Jacques BRUYANT, auteur cité dans le Littré
J. BRUYANT (13??-13??)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme J. BRUYANT a été choisie.notaire royal au Châtelet à Paris
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| La voie et adresse de pauvreté et de richesse | 1342 | 72 citations |
Quelques citations de Jacques BRUYANT
Voici un tirage aléatoire parmi ses 75 citations dans le Littré.
Une femme… Have estoit et eschevellée, Desesperance ert [était] appellée.
dans Ménagier, t. II, p. 7 (hâve)Car quant bien hault se sont juchiés, à un seul coup sont trebuchiés.
dans Ménagier, t. II, p. 21 (jucher)Les yeulx chacieux, pleins d'ordure.
dans Ménagier, t. II, p. 6 (chassieux, euse)Car qui de soussi a la paine, En lui a santé maladive.
dans Ménagier, t. II, p. 6 (maladif, ive)Gourmandie l'une [troupe] conduit ; Avec lui [elle] sont en son conduit Yvresse, oultrage, lecherie.
dans Ménagier, t. II, p. 13 (gourmandise)Jusqu'à tant qu'il se fust bouté Droit au chemin de povreté, Qui tant par est boueux et ort.
dans Ménagier, t. II, p. 34 (boueux, euse)Semblant doulx et courtois vers tous, Et, en cuer, faulx, rude et estous [arrogant].
dans Ménagier, t. II, p. 26 (rude)Pren des deux voies la meilleur ; Laisse le bren et pren la fleur.
dans Ménagier, t. II, p. 17 (bran)Ains suis si blaffard et si fade, Qu'il semble qu'aie esté malade.
dans Ménagier, t. II, p. 6 (blafard, arde)Mielx vault estre en tort cras et aise, Qu'en droit chetif et à malaise.
dans Ménagier, t. II, p. 217 (tort)Tu languiroies en tel peine, Que tu n'auroies cuer ne vaine Qui voulsist entendre à rien faire.
dans Ménagier, t. II, p. 14 (languir)À tels ezcusans respondrayje Briefment, sans prolongation.
dans Ménagier, t. II, p. 15 (prolongation)Lors fis tant que j'eüs du pain, Et si prins du vin aux chevaulx [de l'eau].
dans Ménagier, t. II, p. 38 (vin)Amour n'obeist pas à crainte ; Ne nullui n'aime par contrainte.
dans Ménagier, t. II, p. 22 (amour)Il ne me chault qu'il en aviengne ; Qui ne pourra ploier, si brise.
dans Ménagier, t. II, p. 7 (plier)Il tolt [enlève] et emble aux gens le leur, Dont en la fin muert [meurt] à doleur.
dans Ménagier, t. II, p. 18 (leur [2])Es vous un homme à moi venir, Qui bien sembloit estre advocas, Qui parler sceüst en tous cas.
dans Ménagier, t. II, p. 24 (avocat)Il adnichilloient droiture Contre Dieu, sens et mesure.
dans Ménagier, t. II, p. 27 (annihiler)À tout [avec] leur congregation, Dont je ne fais pas mention.
dans Ménagier, t. II, p. 10 (congrégation)Quant j'oy un pou après pensé, Repensé et contrepensé à ce que raison apris m'ot.
dans Ménagier, t. II, p. 24 (repenser)