MARIE DE FRANCE, auteur cité dans le Littré

MARIE DE FRANCE

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MARIE DE FRANCE a été choisie.

poétesse anglo-normande du XIIIe siècle

148 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de MARIE DE FRANCE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 148 citations dans le Littré.

  1. D'euls deus fu il tut autresi, Cume del chevrefoil esteit Ki à la codre [coudrier] se preneit.
    Chevrefeuille. (chèvrefeuille)
  2. Icest paleis aveit en sei Entur une entiere parei Faite à piliers e à arches, à vousures e à wandiches.
    Purgatoire, 687 (voussure)
  3. N'i out keville ne closture Ke ne fut tute d'ebenus.
    Gugemer. (cheville)
  4. Plus tost qu'il pot, vint cele part, Taste, si ad l'enfant trové.
    Frêne. (tâter)
  5. U il volsist, u il dengnast, Au leu [loup] covint qu'il l'emportast.
    Fable 62 (dénier)
  6. L'arunde [l'hirondelle] fu de grant saveir ; Bien s'aparçut ke par le lin Serunt oisel mis à lur fin.
    Fable 18 (lin)
  7. Mais li chevaler Jhesu Crist N'out poür, ne ne se fremist.
    Purgatoire, 379 (frémir)
  8. Ki volentiers fiert vostre chien, Ja mar crerés qu'il vus aint [aime] bien.
    Graelent. (chien, chienne)
  9. Venus dieuesse d'amur.
    Gugemer. (déesse)
  10. [Ceux]… ki feble Sunt par lur veillesce e endeble.
    Purgatoire, 391 (débile)
  11. Kar estes fel et de put aire.
    t. II, p. 377 (air [2])
  12. Prens, fet la raine [grenouille], cel filet ; Sel lie fort à ton gairet, E ge l'atacherai au mien.
    Fable 3 (jarret [1])
  13. Le signe sommatoire.
    Acad. des sc. Comptes rend. t. LXXV, p. 524 (sommatoire)
  14. L'aive [il] commenza à laper.
    Fable 49 (laper)
  15. L'en dist k'uns aigles vint volant Juste la mer, peissuns querant.
    Fable 13 (aigle)
  16. Les logarithmes permettent de remplacer la multiplication et la division par une addition et une soustraction, la formation d'une puissance par une petite multiplication, l'extraction d'une racine par une petite division ; l'usage des logarithmes est si fréquent, l'invention en est si belle, que j'ai cru ne pas travailler inutilement pour les personnes… ,
    Des logarithmes et de l'usage des tables (logarithme)
  17. Amur n'est pruz se n'est egals.
    Equitan. (preux)
  18. Li lox [le loup] à la sorse beveit, E li aigniaus à vaul esteit.
    Fabl. 2 (source)
  19. Frere, fait il, mult estes biaus ; Et mult est luisanz vostre piaus.
    Fable 34 (luisant, ante)
  20. Ki divers cuntes veut traitier, Diversement deit comencier.
    Milon. (diversement)