Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré
DE LA MARCHE (1425-1502)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.
Ne restoit plus de son emprise que la fourniture des armes à pié [le combat à pié].
Mém. liv. VI, p. 194. dans LACURNE (fourniture)Ce mesme jour, vint au palais un heraut nommé Toulongeon, qui appela le heraut garde du pavillon et luy dist : Noble heraut, je demande ouverture pour aller toucher l'une des trois targes qui sont en vostre garde, pour et au nom d'un noble escuyer nommé Pierre de Chandos.
Mém. liv. I, p. 296, dans LACURNE (ouverture)Il detourna rivieres de leurs cours, il digua un bras du Rhin.
Mém. p. 79, dans LACURNE (diguer [1])Il estoit armé d'une petite salade ronde et avoit la visiere couverte et armée d'un petit hausse-col de maille d'acier.
Mém. liv. I, p. 299, dans LACURNE (hausse-col)Philippe de Valois, fils de Charìes, comte de Valois, fils de Philippe, fils de saint Louis et demi-frere de la dite royne d'Angleterre.
Mém. p. 37, dans LACURNE (frère)Un grand monceau de rabotures, tirées au rabot d'ais de sapin ou d'autre bois.
Mém. liv. I, p. 234, dans LACURNE (raboture)Portoit chascun d'eux une espée rabatue en sa main ; lesquelles espées furent presentées aux juges, pour sçavoir si elles estoyent rabatues et coupées en pointe comme il appartenoit.
Mém. liv. II, p. 587 (rabattre)Furent apportées les haches au seigneur d'Espiri, pour choisir le premier, comme c'estoit la coustume ; et furent icelles haches ferrées, longues et poisantes, à grandes dagues acerées dessus et dessous, et furent les premieres haches à dagues dessous que l'entrepreneur fit livrer en iceluy pas.
Mém. liv. I, p. 266, dans LACURNE (hache [1])Armez et timbrez des armes et timbres des chevaliers, de leurs motz, de leurs noms et de leurs devises.
Mém. livre I, p. 259, dans LACURNE (mot)Est la coustume des Alemans que, s'ils estoyent payez jusques à aujourd'hui, et demain il y avoit assaut ou bataille, ilz entendent qu'il leur est deu nouvel argent, et ceux qui crioyent le plus haut, c'estoyent les lansquenets et les gens de pié, et conclusion ils ne voulurent point marcher avant.
Mém. livre II, p. 648, dans LACURNE (lansquenet)Sous feinte de vouloir estre protecteur et garde des biens de la dicte Marie, sa parente et filleule, sous umbre d'amitié et à main forte il prit en sa main tous les païs de Bourgogne.
Mém. Introd. ch. VI (main-forte)Le sauf conduit fut accordé, parmy payant les tributs accoustumés.
Mém. p. 43, dans LACURNE (parmi [1])De quelle façon estoit sa visiere trouuée.
Mém. I, p. 181 (trouer)Le disner fait, se retrairent les chevaliers en la chambre de leur conclave ; et là n'entra nul, s'il n'estoit chevalier portant l'ordre et les quatre officiers dessus nommés.
Mém. liv. I, p. 263, dans LACURNE (conclave)Pour riens n'a pas esté nommé Charles le travaillant ; car, du temps qu'il regna, autre homme ne travailla tant en sa personne qu'il feist, et si travailla amis et ennemis.
Mém. p. 86, dans LACURNE (travaillant, ante)Ainsy se detendit [sépara] cette armée.
Mém. liv. I, p. 481, dans LACURNE (détendre)Sur iceux chevaux avoit deux pages houssez de petits brodequins jaunes et sans esperons.
Mém. liv. II, p. 534, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brodequin)Le comte fit rompre plusieurs boulovars faicts par les Gantois.
I, 26, dans LACURNE (boulevard ou, orthographe qu'admet aussi l'académie, boulevart)Alors le suivit sa pareure, qui fut telle qu'il avoit dix pages après luy et dix chevaux.
p. 582 (parure)En celuy temps regnoit [vivait, florissait] une moulte saincte et devote femme, sœur Collette.
Mém. liv. I, p. 116, dans LACURNE (régner)