Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré

DE LA MARCHE (1425-1502)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.

77 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.

  1. Les fruits et feuilles et fleurs furent si proprement faitz, qu'ils sembloient proprement arbres et propres fruits, et les faisoit très beau voir.
    Mém. II, p. 583, dans LACURNE (propre)
  2. Lances leur furent baillées, et là de premiere course ne firent point d'atteinte ; à la seconde firent une rude croisée.
    Mém. liv. I, p. 322, dans LACURNE (croisée)
  3. Joustes furent faictes et criées par Jehan monsieur de Cleves, Jacques de Lalain et moult d'autres ; et furent joustes sans toile, sans fiens [fumier] ou sablon, en un lieu devant l'hostel du prince que l'on appelle les bailles.
    ib. p. 237 (toile)
  4. Si le deffendant a un bras affolé, on doit occuper un bras à l'appellant, tellement qu'il ne s'en puisse aider.
    Gage de bat. f° 26, dans LACURNE (occuper)
  5. Il detourna rivieres de leurs cours, il digua un bras du Rhin.
    Mém. p. 79, dans LACURNE (diguer [1])
  6. Madame Jehanne veint au lieu de Digeon, à secours et à remede, devers le duc de Bourgongne, son parent, luy remontrant comme les Luxembourgeois l'avoyent dechassée de son heritage.
    Mém. liv. I, p. 176, dans LACURNE (remède)
  7. Quant il entendi la renommée de l'estranger, luy qui de longue main avoit desiré et quis de trouver parti et sorte pour faire armes, se delibera d'executer à celle fois ce que tant avoit desiré.
    Mém. I, p. 243, dans LACURNE (sorte)
  8. Furent apportées les haches au seigneur d'Espiri, pour choisir le premier, comme c'estoit la coustume ; et furent icelles haches ferrées, longues et poisantes, à grandes dagues acerées dessus et dessous, et furent les premieres haches à dagues dessous que l'entrepreneur fit livrer en iceluy pas.
    Mém. liv. I, p. 266, dans LACURNE (hache [1])
  9. Messire Jehan seigneur de Lannoy, chevalier de l'ordre de la toison, homme sçachant et nouvel [ingénieux, inventif].
  10. Le duc, trois gueux pour sa cuisine, chascun compté par quatre mois, et doit le gueux en la cuisine commander, ordonner et estre obei.
    État de la maison de Charles le Hardy, t. II, p. 520, édit. PETITOT. (gueux, euse)
  11. D'après le sablon couru et demie heure passée [dans les joutes il y avait un sablier pour mesurer le temps].
    Mém. liv. II, p. 560, dans LACURNE (sablon)
  12. Un grand monceau de rabotures, tirées au rabot d'ais de sapin ou d'autre bois.
    Mém. liv. I, p. 234, dans LACURNE (raboture)
  13. Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
    Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)
  14. Pour riens n'a pas esté nommé Charles le travaillant ; car, du temps qu'il regna, autre homme ne travailla tant en sa personne qu'il feist, et si travailla amis et ennemis.
    Mém. p. 86, dans LACURNE (travaillant, ante)
  15. Et pour conclure et mectre fin en ceste matiere que j'ay calculée et esclaircie au mieux qu'il m'a esté possible.
    Gage de bat. f° 29, dans LACURNE (calculer)
  16. En intention qu'il n'eust la note et le reproche, qu'à luy eust tenu le rapaisement du royaume.
    Mém. liv. I, p. 122, dans LACURNE (note)
  17. Certes les pompes et parures de lors n'estoyent pas telles que celles de present ; car les princes jouxtoyent en parures de drap de laine, de bougran et de toile, garnis et ajolivez d'or clinquant ou de peinture seulement.
    Mém. liv. I, p. 164, dans LACURNE (clinquant)
  18. Sur iceux chevaux avoit deux pages houssez de petits brodequins jaunes et sans esperons.
    Mém. liv. II, p. 534, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brodequin)
  19. Et fut en deux batailles et en plusieurs rencontres et sieges, accompaignant son pere ; et desja se monstra fier et courageux et principalement à tenir ordre, où il se delectoit aigrement, monstrant qu'il estoit prince et seigneur apparent, et se faisoit craindre.
    Mém. p. 70, dans LACURNE (ordre)
  20. Ce mesme jour, vint au palais un heraut nommé Toulongeon, qui appela le heraut garde du pavillon et luy dist : Noble heraut, je demande ouverture pour aller toucher l'une des trois targes qui sont en vostre garde, pour et au nom d'un noble escuyer nommé Pierre de Chandos.
    Mém. liv. I, p. 296, dans LACURNE (ouverture)