Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré

DE LA MARCHE (1425-1502)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.

77 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.

  1. Le duc mit sus douze cens lances, chacune fournie de huict combattans à cheval et à pié.
    Mém. p. 75, dans LACURNE (lance)
  2. Sur iceux chevaux avoit deux pages houssez de petits brodequins jaunes et sans esperons.
    Mém. liv. II, p. 534, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brodequin)
  3. Alors le suivit sa pareure, qui fut telle qu'il avoit dix pages après luy et dix chevaux.
    p. 582 (parure)
  4. Est la coustume des Alemans que, s'ils estoyent payez jusques à aujourd'hui, et demain il y avoit assaut ou bataille, ilz entendent qu'il leur est deu nouvel argent, et ceux qui crioyent le plus haut, c'estoyent les lansquenets et les gens de pié, et conclusion ils ne voulurent point marcher avant.
    Mém. livre II, p. 648, dans LACURNE (lansquenet)
  5. Et avoit levé sa visiere le plus avant qu'il le peut faire, et estoit celle visiere couverte d'un volet bien delié.
    Mém. I, p. 181, dans LACURNE (volet)
  6. Vint le noir de la nuit.
    Mém. liv. II, p. 634, dans LACURNE (noir, oire)
  7. Le duc de Bourgogne alla en la duché de Luxembourg pour renouveler les hommages et les fidelités de ceux de Luxembourg, dont le duc estoit nouvellement seigneur.
    liv. I, p. 332, dans LACURNE (fidélité)
  8. Pour riens n'a pas esté nommé Charles le travaillant ; car, du temps qu'il regna, autre homme ne travailla tant en sa personne qu'il feist, et si travailla amis et ennemis.
    Mém. p. 86, dans LACURNE (travaillant, ante)
  9. Ainsi traversa le chevalier la riviere, et vint aborder à l'isle où il devoit combattre, et là sailli hors de son batteau, vestu d'une longue robe de drap d'or gris fourrée de martres ; il avoit sa bannerolle en sa main figurée de ses devotions [images auxquelles il avait dévotion], dont il se signoit.
    Mém. liv. I, p. 297, dans LACURNE (dévotion)
  10. En icelle salle avoit trois tables drecées, dont l'une fut au bout dessus, traversant à potence, et estoit la table pour l'honneur.
    Mém. II, p. 528, dans LACURNE (potence)
  11. Ne tentez Dieu ne son executeresse fortune.
    Mém. liv. I, p. 291, dans LACURNE (exécuteur, trice)
  12. Si le deffendant a un bras affolé, on doit occuper un bras à l'appellant, tellement qu'il ne s'en puisse aider.
    Gage de bat. f° 26, dans LACURNE (occuper)
  13. Les fruits et feuilles et fleurs furent si proprement faitz, qu'ils sembloient proprement arbres et propres fruits, et les faisoit très beau voir.
    Mém. II, p. 583, dans LACURNE (propre)
  14. Sous feinte de vouloir estre protecteur et garde des biens de la dicte Marie, sa parente et filleule, sous umbre d'amitié et à main forte il prit en sa main tous les païs de Bourgogne.
    Mém. Introd. ch. VI (main-forte)
  15. Et pour conclure et mectre fin en ceste matiere que j'ay calculée et esclaircie au mieux qu'il m'a esté possible.
    Gage de bat. f° 29, dans LACURNE (calculer)
  16. Armez et timbrez des armes et timbres des chevaliers, de leurs motz, de leurs noms et de leurs devises.
    Mém. livre I, p. 259, dans LACURNE (mot)
  17. Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
    Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)
  18. Fut l'artillerie drecée contre un pan de mur, entre deux tours, et voyoit on bien par les fenestrages que celui pan ne pouvoit avoir gueres grand force.
    liv. I, p. 394, dans LACURNE (fenêtrage)
  19. Au milieu de la lice avoit une toile pour conduire les chevaux, pour les courses de lances.
    Mém. I, p. 268, dans LACURNE (toile)
  20. [Un pavillon] estoit adossé par dedans d'un riche drap d'or noir, qui s'estendoit sur une chaire et faisoit le marchepied par tout le pavillon et jusque dehors plus de deux ausnes.
    Mém. livre I, p. 317, dans LACURNE (marchepied)