MARIE DE FRANCE, auteur cité dans le Littré
MARIE DE FRANCE
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MARIE DE FRANCE a été choisie.poétesse anglo-normande du XIIIe siècle
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de MARIE DE FRANCE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 148 citations dans le Littré.
Plus tost qu'il pot, vint cele part, Taste, si ad l'enfant trové.
Frêne. (tâter)Une ewe ki desuz cureit ; Braz fu de mer, hafne [havre] i aveit.
Gugemer. (bras)Le punt vus estuet [il vous faut] espruver, Cum vus porrez outre passer.
Purgat. 1276 (éprouver)Uns escoufles [sorte d'épervier] jut [fut gisant] en sun lit, Malades fu, si cum il dit ; Uns gais ot sun ni près de lui.
Fable 87 (geai)Il lur respunt : n'en dutez mie, Que cointe beste avez choisie, Preste et isnele et emprenanz.
Fable 37 (preste)Uns huns [un homme], ce dit, entasseit blé.
Fable 84 (entasser)Dunc li tourneimens [le tournoi] s'asembla ; Qui juste quist [chercha] tost la trova.
Milon. (joute)L'en dist k'uns aigles vint volant Juste la mer, peissuns querant.
Fable 13 (aigle)Une grant gate [il] demenda, Sur une taule [table] l'adenta ; Une suriz a desoz mise.
Fable 46 (jatte)Qu'un los [loup] seit escurchiez tuz vis ; Si seit li sanz e la pel mis Sur vostre pis [poitrine] dusqu'à demein ; Lors vus sentirez trestut sein.
Fabl. 59 (écorcher)Amur n'est pruz se n'est egals.
Equitan. (preux)Quant la chauve suris les vit, Moult li pesa k'od eus n'esteit.
Fable 31 (chauve-souris)Dist la fromiz : or chante à mel.
t. II, 124 (fourmi)Auquans en vit [il en vit quelques uns] mis en espeiz [épieux], E rostis od soufre e od peiz [poix] ; Li diable les rostisseient.
Purgatoire, V. 1098 (rôtir)Tel se fait noble par tençon, Et veult menacier et parler, Qui moult petit est à douter [craindre].
Fable 23 (noble)Sur les ortilz des pisz [ils] esteient.
Purgatoire, 1157 (orteil)Après cele invocaciun, K'il fist de cel seintisme [très saint] nun.
Purgatoire, 903 (invocation)Cel jur meïsme, ainz [avant] relevée, Fu la dame el vergié alée.
Gugemer. (relevée)Les logarithmes permettent de remplacer la multiplication et la division par une addition et une soustraction, la formation d'une puissance par une petite multiplication, l'extraction d'une racine par une petite division ; l'usage des logarithmes est si fréquent, l'invention en est si belle, que j'ai cru ne pas travailler inutilement pour les personnes… ,
Des logarithmes et de l'usage des tables (logarithme)Seiner [saigner] se fet cuntre sun mal ; Al terz jur dist k'il baignereit [se baignerait].
Equitan. (baigner)