Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré
DE LA MARCHE (1425-1502)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.
Le duc de Bourgogne alla en la duché de Luxembourg pour renouveler les hommages et les fidelités de ceux de Luxembourg, dont le duc estoit nouvellement seigneur.
liv. I, p. 332, dans LACURNE (fidélité)Est la coustume des Alemans que, s'ils estoyent payez jusques à aujourd'hui, et demain il y avoit assaut ou bataille, ilz entendent qu'il leur est deu nouvel argent, et ceux qui crioyent le plus haut, c'estoyent les lansquenets et les gens de pié, et conclusion ils ne voulurent point marcher avant.
Mém. livre II, p. 648, dans LACURNE (lansquenet)Certes les pompes et parures de lors n'estoyent pas telles que celles de present ; car les princes jouxtoyent en parures de drap de laine, de bougran et de toile, garnis et ajolivez d'or clinquant ou de peinture seulement.
Mém. liv. I, p. 164, dans LACURNE (clinquant)Au cas qu'il contrevinst à la paix de Peronne.
dans le Dict. de DOCHEZ. (contrevenir)Portoit, au lieu de cotte d'armes, une parure à manches d'un drap de damas.
I, p. 249 (parure)Ce mesme jour, vint au palais un heraut nommé Toulongeon, qui appela le heraut garde du pavillon et luy dist : Noble heraut, je demande ouverture pour aller toucher l'une des trois targes qui sont en vostre garde, pour et au nom d'un noble escuyer nommé Pierre de Chandos.
Mém. liv. I, p. 296, dans LACURNE (ouverture)Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)[Un pavillon] estoit adossé par dedans d'un riche drap d'or noir, qui s'estendoit sur une chaire et faisoit le marchepied par tout le pavillon et jusque dehors plus de deux ausnes.
Mém. livre I, p. 317, dans LACURNE (marchepied)Pour riens n'a pas esté nommé Charles le travaillant ; car, du temps qu'il regna, autre homme ne travailla tant en sa personne qu'il feist, et si travailla amis et ennemis.
Mém. p. 86, dans LACURNE (travaillant, ante)Le vingt cinquieme jour de juin s'assemblerent ceux de la verde tente [sorte de bandits] en grand nombre, et bouterent feu, tuant et pillans.
Mém. liv. I, p. 390, dans LACURNE (vert, erte)On doit craindre son ennemi foible, manchot ou tors.
dans le Dict. de DOCHEZ. (manchot, ote)Fut le seigneur de Sey rearmé de son grand garde-bras.
Mém. liv. I, p. 195, dans LACURNE (réarmer)Et doutoit on qu'ils [les Gantois] ne veinssent à puissance de costé ou par derriere ; et à ceste cause fut mise à la bataille du duc par deux ou trois fois à rechange de place.
liv. I, p. 369, dans LACURNE (rechange)Messire Jehan seigneur de Lannoy, chevalier de l'ordre de la toison, homme sçachant et nouvel [ingénieux, inventif].
Mém. liv. I, p. 411, dans LACURNE (nouveau ou, devant une voyelle ou une h muette, nouvel, nouvelle)Et ne mangeoient les poures gens que prunes et fruitz, dont la courance se preit dans l'ost, et y moururent beaucoup de nos gens.
Mém. liv. II, p. 505, dans LACURNE (courante [2])Philippe de Valois, fils de Charìes, comte de Valois, fils de Philippe, fils de saint Louis et demi-frere de la dite royne d'Angleterre.
Mém. p. 37, dans LACURNE (frère)D'après le sablon couru et demie heure passée [dans les joutes il y avait un sablier pour mesurer le temps].
Mém. liv. II, p. 560, dans LACURNE (sablon)Prestement recommencerent leurs armes, et de celle rencontre le seigneur de Ternant donna si grand coup qu'il fauça le bacinet à jour.
Mém. liv. I, p. 248, dans LACURNE, au mot coup. (fausser)Et fut en deux batailles et en plusieurs rencontres et sieges, accompaignant son pere ; et desja se monstra fier et courageux et principalement à tenir ordre, où il se delectoit aigrement, monstrant qu'il estoit prince et seigneur apparent, et se faisoit craindre.
Mém. p. 70, dans LACURNE (ordre)En intention qu'il n'eust la note et le reproche, qu'à luy eust tenu le rapaisement du royaume.
Mém. liv. I, p. 122, dans LACURNE (note)