Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit PINDARE LEBRUN, auteur cité dans le Littré
P. LEBRUN (1729-1807)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme P. LEBRUN a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit PINDARE LEBRUN
Voici un tirage aléatoire parmi ses 122 citations dans le Littré.
En quel insensible sommeil, Europe, restes-tu plongée ! Le cri de la Grèce égorgée Ne hâte-t-il pas ton réveil ?
Voy. de Grèce, Prologue. (réveil)Elle veut être seule ; et nous l'avons laissée Elevant vers le ciel sa dernière pensée.
M. Stuart, V, I (pensée [1])Allez, vil délateur d'une cause trahie, Chercher votre pardon aux dépens de ma vie.
Mar. Stuart, II, 4 (pardon)De quelque raïa solitaire, De quelque vendangeur voisin L'âne en passant s'y désaltère [dans la fontaine de Castalie], Successeur du coursier divin.
Poés. t. II, p. 19 (raïa)Bientôt, hélas ! trop agrandi, Le vainqueur sur son trône même Chancelle, le front étourdi Des vertiges du diadème.
Mort de Nap. IV (vertige)On dirait qu'à ces lieux ta vue accoutumée Les connaît autrement que par la renommée ; Tout à l'heure tes pas des miens étaient suivis ; Je t'observais surtout dans ce prochain parvis Où des rois mes aïeux les armes sont rangées.
Ulysse, III, 2 (parvis)Avez-vous vu la reine de l'aurore [Constantinople], La cité merveilleuse, épouse des sultans ?
Voy. de Grèce, IV, 1 (reine)Saisir… Comme un rapide éclair un bonheur de passage.
le Cid d'Andal. II, 3 (passage)Pour m'agrandir m'irai-je battre ? Trois arpents sont assez pour moi : Alcinoüs en avait quatre, Mais Alcinoüs était roi.
Poés. t. II, Vallée de Champrosay. (quatre)Pour distinguer le lâche, il devrait seul vieillir ; Et, son cœur paraissant aux traits de son visage, Les rides contre lui porteraient témoignage.
Pallas, III, 8 (témoignage)Tout ce qui doit finir est de peu de durée.
Poésies, t. I, p. 28 (peu)Vois-tu cet horizon qui se prolonge immense ?
Marie St. III, 1 (prolonger)Jeune, j'aimais les bois ; sous leurs vertes ramures Qui des flots de la mer imitent les murmures, J'ai bien souvent erré, non sans quelque douceur.
Poés. t. II, 4 (ramure)Si la valse s'emporte au galop favori, Plus aimé du valseur qu'agréable au mari.
Épître, le Roi de Grèce. (valseur, euse)Quels chants, venus soudain de la lointaine Grèce, Ont de leurs sons connus fait tressaillir mon cœur !
Voy. de Grèce, I (tressaillir)Seule au milieu des filles de sa cour, Elle [la reine Mathilde] animait ces toiles immortelles, Doux monument…
Poés. t I, 5 (toile)Vous ne connaissez pas, ignorez-le toujours, Quelles séductions habitent dans les cours.
Marie St. II, 2 (séduction)Dans les créneaux consacrés au carnage, Les blancs pigeons ont abrité leurs nids.
Poés. t. I, p. 5 (pigeon)La haine a son courage, et la peur son audace.
Voy. de Grèce, ch. VI, 1 (peur)On ne fait point aux morts d'outrages impunis ; Il est des dieux vengeurs près des tombeaux assis.
Ulysse, IV, 2 (vengeur, geresse)