune et beau Tomber sous une roue ou s'engloutir sous l'eau.
Voy. de Grèce, VIII, 7 (roue)Près de leur nid, des vives hirondelles J'entends déjà les matinales voix.
Poés. t. I, 17 (voix)Un désir inquiet tourmentait ma jeunesse.
Pallas, II, 3 (tourmenter)Cette mort dont on parle, elle n'y croit qu'à peine, Ou l'aperçoit lointaine Dans un vague avenir.
Poés. t. I, 28 (vague [2])Pour m'agrandir m'irai-je battre ? Trois arpents sont assez pour moi : Alcinoüs en avait quatre, Mais Alcinoüs était roi.
Poés. t. II, Vallée de Champrosay. (quatre)Ces jours où le roi Jean, lâche autant que barbare, Rendait le sceptre anglais vassal de la tiare.
Marie Stuart, III, 4 (tiare)Cet œil si bleu dont la nuance M'a rappelé la fleur qui dans nos blés balance La forme d'une étoile et la couleur du ciel !
Voy. de Grèce, X, 4 (rappeler)À son premier aspect j'ai d'abord deviné Pour quel doux avenir j'étais prédestiné.
le Cid d'And. II, 3 (prédestiné, ée)Sanche, prêt à verser son sang pour te défendre, Était donc loin de toi, ne pouvait donc t'entendre ?
le Cid d'And. IV, 3 (verser)Beau soir ! calme de l'air ! à peine sous la proue La mer roule le bruit d'un paisible ruisseau.
Voy. de Grèce, III, 8 (proue)La haine a son courage, et la peur son audace.
Voy. de Grèce, ch. VI, 1 (peur)Le Vésuve qu'on voit… Comme un panache noir, élever sa fumée.
Poés. t. II, p. 12 (panache)…Convient-il qu'au fond d'une prison Je contemple le deuil de ma propre maison ?
Marie St. II, 4 (prison)Dans les créneaux consacrés au carnage, Les blancs pigeons ont abrité leurs nids.
Poés. t. I, p. 5 (pigeon)