Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré
DE LA MARCHE (1425-1502)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.
Ne restoit plus de son emprise que la fourniture des armes à pié [le combat à pié].
Mém. liv. VI, p. 194. dans LACURNE (fourniture)En intention qu'il n'eust la note et le reproche, qu'à luy eust tenu le rapaisement du royaume.
Mém. liv. I, p. 122, dans LACURNE (note)Je quiers que, par mon recit, les jeunes et ceux qui ont experimenté telles infortunes, pensent plus d'une fois et calculent ce que leur peut advenir.
ib. f° 28 (calculer)Madame Jehanne veint au lieu de Digeon, à secours et à remede, devers le duc de Bourgongne, son parent, luy remontrant comme les Luxembourgeois l'avoyent dechassée de son heritage.
Mém. liv. I, p. 176, dans LACURNE (remède)Et la getta [la visière de sa salade] loing de luy en arriere, et demoura le visage moult fort decouvert, et ce fit il pour ce qu'il estoit homme de courte vue et la vouloit desempescher.
Mém. I, p. 318, dans LACURNE, au mot visière. (vue)Ne tentez Dieu ne son executeresse fortune.
Mém. liv. I, p. 291, dans LACURNE (exécuteur, trice)Le duc mit sus douze cens lances, chacune fournie de huict combattans à cheval et à pié.
Mém. p. 75, dans LACURNE (lance)Portoit, au lieu de cotte d'armes, une parure à manches d'un drap de damas.
I, p. 249 (parure)Les gougeas de l'hostel du duc alloient tous les jours veoir les dames à Deventel, qui sont femmes moult gracieuses et qui prennent plaisir à festoyer estrangers.
Mém. liv. II, p. 589, dans LACURNE (goujat)Les inhabitans des dictz pays, notamment de Flandres.
Mém. Avis aux lecteurs. (notamment)Messire Jehan seigneur de Lannoy, chevalier de l'ordre de la toison, homme sçachant et nouvel [ingénieux, inventif].
Mém. liv. I, p. 411, dans LACURNE (nouveau ou, devant une voyelle ou une h muette, nouvel, nouvelle)À la neufiesme et derniere course d'icelles armes, le chevalier atteindit sur le bord de la croisée de l'armet de l'escuyer, et fut l'atteinte si grande que la coiffe fut enfoncée jusques à la teste.
ib. (croisée)Et le lendemain furent les eschoppes et boutiques ouvertes.
dans le dict. de DOCHEZ. (échoppe [1])Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)De quelle façon estoit sa visiere trouuée.
Mém. I, p. 181 (trouer)Le comte fit rompre plusieurs boulovars faicts par les Gantois.
I, 26, dans LACURNE (boulevard ou, orthographe qu'admet aussi l'académie, boulevart)L'escuyer, qui estoit moult puissant, rabatoit et se defendoit de l'emprise de son compaignon, et d'un rabat rompit la dague de la hache dudit messire Jaques.
Mém. liv. I, p. 325, dans LACURNE (rabat [1])Il detourna rivieres de leurs cours, il digua un bras du Rhin.
Mém. p. 79, dans LACURNE (diguer [1])Il estoit armé d'une petite salade ronde et avoit la visiere couverte et armée d'un petit hausse-col de maille d'acier.
Mém. liv. I, p. 299, dans LACURNE (hausse-col)Il avoit après luy six chevaux de pareure : le premier estoit couvert de velours noir…
II, p. 567, dans LACURNE (parure)