Louis RACINE, auteur cité dans le Littré

RACINE L. (1692-1763)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme RACINE L. a été choisie.

fils du tragédien

56 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Louis RACINE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 56 citations dans le Littré.

  1. Est-ce moi qui t'appelle et qui règle ton cours ?
    Relig. I (ce [2])
  2. Oui, grand Dieu, c'est en vain que l'humaine faiblesse Sans toi veut se parer du nom de la sagesse.
    la Grâce, I (vouloir [1])
  3. Mèdes, Assyriens, vous êtes disparus ; Parthes, Carthaginois, Romains, vous n'êtes plus.
    Relig. ch. III (disparu, ue)
  4. L'auteur d'Athalie, qui se flattait d'être appelé le rival d'Euripide, regarda toujours Sophocle comme son maître, et disait qu'il n'avait jamais pris un de ses sujets, n'étant pas assez hardi pour jouter (c'était son terme) contre Sophocle.
    Traité de la poésie dramat. ch. X (jouter)
  5. Ils [les saints] sont ambitieux de plus nobles richesses.
    Relig. ch. III (ambitieux, euse)
  6. Quand il [Abner] veut lui protester à [Athalie] son ignorance.
    Rem. sur Ath. V, 5 (protester)
  7. Pour chanter les exploits des héros qu'il admire, Le faible Anacréon en vain monte sa lyre ; Les cordes sous ses doigts ne résonnent qu'amour.
    Ép. à Valincour (résonner)
  8. Oui, c'est un Dieu caché que le Dieu qu'il faut croire ; Mais, tout caché qu'il est, pour révéler sa gloire, Quels témoins éclatants devant moi rassemblés ! Répondez, cieux et mers, et vous, terre, parlez.
    Religion, I (gloire)
  9. Toujours ivre de sang et toujours altéré.
    Rel. I (ivre)
  10. Quand Assuérus y était [dans la chambre du trône], quiconque y entrait sans être appelé était coupable de mort.
    ib. II, 1 (mort [3])
  11. Féconde en agréments divers, La riche fiction est le charme des vers.
    la Relig. IV (fécond, onde)
  12. Pourquoi ce poëte né si tendre [J. Racine] et qu'on accuse d'avoir francisé les héros de l'antiquité, a-t-il mis un peu de dureté dans ce caractère ? … n'étant pas capable de franciser, comme quelques écrivains, les patriarches et les prophètes.
    Traité de la poésie dram. X, 2 (franciser)
  13. D'une âme généreuse ô volupté suprême ! Un mortel bienfaisant approche de Dieu même !
    la Rel. ch. VI (ô)
  14. Triste destin ; il descend au tombeau, Plus faible, plus enfant qu'il ne l'est au berceau.
    Relig. ch. II (descendre)
  15. Pour consoler l'espoir du laboureur avide.
    Relig. ch. I (consoler)
  16. Qui suis-je pour oser murmurer de mon sort ?
    la Grâce, IV (oser)
  17. Oui, c'est un Dieu caché que le Dieu qu'il faut croire ; Mais tout caché qu'il est, pour révéler sa gloire, Quels témoins éclatants devant lui rassemblés ! Répondez, cieux et mers ! Et vous, terre, parlez.
    Religion, I (dieu)
  18. La vertu qui n'admet que de sages plaisirs Semble d'un ton trop dur gourmander nos désirs.
    la Relig. I (gourmander)
  19. Ce nid qu'avec tant d'art, Au même ordre toujours architecte fidèle, à l'aide de son bec maçonne l'hirondelle ! Comment, pour élever ce hardi bâtiment a-t-elle, en le broyant, arrondi son ciment ?
    Relig. I. (ciment)
  20. La riche fiction est le charme des vers ; Nous vivons du mensonge.
    Relig. ch. IV (vivre [1])