Jean-François COLLIN D'HARLEVILLE, auteur cité dans le Littré
COLLIN D'HARLEVILLE (1755-1806)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme COLLIN D'HARLEVILLE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Les Châteaux en Espagne | 1789 | 36 citations |
| Le vieux célibataire | 1792 | 56 citations |
| L’Optimiste, ou l’homme toujours content | 1788 | 36 citations |
| Malice pour malice | 1791 | 22 citations |
| Monsieur de Crac dans son petit castel, ou Les Gascons | 1792 | 12 citations |
Quelques citations de Jean-François COLLIN D'HARLEVILLE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 185 citations dans le Littré.
La demande est un peu familière.
M. de Crac, sc. 10 (familier, ière)Aussi notre amitié ne date pas d'hier.
Chât. en Espagne. I, 2 (hier [2])… Avant que de nous battre, Messieurs, il est un point qu'il est bon de débattre.
M. de Crac, sc. 22 (débattre)On n'a pas plus d'esprit, de grâce…
Mœurs du jour, I, 2 (on)Marquez-moi votre adresse, et je vous répondrai.
Optimiste, IV, 14 (marquer)Trop heureux, en manquant un mauvais mariage, D'en être quitte encor pour les frais du voyage !
Chât. en Espagne, II, 9 (manquer)Mme de Roselle : Vous êtes postillon ? - Le postillon : Madame, à vous servir ; Et chacun vous dira que je mène à ravir.
Optimiste, IV, 16 (mener)Par un seul domestique on est bien mieux servi.
Optim. IV, 5 (domestique)Un cruel accident tout à coup m'a ravi Mon père ; et de bien près ma mère l'a suivi.
Vieux célib. IV, 3 (suivre)Vous aviez épuisé tout votre voisinage [pour s'en moquer], Et la disette enfin allait nous obliger à nous railler l'un l'autre.
Malice pour malice, I, 2 (railler)Ma fortune est assez ronde, vous le savez.
Vieux célib. II, 6 (rond, onde [1])Mais après cinquante ans on est bien aise enfin De vivre un peu tranquille ; il faut faire une fin.
Optimiste, v, 2 (fin [1])La maison sauterait plutôt que j'en sortisse.
Vieux célib. II, 6 (sauter)Vous ne le disiez pas, vous êtes méchant.
Chât. en Esp. I, 2 (méchant, ante)Allons !… ce que j'en dis n'est pas pour me vanter… Je ne me prévaux point, mais je vous félicite.
Vieux célib. I, 2 (prévaloir)Oui, je découvre en vous, et je m'en sens frappé, Mille dons enchanteurs qui m'avaient échappé.
Vieux célib. III, 4 (découvrir)Elle n'est point parleuse, et j'en rends grâce à Dieu.
Optimiste, I, 11 (parleur, euse)Le jour où l'on s'égare est un vrai jour de fête [il s'agit d'un voyageur égaré qui trouve bon gîte].
Chât. en Esp. I, 9 (fête)Mme Verteuil : Vous m'étonnez toujours ; mais d'où venez-vous donc ? - Formont : D'où je viens, madame ? - Mme Verteuil : Oui. - Formont : De mon pays, j'espère.
Mœurs du jour, II, 11 (venir)Si j'épouse une fois monsieur, me voilà forte ; Une heure après l'hymen, ils sont tous à la porte.
Vieux célib. III, 10 (porte [1])