Jean de CONDÉ, auteur cité dans le Littré
JEAN DE CONDÉ (12??-?)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme JEAN DE CONDÉ a été choisie.Ménestrel, fils de Baudouin de Condé
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Dits et contes de Baudouin de Condé et de son fils Jean de Condé | 1866 | 111 citations |
Quelques citations de Jean de CONDÉ
Voici un tirage aléatoire parmi ses 114 citations dans le Littré.
Si avons encontré deus hommes Qui nostre chemin traverssoient.
t. III, p. 69 (traverser)Tu ies de gens d'onneur estrais, Bien te dois warder de teus trais [de tels traits, comme paresse, lâcheté].
t. II, p. 94 (trait [1])La dame le fist recoucier [un chevalier malade].
t. II, p. 240 (recoucher)La fame… Fist Adan no pere premier Mordre la pomme du pommier.
t. III, p. 268 (pommier)[La dame] Si li ala querre une mance De drap lingne [linge] ridée et blance.
t. II, p. 172 (rider [1])Et elles se sont espautrées Au rire…
p. 173 (épaufrure)Je di, ù qu'il ait finne amour, Ce ne poet iestre sans cremour [crainte] ; C'est d'amours li plus ciertains signes.
t. II, p. 301 (signe)Quant on cuide en ferme joie estre, En un plain laissier [laisser en plan] le [la] convient, Que souvent grans duelz [deuil] y sourvient.
t. III, p. 56 (plain, aine [1])Compaigne, c'est nos visiteres [notre visiteur, le visiteur du couvent].
p. 175 (visiteur, euse)On ne doit mies trop reprendre Aucun fol, s'on li voit emprendre Par ynnorance aucunne cose.
p. 169 (ignorance)[Une nonne prisonnière] Par un trau [de la muraille] a veüe l'une De ses compaingnesses passer.
t. II, p. 273 (trou [1])Se Diex reprent çou qui est sien, Encontre nous ne mesfait rien ; Tout sommes sien…
t. II, p. 159 (sien, sienne)Quatre vertus de moult grant pris, Par coi amans puet estre apris, Et à perfection venir.
t. III, p. 7 (perfection)[Ma femme] Que je tant pensoie et amoie.
t. II, p. 16 (panser)Ch'est mierveille qu'il [deux chevaliers aux prises] ne s'estonnent Des grans coz qu'en peu d'eure donnent… Cors efforchent et bras estendent, Che qu'il enpruntent, tantost rendent.
t. II, p. 21 (rendre)[Une dame]… dou levrier mout bien pensa, Tant com li ciens [le chien] fu biaus et cras.
ib. p. 346 (panser)Mais aussi grant journée paie Chevaus tondus, c'est chose vraie, Souvent que chieus [celui] à lons cheviaus.
t. III, p. 34 (tondre [1])Moult est la science mauvaise, Qui n'est moustrée [montrée] ne desploiie.
p. 101 (déployer)Comment cil qui avoit victoire Eüe sus les anemis, Si ert [était] o trimphe en Romme mis.
t. III, p. 292 (triomphe [1])Je n'en ai mies à plenté [abondance], Biax ostes, fait-il, Dieu mierci.
p. 79 (mie [2])